Sommaire
EEN sans dose seuil : alcool benzylique, propylèneglycol
Cip : 3400955086765
Modalités de conservation : Avant ouverture : 2° < t < 8° durant 18 mois (Conserver à l'abri de la lumière, Conserver au réfrigérateur, Conserver dans son emballage)
FORMES et PRÉSENTATIONS |
Solution injectable (hypertonique, claire, incolore ou presque incolore, exempte de particules visibles).
Ampoule de 1 mL. Boîte de 10.
COMPOSITION |
Chaque ampoule contient 4 mg/mL de lorazépam (4 mg par ampoule de 1 mL).
Excipients à effet notoire : alcool benzylique, propylèneglycol.
Macrogol 400, alcool benzylique, propylèneglycol (E1520)
INDICATIONS |
LORAZEPAM XILMAC est indiqué chez l'adulte et l'adolescent de plus de 12 ans :
POSOLOGIE ET MODE D'ADMINISTRATION |
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CONTRE-INDICATIONS |
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MISES EN GARDE et PRÉCAUTIONS D'EMPLOI |
Voie intraveineuse
Pour une utilisation intraveineuse, le lorazépam doit être dilué avec une quantité égale d'un diluant compatible (voir rubrique Elimination/Manipulation).
L'administration intraveineuse doit être effectuée lentement et à plusieurs reprises.
Il faut s'assurer que l'injection ne se produit pas intra-artériellement et qu'aucune extravasation périvasculaire ne se produit.
Alcool
La tolérance à l'alcool et aux autres dépresseurs du SNC sera diminuée en présence de lorazépam ; il faut donc conseiller aux patients d'éviter LORAZEPAM XILMAC ou d'utiliser une dose réduite.
Les boissons alcoolisées ne doivent pas être consommées pendant au moins 24 à 48 heures après l'administration de LORAZEPAM XILMAC, en raison de l'effet dépresseur additif général des benzodiazépines sur le système nerveux central.
Réduction de la réactivité/performance
Il est recommandé que les patients traités par le lorazépam restent sous observation pendant 24 heures après l'administration de la dernière dose.
Si le lorazépam est utilisé pour des interventions de courte durée en ambulatoire, le patient doit être accompagné par un adulte responsable au moment de sa sortie.
Les patients doivent être avertis de ne pas conduire de véhicules ou de ne pas entreprendre d'activités nécessitant de l'attention pendant les 24 à 48 heures suivant l'administration.
Une réduction des performances peut persister pendant des périodes prolongées en raison de l'âge élevé du patient, de l'utilisation concomitante d'autres médicaments, du stress dû à la chirurgie ou de l'état général du patient. Il convient également d'avertir les patients qu'une marche prématurée (dans les 8 heures suivant l'administration de lorazépam) peut entraîner des blessures suite à une chute due à des obstacles.
Procédures endoscopiques
Les données sont insuffisantes pour justifier l'utilisation du lorazépam dans les procédures endoscopiques chez les patients ambulatoires.
Si ces procédures sont réalisées chez des patients hospitalisés, une observation adéquate en salle de réveil est nécessaire et l'activité du réflexe pharyngé doit être réduite par une anesthésie locale, avant la procédure endoscopique.
Coma/choc
Il n'existe pas de données pouvant justifier l'utilisation du lorazépam en cas de coma ou de choc.
Utilisation concomitante avec la scopolamine
L'utilisation concomitante de la scopolamine n'est pas recommandée car cette association peut entraîner une augmentation de l'incidence de la sédation, des hallucinations et du comportement irrationnel.
Risque lié à l'utilisation concomitante d'opioïdes
L'utilisation concomitante de lorazépam et d'opioïdes peut entraîner une sédation, une dépression respiratoire, un coma et le décès. En raison de ces risques, la prescription concomitante de médicaments sédatifs tels que les benzodiazépines ou de médicaments apparentés comme le lorazépam avec des opioïdes doit être réservée aux patients pour lesquels les autres options thérapeutiques ne sont pas possibles. S'il est décidé de prescrire du lorazépam en concomitance avec des opioïdes, la dose efficace la plus faible doit être utilisée, et la durée du traitement doit être la plus courte possible (voir également la recommandation générale sur la dose dans la section Posologie et mode d'administration).
Les patients doivent être suivis de près pour détecter les signes et symptômes de dépression respiratoire et de sédation. A cet égard, il est fortement recommandé d'informer les patients et leurs aidants (le cas échéant) afin qu'ils soient conscients de ces symptômes (voir rubrique Interactions).
Statut épileptique
La prudence est requise lors de l'administration de lorazépam à des patients présentant un état épileptique, en particulier les patients ayant reçu d'autres dépresseurs du système nerveux central ou les patients gravement malades.
La possibilité d'une dépression respiratoire ou d'une obstruction partielle des voies respiratoires doit être envisagée. Un équipement de réanimation adéquat doit être disponible.
Troubles psychotiques ou dépressifs
Le lorazépam n'est pas destiné au traitement primaire de la maladie psychotique ou des troubles dépressifs, et ne doit pas être utilisé en monothérapie chez les patients déprimés.
Les benzodiazépines peuvent avoir un effet désinhibiteur et peuvent libérer les tendances suicidaires chez les patients déprimés.
Utilisation à long terme du lorazépam
Il n'existe pas de données permettant d'étayer une utilisation à long terme du lorazépam.
Certains patients ont développé une dyscrasie sanguine pendant le traitement par les benzodiazépines ; chez certains, une augmentation des valeurs des enzymes hépatiques a été observée.
Si un traitement prolongé est considéré comme cliniquement nécessaire, il est recommandé de procéder régulièrement à des analyses de sang et de la fonction hépatique.
Le traitement prolongé par les benzodiazépines doit être progressivement réduit.
Patients âgés
Comme pour toute prémédication, une extrême prudence est requise lors de l'administration de lorazépam chez les patients âgés ou gravement malades et chez les patients ayant une rétention pulmonaire limitée (BPCO, syndrome d'apnée du sommeil), en raison de la possibilité d'apnée et/ou d'insuffisance cardiaque hypoxique. Le matériel de réanimation pour l'assistance à la ventilation doit être facilement disponible.
Le lorazépam doit être utilisé avec prudence chez les personnes âgées en raison du risque de sédation et/ou de faiblesse musculo-squelettique pouvant augmenter le risque de chutes, avec des conséquences graves dans cette population. Les patients âgés doivent recevoir une dose réduite (voir rubrique Posologie et mode d'administration).
Insuffisance rénale ou hépatique
Les patients présentant une insuffisance rénale ou hépatique doivent être étroitement surveillés et la posologie doit être soigneusement adaptée en fonction de leurs réactions. Des doses plus faibles peuvent être suffisantes chez ces patients.
Les mêmes précautions s'appliquent aux patients âgés ou affaiblis et aux patients souffrant d'insuffisance respiratoire chronique.
Insuffisance rénale
L'utilisation du lorazépam n'est pas recommandée chez les patients souffrant d'insuffisance rénale. Si le lorazépam est utilisé chez des patients atteints d'une maladie hépatique ou rénale légère ou modérée, la dose efficace la plus faible doit être utilisée car la durée de l'effet peut être prolongée dans ces circonstances.
Glaucome aigu à angle étroit
La prudence est requise dans le traitement des patients présentant un glaucome aigu à angle étroit.
Réactions paradoxales
L'anxiété peut être un symptôme de diverses autres affections. Il faut tenir compte du fait que la plainte du patient peut être liée à une affection physique ou psychiatrique sous-jacente pour laquelle un traitement plus spécifique est disponible.
Au cours d'un traitement par des benzodiazépines, des réactions paradoxales telles que l'agitation, l'irritabilité, l'agressivité, le désespoir, les crises de colère, les cauchemars, les hallucinations, les psychoses et un comportement inapproprié ont été occasionnellement rapportées. De telles réactions sont plus susceptibles de se produire chez les enfants et les personnes âgées. Si elles se produisent, il faut cesser d'utiliser le médicament.
Hypotension
Bien que l'hypotension ne soit survenue que rarement, les benzodiazépines doivent être administrées avec prudence chez les patients chez qui une baisse de la tension artérielle pourrait entraîner des complications cardiovasculaires ou cérébrovasculaires. Ceci est particulièrement important chez les patients âgés.
Troubles gastro-intestinaux proximaux
Chez les rats traités par le lorazépam pendant plus d'un an à la dose de 6 mg/kg/jour, une dilatation de l'œsophage a été observée. La dose sans effet était de 1,25 mg/kg/jour (environ 6 fois la dose thérapeutique maximale humaine, qui est de 10 mg/jour). L'effet n'était réversible que si le traitement était interrompu dans les deux mois suivant la première observation de ce phénomène.
La signification clinique de ce phénomène n'est pas claire. Cependant, lors de l'utilisation à long terme du lorazépam et chez les patients gériatriques, la prudence est nécessaire et un contrôle fréquent des symptômes d'un trouble gastro-intestinal proximal est requis. L'utilisation du lorazépam pendant des périodes prolongées n'est pas recommandée.
Amnésie antérograde
Les benzodiazépines peuvent provoquer une amnésie antérograde. Cela se produit généralement plusieurs heures après l'ingestion. Par conséquent, afin de réduire le risque, les patients doivent pouvoir dormir en continu pendant 7/8 heures (voir également rubrique Effets indésirables).
Population pédiatrique
L'utilisation du lorazépam est contre-indiquée chez les enfants de moins de 12 ans (voir rubrique Contre-indications). Après administration de lorazépam, en particulier chez les nouveau-nés ayant un poids de naissance très faible, des crises d'épilepsie et des myoclonies ont été rapportées.
Abus et dépendance aux médicaments
Il n'existe pas de données cliniques concernant l'abus ou la dépendance. Cependant, sur la base de l'expérience acquise avec les benzodiazépines orales, les médecins doivent être conscients que l'administration répétée de lorazépam sur une longue période peut entraîner une dépendance physique et/ou psychologique.
Le risque augmente avec des doses plus élevées et une utilisation à plus long terme et est encore plus élevé chez les patients ayant des antécédents d'alcoolisme ou de toxicomanie.
En cas de dépendance physique, l'arrêt brutal du traitement peut être associé à des symptômes de sevrage. Les symptômes signalés après l'arrêt des benzodiazépines orales comprennent les maux de tête, les douleurs musculaires, l'anxiété, la tension, la dépression, l'insomnie, l'agitation, la confusion, l'irritabilité, la transpiration et les symptômes de rebond dans lesquels les symptômes qui ont donné lieu à l'augmentation du traitement par benzodiazépine reviennent. Il peut être difficile de distinguer ces symptômes des symptômes initiaux pour lesquels le produit a été prescrit.
Dans les cas graves, les symptômes suivants peuvent apparaître : déréalisation, dépersonnalisation, hyperacousie, acouphènes, engourdissement et picotement des extrémités, sensibilité à la lumière, au bruit et au contact physique, mouvements involontaires, vomissements, hallucinations et convulsions. Les convulsions peuvent être plus fréquentes chez les patients présentant une maladie convulsive préexistante ou chez les patients utilisant d'autres médicaments qui réduisent le seuil de convulsion, tels que les antidépresseurs.
Les symptômes de sevrage, et en particulier les plus sévères, surviennent plus fréquemment chez les patients traités à des doses élevées sur une longue période. Cependant, des symptômes de sevrage sont également rapportés après l'arrêt d'un traitement par des benzodiazépines à doses thérapeutiques, en particulier si le traitement est brusquement interrompu. Le risque de symptômes de sevrage/phénomènes de rebond étant plus important en cas d'arrêt brutal du traitement, celui-ci doit être diminué progressivement.
Alcool benzylique
Ce médicament contient 21 mg d'alcool benzylique dans chaque 1 mL de solution injectable.
L'alcool benzylique peut provoquer des réactions allergiques.
Les volumes élevés doivent être utilisés avec prudence et seulement si nécessaire, en particulier chez les femmes enceintes ou allaitantes ou chez les sujets présentant une insuffisance hépatique ou rénale en raison du risque d'accumulation et de toxicité (acidose métabolique).
Propylène glycol
Ce médicament contient 840 mg de propylène glycol pour 1 mL de solution injectable.
Bien qu'il n'ait pas été démontré que le propylène glycol soit toxique pour la reproduction ou le développement chez les animaux ou les humains, il peut atteindre le fœtus et a été retrouvé dans le lait.
En conséquence, l'administration de propylène glycol à des patientes enceintes ou allaitantes doit être envisagée au cas par cas.
Une surveillance médicale est nécessaire chez les patients présentant une altération des fonctions rénales ou hépatiques car divers effets indésirables attribués au propylène glycol ont été rapportés tels qu'un dysfonctionnement rénal (nécrose tubulaire aiguë), une insuffisance rénale aiguë et un dysfonctionnement hépatique.
INTERACTIONS |
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FERTILITÉ/GROSSESSE/ALLAITEMENT |
Grossesse
Il n'existe pas de données suffisantes sur l'utilisation du lorazépam pendant la grossesse. Lorsque le lorazépam est administré pendant la grossesse, une hypothermie, une dépression respiratoire et une hypotonie (syndrome du nourrisson mou) peuvent survenir en raison de l'action pharmacologique du lorazépam chez le nouveau-né.
En cas d'utilisation prolongée, des symptômes de sevrage peuvent apparaître chez l'enfant.
Les études expérimentales chez l'animal n'indiquent pas d'effets nocifs directs ou indirects pour la grossesse, le développement de l'embryon, le travail ou le développement postnatal.
LORAZEPAM XILMAC ne doit être utilisé pendant la grossesse qu'en cas de stricte nécessité, pour une période aussi courte que possible et à la dose la plus faible possible.
Allaitement
Le lorazépam passe en petites quantités dans le lait maternel. Pendant l'utilisation de LORAZEPAM XILMAC, l'allaitement est déconseillé.
Fertilité
Il n'existe aucune donnée sur les effets possibles du lorazépam administré par voie parentérale sur la fertilité féminine.
CONDUITE et UTILISATION DE MACHINES |
Comme tous les patients qui utilisent des inhibiteurs du système nerveux central, les patients qui prennent du lorazépam doivent être avertis qu'ils ne doivent pas utiliser de machines dangereuses ou conduire des véhicules tant qu'ils sont somnolents ou étourdis.
Il convient de conseiller aux patients de ne pas conduire de véhicules ou d'entreprendre des activités nécessitant de l'attention pendant les 24 à 48 heures suivant l'administration de lorazépam. Une réduction des performances peut persister pendant des périodes prolongées en raison de l'âge élevé du patient, de l'utilisation concomitante d'autres agents, du stress dû à la chirurgie ou de l'état général du patient.
EFFETS INDÉSIRABLES |
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SURDOSAGE |
Symptômes et traitement du surdosage
Comme pour les autres benzodiazépines, un surdosage ne mettra pas la vie en danger, sauf en association avec d'autres médicaments ayant des effets inhibiteurs sur le système nerveux central (y compris l'alcool).
Dans le traitement d'un surdosage avec n'importe quel médicament, il faut garder à l'esprit que le patient peut avoir pris différents médicaments.
Une attention particulière doit être accordée aux fonctions respiratoires et cardiovasculaires en soins intensifs.
Le surdosage en benzodiazépines entraîne généralement différents degrés d'affaiblissement du système nerveux central, allant de la somnolence au coma. Dans les cas légers, les symptômes comprennent la somnolence, la confusion mentale et la léthargie. Dans les cas graves, des symptômes peuvent apparaître tels que l'ataxie, l'hypotension, l'hypotonie, la dépression respiratoire, rarement le coma (stades 1 à 3) et, très rarement, le décès du patient.
Le flumazénil peut être utile comme antidote.
Des cas d'acidose lactique, d'hyperosmolalité, d'hypotension probablement liés au propylène glycol (excipient) ont été rapportés lors de l'administration de lorazépam injectable à des doses supérieures aux doses recommandées. Le risque de ces symptômes est plus important chez les patients souffrant d'insuffisance rénale et chez les enfants (voir rubrique Mises en garde et précautions d'emploi).
PHARMACODYNAMIE |
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PHARMACOCINÉTIQUE |
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INCOMPATIBILITÉS |
En l'absence d'études de compatibilité, ce médicament ne doit pas être mélangé avec d'autres médicaments autres que ceux mentionnés à la rubrique Elimination/Manipulation.
DURÉE DE CONSERVATION |
Avant ouverture : 18 mois.
Stabilité après dilution :
La stabilité physico-chimique à l'utilisation a été démontrée pendant 1 heure à 2-8 °C. D'un point de vue microbiologique, le produit doit être utilisé immédiatement. En cas d'utilisation non immédiate, les durées et conditions de conservation avant utilisation relèvent de la responsabilité de l'utilisateur et ne devraient normalement pas dépasser 24 heures entre 2 et 8 °C, sauf si la dilution a eu lieu dans des conditions aseptiques contrôlées et validées.
PRÉCAUTIONS PARTICULIÈRES DE CONSERVATION |
A conserver et transporter au réfrigérateur (entre 2 °C et 8 °C). Conserver dans le carton extérieur pour le protéger de la lumière.
Pour les conditions de conservation après dilution/première ouverture du médicament, voir rubrique Durée de conservation.
PRÉCAUTIONS PARTICULIÈRES D'ÉLIMINATION ET DE MANIPULATION |
LORAZEPAM XILMAC est légèrement visqueux lorsqu'il est refroidi.
Administration intramusculaire :
Afin de faciliter l'administration intramusculaire, il est recommandé de diluer avec un volume égal d'une solution compatible, telle que : une solution injectable de chlorure de sodium à 9 mg/ml (0,9 %), une solution de glucose à 50 mg/ml (5 %) et eau pour préparations injectables.
LORAZEPAM XILMAC peut également être administré non dilué, s'il est administré profondément dans une masse musculaire importante.
Administration intraveineuse :
En cas d'administration intraveineuse, LORAZEPAM XILMAC doit toujours être dilué avec un volume égal de l'un des diluants suivants : une solution injectable de chlorure de sodium à 9 mg/m (0,9 %), une solution de glucose à 50 mg/ml (5 %) et eau pour préparations injectables.
La vitesse d'injection ne doit pas dépasser 2 mg/min. Les médicaments parentéraux doivent être inspectés visuellement pour détecter la présence de particules ou de décolorations avant l'administration.
Instructions pour la dilution pour une utilisation intraveineuse
Extraire la quantité désirée de LORAZEPAM XILMAC dans la seringue, puis aspirer lentement le volume désiré de diluant. Rentrer légèrement le piston pour créer un espace de mélange supplémentaire. Mélanger immédiatement le contenu en tournant plusieurs fois la seringue jusqu'à ce qu'une solution homogène se soit formée. Ne pas agiter vigoureusement car cela provoquerait des bulles d'air.
LORAZEPAM XILMAC ne doit pas être mélangé avec d'autres médicaments dans la même seringue. Ne pas utiliser si la solution a pris une couleur ou a formé un précipité (voir rubrique Posologie et mode d'administration).
Aucune exigence particulière pour l'élimination.
Tout produit médicinal non utilisé ou déchet doit être éliminé conformément aux exigences locales.
PRESCRIPTION/DÉLIVRANCE/PRISE EN CHARGE |
Liste I
Prescription limitée à 12 semaines.
AMM |
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