Mise à jour : 26 août 2024

GLUCOVANCE 500 mg/2,5 mg cp pellic

GLIBENCLAMIDE 2,5 mg + METFORMINE CHLORHYDRATE 500 mg cp (GLUCOVANCE)Copié !
Commercialisé
Synthèse
Classification pharmacothérapeutique VIDAL
Métabolisme - Diabète - Nutrition > Diabète > Antidiabétiques oraux > Antidiabétiques oraux associés (Metformine + glibenclamide)
Classification ATC
VOIES DIGESTIVES ET METABOLISME > MEDICAMENTS DU DIABETE > ANTIDIABETIQUES SAUF INSULINES > ASSOCIATIONS D'HYPOGLYCEMIANTS ORAUX (METFORMINE ET SULFONYLUREES)
Substances

metformine chlorhydrate

glibenclamide

Excipients
povidone K 30, magnésium stéarate, croscarmellose sel de Na, cellulose microcristalline

pelliculage :  opadry orange, hypromellose, macrogol

colorant (pelliculage) :  titane dioxyde, fer jaune oxyde, fer rouge oxyde, fer noir oxyde

Excipients à effet notoire :

EEN sans dose seuil :  lactose monohydrate

Présentation
GLUCOVANCE 500 mg/2,5 mg Cpr pell Plq/30

Cip : 3400935801623

Modalités de conservation : Avant ouverture : durant 36 mois

Commercialisé
Monographie

FORMES et PRÉSENTATIONS

Comprimé pelliculé à 500 mg/2,5 mg (ovale, biconvexe, gravé « 2,5 » sur une face ; orange) : Boîte de 30, sous plaquettes.
Comprimé pelliculé à 500 mg/5 mg (ovale, biconvexe, gravé « 5 » sur une face ; jaune) : Boîte de 30, sous plaquettes.
Comprimé pelliculé à 1000 mg/5 mg (ovale, biconvexe, gravé « 1000 » sur une face et « 5 » sur l'autre face ; blanc à blanc cassé) : Boîte de 30, sous plaquettes.

COMPOSITION

 p cp
Metformine (DCI) chlorhydrate 
500 mg
ou1000 mg
(soit en metformine : 390 mg/cp à 500 mg ; 780 mg/cp à 1000 mg)
Glibenclamide (DCI) 
2,5 mg
ou5 mg
Excipients (communs) : cellulose microcristalline, croscarmellose sodique, povidone K 30, stéarate de magnésium. Pelliculage : Comprimé à 500 mg/2,5 mg : Opadry OY-L-24808 orange (lactose monohydraté, hypromellose, dioxyde de titane E171, macrogol, oxydes de fer jaune, rouge et noir E172). Comprimé à 500 mg/5 mg : Opadry 31-F-22700 jaune (lactose monohydraté, hypromellose, dioxyde de titane E171, macrogol, oxydes de fer jaune et rouge E172, laque de jaune de quinoléine E 104). Comprimé à 1000 mg/5 mg : Opadry II OY-L-28900 blanc (lactose monohydraté, hypromellose, dioxyde de titane E171, macrogol 4000).

Excipient à effet notoire : lactose.

INDICATIONS

Traitement du diabète de type 2 chez l'adulte, en substitution d'une bithérapie par metformine et glibenclamide, chez des patients dont l'équilibre glycémique est stable et bien contrôlé.

POSOLOGIE ET MODE D'ADMINISTRATION

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CONTRE-INDICATIONS

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MISES EN GARDE et PRÉCAUTIONS D'EMPLOI

Acidose lactique :
L'acidose lactique, une complication métabolique très rare mais grave, survient le plus souvent lors d'une dégradation aiguë de la fonction rénale, d'une maladie cardiorespiratoire ou d'une septicémie. Une accumulation de metformine se produit en cas de dégradation aiguë de la fonction rénale et augmente le risque d'acidose lactique.
En cas de déshydratation (diarrhée, vomissements sévères, fièvre ou diminution de l'apport en liquides), la metformine doit être temporairement arrêtée et il est recommandé de contacter un professionnel de la santé.
Les médicaments pouvant fortement altérer la fonction rénale (tels que les antihypertenseurs, les diurétiques et les AINS) doivent être instaurés avec prudence chez les patients traités par metformine. D'autres facteurs de risque de survenue d'une acidose lactique sont une consommation excessive d'alcool, une insuffisance hépatique, un diabète mal contrôlé, une cétose, un jeûne prolongé et toutes affections associées à une hypoxie, ainsi que l'utilisation concomitante de médicaments pouvant provoquer une acidose lactique (cf Contre-indications, Interactions).
Les patients et/ou leurs soignants doivent être informés du risque d'acidose lactique. L'acidose lactique est caractérisée par une dyspnée acidosique, des douleurs abdominales, des crampes musculaires, une asthénie et une hypothermie suivie d'un coma. En cas de symptômes évocateurs, le patient doit arrêter la prise de metformine et immédiatement consulter un médecin. Le diagnostic biologique repose sur une diminution du pH sanguin (<  7,35), une augmentation du taux de lactates plasmatiques (> 5 mmol/l) ainsi qu'une augmentation du trou anionique et du rapport lactate/pyruvate.
Hypoglycémie :
Ce médicament contenant un sulfamide hypoglycémiant, Glucovance expose au risque de survenue d'épisodes hypoglycémiques. Après l'initiation du traitement, une augmentation progressive de la posologie peut permettre d'éviter la survenue d'hypoglycémies.
Ce traitement ne sera prescrit que si le patient est susceptible de s'alimenter régulièrement (y compris la prise de petit déjeuner). Il est important que la prise de glucides soit régulière ; le risque d'hypoglycémies étant augmenté par la prise tardive d'un repas, par une alimentation insuffisante ou par un repas non équilibré en glucides. L'hypoglycémie survient préférentiellement en période de régime hypocalorique, après un effort important ou prolongé, après ingestion d'alcool, ou lors de l'administration concomitante d'autres médicaments hypoglycémiants.
Diagnostic :
Les symptômes d'hypoglycémie sont : céphalées, faim, nausées, vomissements, fatigue extrême, troubles du sommeil, insomnie, agressivité, concentration et réactivité diminuées, dépression, confusion, troubles de l'élocution, troubles visuels, tremblements, paralysies et paresthésie, vertige, délire, convulsions, somnolence, perte de connaissance, respiration superficielle et bradycardie.
En raison d'une contre-régulation due à l'hypoglycémie, peuvent également survenir : sueurs, peur, tachycardie, hypertension, palpitations, angine de poitrine et arythmie. Ces symptômes peuvent être absents quand l'hypoglycémie survient lentement, en cas de neuropathie végétative ou si le patient est traité par bêtabloquants, clonidine, réserpine, guanéthidine ou d'autres sympathomimétiques.
Traitement de l'hypoglycémie :
Les symptômes modérés d'hypoglycémie, sans perte de connaissance ni signes neurologiques, doivent être corrigés par un apport glucidique immédiat. Une adaptation de la posologie et/ou une modification du comportement alimentaire seront effectuées.
Les réactions hypoglycémiques sévères, avec coma, convulsions ou autres troubles neurologiques sont possibles et constituent une urgence médicale nécessitant un traitement immédiat avec du glucose par voie intraveineuse, et ceci dès que la cause est diagnostiquée ou suspectée avant l'hospitalisation immédiate du patient.
Une sélection soigneuse des patients, de la posologie utilisée ainsi qu'une information adéquate des patients sont nécessaires pour diminuer le risque d'épisodes hypoglycémiques. Si le patient connaît des épisodes répétés d'hypoglycémie sévère ou des épisodes répétés d'hypoglycémie dont il n'a pas conscience, un traitement antidiabétique autre que Glucovance doit être envisagé.
Facteurs favorisant l'hypoglycémie :
  • administration concomitante d'alcool, en particulier chez des patients à jeun ;
  • refus ou incapacité du patient à coopérer, en particulier chez le sujet âgé ;
  • malnutrition, horaires irréguliers des repas, saut de repas, période de jeûne ou modification du régime ;
  • déséquilibre entre exercice physique et prise de glucides ;
  • insuffisance rénale ;
  • insuffisance hépatique sévère ;
  • surdosage en Glucovance ;
  • certains désordres endocriniens : insuffisance thyroïdienne, insuffisance hypophysaire et surrénale ;
  • administration concomitante de certains autres médicaments : cf Interactions.
Patients âgés :
L'âge ≥ 65 ans a été identifié comme un facteur de risque d'hypoglycémie chez les patients traités par sulfonylurées. L'hypoglycémie peut être difficile à reconnaître chez le patient âgé. La posologie initiale et les doses d'entretien du glibenclamide doivent être prudemment adaptées pour diminuer le risque d'hypoglycémie (cf Posologie et Mode d'administration).
Insuffisances rénale et hépatique :
La pharmacocinétique et/ou la pharmacodynamie de Glucovance peuvent être modifiées chez les patients présentant une insuffisance hépatique ou une insuffisance rénale sévère.
En cas de survenue d'une hypoglycémie chez ces patients, celle-ci risquant d'être prolongée, une prise en charge appropriée doit être instituée.
Information du patient :
Les risques d'hypoglycémie, ses symptômes et son traitement, ainsi que les conditions qui y prédisposent, doivent être expliqués au patient et à sa famille. De même, le risque de survenue d'une acidose lactique doit être évoqué devant des signes non spécifiques tels que des crampes musculaires accompagnées de troubles digestifs, de douleurs abdominales, d'une asthénie sévère, d'une dyspnée acidosique, d'une hypothermie et d'un coma.
Le patient doit être informé en particulier de l'importance du respect du régime alimentaire, du suivi d'un programme d'exercice physique régulier ainsi que de la surveillance régulière de la glycémie.
Déséquilibre glycémique :
En cas d'intervention chirurgicale ou de toute autre cause de décompensation du diabète, une insulinothérapie temporaire doit être envisagée en remplacement de ce traitement.
Les symptômes d'hyperglycémie peuvent être : polyurie, soif intense et peau sèche.
Fonction cardiaque :
Les patients souffrant d'insuffisance cardiaque ont un plus grand risque d'hypoxie et d'insuffisance rénale. Chez les patients avec une insuffisance cardiaque chronique stable, Glucovance peut être utilisé si un contrôle régulier de la fonction cardiaque et rénale est réalisé.
Glucovance est contre-indiqué chez les patients souffrant d'insuffisance cardiaque aiguë et instable (cf Contre-indications).
Fonction rénale :
Le DFG doit être évalué avant le début du traitement et régulièrement par la suite (cf Posologie et Mode d'administration). La metformine est contre-indiquée chez les patients avec un DFG < 30 ml/min et doit être temporairement interrompue dans des situations pouvant altérer la fonction rénale (cf Contre-indications).
Administration de produits de contraste iodés :
L'administration intravasculaire de produits de contraste iodés peut provoquer une néphropathie induite par le produit de contraste qui entraînera une accumulation de metformine et une augmentation du risque d'acidose lactique. La metformine doit être arrêtée avant ou au moment de l'examen d'imagerie et ne doit être reprise qu'après un délai minimum de 48 heures, à condition que la fonction rénale ait été réévaluée et jugée stable, cf Posologie et Mode d'administration, Interactions.
Utilisation concomitante du glibenclamide avec d'autres produits médicaux :
L'utilisation concomitante du glibenclamide avec l'alcool, la phénylbutazone ou le danazol n'est pas recommandée (cf Interactions).
Intervention chirurgicale :
Glucovance doit être interrompue au moment de l'intervention chirurgicale sous anesthésie générale, rachidienne ou péridurale. Le traitement ne peut être repris que 48 heures au moins après l'intervention ou la reprise de l'alimentation orale, et à condition que la fonction rénale ait été réévaluée et jugée stable.
Autres précautions :
  • Tous les patients doivent poursuivre leur régime alimentaire, avec une répartition régulière de l'apport glucidique au cours de la journée. Les patients en surcharge pondérale doivent poursuivre le régime hypocalorique.
  • La pratique d'exercice physique régulier est nécessaire en même temps qu'un traitement par Glucovance.
  • Les analyses biologiques recommandées (glycémie, HbA1c) pour la surveillance du diabète doivent être effectuées régulièrement.
  • La metformine peut réduire les taux sériques de vitamine B12. Le risque de faibles taux de vitamine B12 augmente avec la dose, la durée du traitement et/ou chez les patients présentant des facteurs de risque pouvant causer une carence en vitamine B12. En cas de suspicion de carence en vitamine B12 (par exemple, en cas d'anémie ou de neuropathie), les taux sériques de vitamine B12 doivent être contrôlés. Une surveillance régulière peut être nécessaire chez les patients à risque de carence en vitamine B12. Le traitement par metformine doit être poursuivi tant qu'il est toléré et qu'il n'y a pas de contre-indication, et un traitement correctif approprié doit être prescrit pour traiter la carence en vitamine B12 conformément aux recommandations cliniques en vigueur.
  • Le traitement des patients atteints d'un déficit en G6PD par des sulfamides hypoglycémiants peut entraîner une anémie hémolytique. Dans la mesure où le glibenclamide appartient à la classe chimique des sulfamides hypoglycémiants, il doit être utilisé avec précaution chez les patients atteints d'un déficit en G6PD et une alternative thérapeutique sans sulfamides hypoglycémiants doit être envisagée.
  • Les patients présentant des problèmes héréditaires rares d'intolérance au galactose, de déficit en lactase totale ou de malabsorption du glucose-galactose ne doivent pas prendre ce médicament.
  • Ce médicament contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par comprimé pelliculé, c'est-à-dire qu'il est essentiellement « sans sodium ».

INTERACTIONS

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FERTILITÉ/GROSSESSE/ALLAITEMENT

Grossesse :

Aucune donnée préclinique et clinique sur des grossesses exposées à Glucovance n'est disponible.

Risque lié au diabète :
Le diabète (gestationnel ou permanent), lorsqu'il n'est pas équilibré, est à l'origine d'une augmentation des malformations congénitales et de la mortalité périnatale.
En période périconceptionnelle, un équilibre aussi bon que possible du diabète doit être réalisé, afin de réduire le risque malformatif.
Risque lié à la metformine (cf Sécurité préclinique) :
Les études chez l'animal n'ont pas montré d'effets délétères sur la grossesse, le développement embryonnaire ou fœtal, l'accouchement ou le développement postnatal.
Le nombre limité de données sur l'utilisation de la metformine chez la femme enceinte n'indique pas une augmentation du risque d'anomalies congénitales.
Risque lié au glibenclamide (cf Sécurité préclinique) :
Les études chez l'animal n'ont pas mis en évidence d'effet tératogène. En l'absence d'effet tératogène chez l'animal, un effet malformatif dans l'espèce humaine n'est pas attendu. En effet, à ce jour, les substances responsables de malformations dans l'espèce humaine se sont révélées tératogènes chez l'animal au cours d'études bien conduites sur deux espèces.
En clinique, il n'existe pas actuellement de données suffisamment pertinentes pour évaluer un effet malformatif ou fœtotoxique du glibenclamide lorsqu'il est administré pendant la grossesse.
Conduite à tenir :
La rééquilibration du diabète permet de normaliser le déroulement de la grossesse pour cette catégorie de patientes. Glucovance ne doit pas être utilisé comme traitement antidiabétique pendant toute la durée de la grossesse. Seule l'insuline doit être utilisée pour obtenir un équilibre glycémique adéquat.
Il est recommandé d'effectuer le relais d'un traitement oral par l'insuline dès l'instant qu'une grossesse est envisagée ou en cas de découverte fortuite d'une grossesse exposée à ce médicament.
Une surveillance néonatale de la glycémie est recommandée.

Allaitement :

La metformine est excrétée dans le lait maternel humain. Aucun effet indésirable n'a été observé chez le nouveau-né et le nourrisson allaité par des femmes traitées exclusivement avec de la metformine. Cependant, en l'absence de données concernant le passage dans le lait maternel du glibenclamide dans l'espèce humaine, et compte tenu du risque d'hypoglycémie néonatale, ce médicament est contre-indiqué pendant l'allaitement.

Fertilité :

La fertilité des rats mâles et femelles n'a pas été affectée par l'administration de doses de metformine allant jusqu'à 600 mg/kg/jour, ce qui correspond à environ 3 fois la dose quotidienne maximale recommandée dans l'espèce humaine rapportée à la surface corporelle.

La fertilité des rats mâles et femelles n'a pas été affectée par l'administration orale de doses de glibenclamide de 100 et 300 mg/kg/jour.


CONDUITE et UTILISATION DE MACHINES

Les patients devront être sensibilisés sur les symptômes d'hypoglycémie et devront être prudents en cas de conduite de véhicules et d'utilisation de machines.

EFFETS INDÉSIRABLES

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SURDOSAGE

En raison de la présence d'un sulfamide hypoglycémiant, un surdosage peut entraîner une hypoglycémie (cf Mises en garde et Précautions d'emploi).

En raison de la présence de metformine, un surdosage important ou l'existence de facteurs de risque associés peuvent conduire à une acidose lactique (cf Mises en garde et Précautions d'emploi). L'acidose lactique est une urgence médicale qui doit être traitée en milieu hospitalier. Le traitement le plus efficace est l'élimination des lactates et de la metformine par hémodialyse.

La clairance plasmatique du glibenclamide peut être prolongée chez les patients souffrant d'une pathologie hépatique. Du fait de la forte liaison du glibenclamide aux protéines, le glibenclamide n'est pas éliminé par dialyse.

PHARMACODYNAMIE

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PHARMACOCINÉTIQUE

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SÉCURITÉ PRÉCLINIQUE

Aucune étude préclinique n'a été réalisée avec l'association. L'évaluation des données de sécurité précliniques de chacun des constituants, metformine et glibenclamide, basées sur des études conventionnelles de toxicité après des doses répétées, de génotoxicité, et de carcinogenèse n'a pas montré de risque particulier pour l'homme.

Les études réalisées chez l'animal avec la metformine et le glibenclamide n'ont pas montré d'effets délétères directs ou indirects pendant la grossesse, le développement fœtal et embryonnaire, la mise bas ou le développement postnatal (cf Fertilité/Grossesse/Allaitement).

MODALITÉS DE CONSERVATION

Durée de conservation : 4 ans.

Pas de précautions particulières de conservation.

MODALITÉS MANIPULATION/ÉLIMINATION

Tout médicament non utilisé ou déchet doit être éliminé conformément à la réglementation en vigueur.

PRESCRIPTION/DÉLIVRANCE/PRISE EN CHARGE

LISTE I
AMM3400935801623 (2001, RCP rév 05.08.2024) 30 cp 500 mg/2,5 mg.
3400935802804 (2001, RCP rév 05.08.2024) 30 cp 500 mg/5 mg.
3400935026538 (2010, RCP rév 05.08.2024) 30 cp 1000 mg/5 mg.
Prix conseillé :5,04 euros (30 comprimés à 500 mg/2,5 mg).
7,21 euros (30 comprimés à 500 mg/5 mg).
9,38 euros (30 comprimés à 1000 mg/5 mg).
Non remb Séc soc.

Titulaire de l'AMM : Merck Santé s.a.s.

Laboratoire

MERCK SERONO
37, rue Saint-Romain. 69379 Lyon cdx 08
Tél : 04 72 78 25 25
Info médic/Pharmacovigilance :
0 800 888 024 : Service & appel gratuits
E-mail : infoqualit@merckgroup.com
www.merckserono.fr
Voir la fiche laboratoire
VIDAL Recos
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