Sommaire
immunoglobulines humaines normales
résidu : immunoglobulines A
Cip : 3400930169612
Modalités de conservation : Avant ouverture : 2° < t < 8° durant 36 mois (Conserver dans son emballage, Ne pas congeler)
Après ouverture : < 25° durant 6 mois (Ne pas conserver au réfrigérateur)
Cip : 3400930169629
Modalités de conservation : Avant ouverture : 2° < t < 8° durant 36 mois (Conserver dans son emballage, Ne pas congeler)
Après ouverture : < 25° durant 6 mois (Ne pas conserver au réfrigérateur)
Cip : 3400930169636
Modalités de conservation : Avant ouverture : 2° < t < 8° durant 36 mois (Conserver dans son emballage, Ne pas congeler)
Après ouverture : < 25° durant 6 mois (Ne pas conserver au réfrigérateur)
Cip : 3400930169605
Modalités de conservation : Avant ouverture : 2° < t < 8° durant 36 mois (Conserver dans son emballage, Ne pas congeler)
Après ouverture : < 25° durant 6 mois (Ne pas conserver au réfrigérateur)
FORMES et PRÉSENTATIONS |
Solution pour perfusion (limpide ou légèrement opalescente et incolore ou jaune pâle).
Flacon contenant 50 mL, 100 mL, 200 mL ou 400 mL de solution. Boîte de 1.
COMPOSITION |
Immunoglobuline humaine normale (IgIV)
Pour 1 mL de solution :
Immunoglobuline humaine normale : 100 mg
(pureté de l'IgG au moins égale à 98 %)
Chaque flacon de 50 mL contient : 5 g d'immunoglobuline humaine normale.
Chaque flacon de 100 mL contient : 10 g d'immunoglobuline humaine normale.
Chaque flacon de 200 mL contient : 20 g d'immunoglobuline humaine normale.
Chaque flacon de 400 mL contient : 40 g d'immunoglobuline humaine normale.
Répartition des sous-classes d'IgG (valeurs approximatives) :
Le taux minimum d'IgG anti-rougeole est de 9 UI/mL.
La teneur maximale en IgA est de 84 microgrammes/mL.
Fabriqué à partir de plasma provenant de donneurs humains.
Glycine, eau pour préparations injectables
INDICATIONS |
Traitement de substitution chez les adultes, les enfants et adolescents (âgés de 0 à 18 ans) :
* DPAS = incapacité à augmenter d'au moins 2 fois le titre d'anticorps IgG dirigés contre les antigènes polysaccharidiques et polypeptidiques des vaccins anti-pneumococciques.
Il convient également de tenir compte des recommandations officielles sur l'utilisation des immunoglobulines humaines intraveineuses dans la prophylaxie pré-/post-exposition et l'immunisation active contre la rougeole.
Immunomodulation chez les adultes et chez les enfants et adolescents (âgés de 0 à 18 ans) en cas de :
Immunomodulation chez les adultes âgés de 18 ans et plus en cas de :
POSOLOGIE ET MODE D'ADMINISTRATION |
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CONTRE-INDICATIONS |
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MISES EN GARDE et PRÉCAUTIONS D'EMPLOI |
Tous les patients doivent faire l'objet d'une surveillance étroite en cas de débit de perfusion élevé (8,4 mL/kg/h). Chez les enfants ou les patients présentant un risque d'insuffisance rénale, le débit maximal de perfusion ne doit pas dépasser 4,8 mL/kg/h.
GAMUNEX ne doit pas être mélangé avec d'autres solutions pour perfusion (solution saline, par ex.) ni avec d'autres médicaments. S'il est nécessaire de procéder à une dilution préalablement à la perfusion, une solution glucosée à 50 mg/mL peut être utilisée. Toutefois, en cas de diabète latent (où une glycosurie passagère peut apparaître), de diabète, ou chez les patients qui suivent un régime pauvre en sucres, l'utilisation d'une solution glucosée de 50 mg/mL doit être surveillée attentivement. Voir également la mise en garde sur l'insuffisance rénale aiguë ci-dessous.
L'administration simultanée de GAMUNEX et d'héparine à l'aide d'un dispositif d'injection à cathéter mono-lumière simple doit être évitée.
Traçabilité :
Afin d'améliorer la traçabilité des médicaments biologiques, le nom et le numéro de lot du produit administré doivent être notés clairement.
Précautions d'emploi :
Les complications potentielles peuvent souvent être évitées en s'assurant que les patients :
Chez tous les patients, l'administration d'IgIV nécessite :
En cas d'effets indésirables, le débit d'administration doit être diminué ou la perfusion doit être arrêtée. Le traitement nécessaire dépend de la nature et de la sévérité de l'effet indésirable.
Réaction liée à la perfusion
Certains effets indésirables (par exemple céphalées, bouffées congestives, frissons, myalgies, sibilances, tachycardie, lombalgies, nausées et hypotension) peuvent être liés au débit de perfusion. Le débit de perfusion recommandé à la rubrique Posologie et mode d'administration doit donc être strictement respecté.
Les patients doivent rester sous étroite surveillance pendant toute la durée de la perfusion afin que d'éventuels signes d'intolérance puissent être détectés.
Des effets indésirables peuvent survenir plus fréquemment :
Hypersensibilité
Les réactions d'hypersensibilité sont rares.
Une anaphylaxie peut survenir chez les patients :
En cas de choc, le traitement médical standard de l'état de choc doit être instauré.
Évènements thromboemboliques
Des données cliniques montrent un lien entre l'administration intraveineuse d'IgIV et des accidents thromboemboliques tels qu'infarctus du myocarde, accident vasculaire cérébral, embolie pulmonaire et thrombose veineuse profonde. Ces évènements sont probablement liés à l'augmentation relative de la viscosité sanguine suite à un apport important d'immunoglobulines chez des patients à risque. Toutes les précautions doivent être prises lors de la prescription et de l'administration intraveineuse d'immunoglobulines chez des patients obèses et chez des patients présentant des facteurs de risque d'accidents thromboemboliques (patients âgés, hypertension, diabète sucré, antécédents de maladies vasculaires ou épisodes thrombotiques, patients porteurs d'anomalies thrombophiliques acquises ou héréditaires, patients immobilisés pour de longues périodes, patients souffrant d'hypovolémie grave, ou atteints de maladies augmentant la viscosité sanguine).
Chez les patients présentant un risque d'évènement indésirable thromboembolique, les préparations d'IgIV doivent être administrées à une dose et à un débit de perfusion les plus faibles possibles.
Insuffisance rénale aiguë
Des cas d'insuffisance rénale aiguë ont été rapportés chez des patients traités par IgIV. Dans la plupart des cas, des facteurs de risque ont été identifiés tels qu'insuffisance rénale préexistante, diabète sucré, hypovolémie, surpoids, administration concomitante de médicaments néphrotoxiques ou âge de plus de 65 ans.
Les paramètres rénaux doivent être contrôlés avant la perfusion d'IgIV, en particulier chez les patients considérés comme pouvant avoir un risque accru de développement d'une insuffisance rénale aiguë, et à intervalles réguliers ensuite. Chez les patients présentant un risque d'insuffisance rénale aiguë, les IgIV doivent être administrées à une dose et à un débit de perfusion les plus faibles possibles. En cas d'atteinte rénale, l'arrêt du traitement par IgIV doit être envisagé.
Bien que ces cas de dysfonctionnement rénal et d'insuffisance rénale aiguë aient été associés à l'utilisation de nombreuses spécialités d'IgIV contenant divers excipients tels que le saccharose, le glucose et le maltose, celles contenant du saccharose comme stabilisant étaient responsables de la majorité de ces cas. Chez les patients à risque, l'utilisation de préparations d'IgIV ne contenant pas ces excipients doit être envisagée. GAMUNEX ne contient pas de saccharose, de maltose ou de glucose.
Syndrome de méningite aseptique (SMA)
Des cas de SMA ont été rapportés en association avec un traitement par IgIV. Le syndrome apparaît généralement plusieurs heures à 2 jours après le traitement par IgIV. Les analyses du liquide céphalo-rachidien (LCR) sont souvent positives avec une pléiocytose pouvant aller jusqu'à plusieurs milliers de cellules par mm3, essentiellement de type granulocytaire, et une augmentation des taux de protéines atteignant jusqu'à plusieurs centaines de mg/dL. Le syndrome de méningite aseptique peut survenir plus fréquemment en cas de traitement par IgIV à forte dose (2 g/kg).
Chez les patients présentant de tels signes et symptômes, un examen neurologique approfondi et une analyse du LCR doivent être réalisés pour exclure d'autres causes de méningite.
L'arrêt du traitement par IgIV a entraîné une rémission du SMA en quelques jours, sans séquelles.
Anémie hémolytique
Les préparations d'IgIV peuvent contenir des anticorps dirigés contre des groupes sanguins qui sont susceptibles d'agir comme des hémolysines et d'induire la fixation in vivo des immunoglobulines à la surface des hématies, entrainant ainsi un test direct à l'antiglobuline positif (test de Coombs) et, dans de rares cas, une hémolyse. Une anémie hémolytique peut survenir à la suite d'un traitement par IgIV en raison d'une séquestration accrue des hématies. Les patients traités par IgIV doivent être surveillés pour détecter tout signe clinique ou symptôme d'hémolyse. (Voir rubrique Effets indésirables.)
Les facteurs de risque suivants sont associés à l'apparition d'une hémolyse : doses élevées, qu'elles soient administrées en une seule fois ou réparties sur plusieurs jours, groupe sanguin autre que O, et état inflammatoire sous-jacent. Une vigilance accrue est recommandée pour les patients de groupe sanguin non-O et qui reçoivent des doses élevées pour des indications autres que DIP. Une hémolyse n'a été que rarement signalée chez les patients recevant un traitement de substitution pour un DIP.
Des cas isolés de dysfonctionnement rénal/d'insuffisance rénale liés à l'hémolyse avec issue fatale ont été rapportés.
Neutropénie/leucopénie
Une diminution transitoire du nombre de neutrophiles et/ou des épisodes de neutropénie, parfois sévères, ont été rapportés après un traitement par IgIV. Cet effet survient généralement dans les quelques heures ou jours suivant l'administration d'IgIV et est spontanément résolutif dans les 7 à 14 jours.
Syndrome de détresse respiratoire aiguë post-transfusionnel (TRALI)
Des cas d'œdème aigu pulmonaire non cardiogénique [syndrome de détresse respiratoire aiguë post-transfusionnel (TRALI - Transfusion Related Acute Lung Injury)] ont été rapportés chez des patients recevant des IgIV. Le TRALI est caractérisé par une hypoxie sévère, une dyspnée, une tachypnée, une cyanose, une fièvre et une hypotension. Les symptômes du TRALI apparaissent généralement pendant une perfusion ou dans les 6 heures suivant la fin de la perfusion, souvent en une à deux heures. Par conséquent, les patients recevant des IgIV doivent être surveillés et la perfusion d'IgIV doit être arrêtée immédiatement en cas de survenue d'effets indésirables pulmonaires. Le TRALI est une affection susceptible d'engager le pronostic vital qui nécessite une prise en charge immédiate dans une unité de soins intensifs.
Interférence avec les tests sérologiques
Après l'administration d'immunoglobulines, l'augmentation transitoire du taux des anticorps transférés passivement peut entraîner des résultats faussement positifs lors de dosages sérologiques.
Le transfert passif d'anticorps anti-érythrocytaires, tels que les anticorps anti-A, anti-B ou anti-D, peut interférer avec certains tests sérologiques de recherche d'anticorps anti-érythrocytaires, par exemple le test direct à l'antiglobuline (TDA, test de Coombs direct).
Agents infectieux transmissibles
Les mesures standards de prévention d'infections dues à l'utilisation de médicaments préparés à partir de sang ou de plasma humain comprennent : la sélection des donneurs, le screening de chaque don et des pools de plasma à la recherche des marqueurs spécifiques d'infections, ainsi que l'intégration d'étapes efficaces d'inactivation/élimination virale dans le procédé de fabrication. Néanmoins, la possibilité de transmission d'agents infectieux ne peut pas être totalement exclue lors de l'administration de médicaments préparés à partir de sang ou de plasma humain. Cela s'applique également aux virus inconnus ou émergents et autres agents pathogènes.
Les mesures prises sont considérées comme efficaces vis-à-vis des virus enveloppés, tels que le virus de l'immunodéficience humaine (VIH), le virus de l'hépatite B (VHB) et le virus de l'hépatite C (VHC). Ces mesures peuvent être de valeur limitée contre les virus non enveloppés, tels que le virus de l'hépatite A (VHA) et le parvovirus B19.
On dispose d'une expérience clinique rassurante concernant l'absence de transmission de l'hépatite A ou du parvovirus B19 par les immunoglobulines. On considère également que les anticorps présents contribuent fortement à la sécurité virale.
Il est fortement recommandé d'enregistrer le nom et le numéro de lot à chaque administration de GAMUNEX, afin de conserver un lien entre le patient et le lot de produit administré.
Population pédiatrique :
Bien que les données disponibles soient limitées, les mêmes mises en garde, précautions d'emploi et facteurs de risque doivent s'appliquer à la population pédiatrique. Dans des rapports de post-commercialisation il a été observé que les indications nécessitant un traitement par de fortes doses d'IgIV chez les enfants, en particulier la maladie de Kawasaki, sont associées à une augmentation du signalement de réactions hémolytiques par rapport aux autres indications d'IgIV chez les enfants.
Les médecins doivent sérieusement envisager un contrôle du taux de l'hémoglobine 24-48 heures après l'administration de l'IgIV en cas de suspicion d'hémolyse. Lorsqu'un nouveau traitement s'impose il est fortement recommandé, en cas de suspicion d'hémolyse, de contrôler le taux d'hémoglobine une semaine après l'administration suivante d'IgIV. La famille du patient doit être informée qu'elle doit retourner chez le médecin au cas où leur enfant développe des symptômes d'hémolyse tels que pâleur, léthargie, urine de couleur foncée, dyspnée ou palpitations.
Teneur en sodium :
Ce médicament contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par dose unique (jusqu'à une dose maximale de 2 g/kg), c'est-à-dire qu'il est essentiellement « sans sodium ».
INTERACTIONS |
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FERTILITÉ/GROSSESSE/ALLAITEMENT |
Grossesse
La sécurité de ce médicament chez la femme enceinte n'a pas été établie par des études cliniques contrôlées. Par conséquent, ce médicament doit être prescrit avec prudence chez les femmes enceintes.
Les préparations d'IgIV traversent le placenta, notamment pendant le troisième trimestre. L'expérience clinique avec les immunoglobulines suggère qu'aucun effet délétère n'est attendu sur l'évolution de la grossesse ni sur le fœtus et le nouveau-né.
Allaitement
La sécurité de ce médicament chez la femme allaitante n'a pas été établie par des études cliniques contrôlées. Par conséquent, ce médicament doit être prescrit avec prudence chez les femmes qui allaitent.
Les immunoglobulines sont excrétées dans le lait maternel. Aucun effet délétère sur les nouveau-nés/nourrissons allaités n'est attendu.
Fertilité
L'expérience clinique avec les immunoglobulines suggère qu'aucun effet délétère sur la fécondité n'est attendu.
CONDUITE et UTILISATION DE MACHINES |
GAMUNEX n'a aucun effet ou un effet négligeable sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines. Néanmoins, les patients présentant des effets indésirables au cours du traitement doivent attendre que ceux-ci aient disparu avant de conduire des véhicules ou d'utiliser des machines.
EFFETS INDÉSIRABLES |
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SURDOSAGE |
Le surdosage peut entrainer une hypervolémie et une hyperviscosité, en particulier chez les patients à risque, notamment les nourrissons, les patients âgés et les patients présentant des troubles cardiaques ou rénaux (voir rubrique Mises en garde et précautions d'emploi).
PHARMACODYNAMIE |
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PHARMACOCINÉTIQUE |
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SÉCURITÉ PRÉCLINIQUE |
Les immunoglobulines sont des composants normaux du corps humain. On dispose de peu de données précliniques étant donné que l'administration d'immunoglobulines chez les animaux peut provoquer la formation d'anticorps. L'administration de GAMUNEX à des animaux au cours d'études aiguës et subaiguës n'a pas montré un risque particulier pour l'homme.
INCOMPATIBILITÉS |
Ce médicament ne doit pas être mélangé avec d'autres médicaments à l'exception de ceux mentionnés dans la rubrique Elimination/Manipulation.
DURÉE DE CONSERVATION |
3 ans.
PRÉCAUTIONS PARTICULIÈRES DE CONSERVATION |
A conserver au réfrigérateur (entre 2 °C et 8 °C). Ne pas congeler. A conserver dans l'emballage d'origine.
Le produit peut être conservé dans son emballage extérieur d'origine à température ambiante (ne dépassant pas 25 °C) pendant une période unique de 6 mois maximum. Dans ce cas, la durée de conservation du produit expirera à la fin de cette période de 6 mois. La nouvelle date de péremption doit être notée sur l'emballage extérieur. Néanmoins, la nouvelle date de péremption ne peut excéder la date de péremption initiale imprimée. A la fin de cette période, le produit doit être utilisé ou détruit. Une nouvelle conservation au réfrigérateur ou une congélation n'est pas possible.
PRÉCAUTIONS PARTICULIÈRES D'ÉLIMINATION ET DE MANIPULATION |
Avant la perfusion, la solution de GAMUNEX doit être amenée à température ambiante ou à température corporelle. La solution pour perfusion doit être limpide à légèrement opalescente et incolore ou jaune pâle. Les solutions troubles ou contenant des particules ne doivent pas être utilisées. Tout médicament non utilisé ou déchet doit être éliminé conformément à la réglementation en vigueur. Après ouverture du flacon, le contenu doit être immédiatement administré.
Une nouvelle conservation, même au réfrigérateur, n'est pas admise à cause des risques de contamination microbienne. Si une dilution avant la perfusion est inévitable, une solution de glucose à 50 mg/mL peut être utilisée. Ne pas diluer avec des solutions salines.
L'administration simultanée de GAMUNEX et d'héparine à l'aide d'un cathéter mono lumière doit être évitée.
Les lignes de perfusion peuvent être rincées à l'aide d'une solution de glucose à 50 mg/mL ou d'une solution de chlorure de sodium (9 mg/mL) et ne peuvent pas être rincées avec de l'héparine.
Les verrous héparine par lesquels GAMUNEX a été administré peuvent être rincés à l'aide d'une solution de glucose à 50 mg/mL ou d'une solution de chlorure de sodium (9 mg/mL) et ne peuvent pas être rincés avec de l'héparine.
Instructions pour la manipulation des flacons (flacons de 50 mL, 100 mL, 200 mL et 400 mL seulement)
Les flacons sont fournis avec une étiquette étrier (Fig. 1). Après insertion du système de perfusion (Fig. 2), retourner le flacon et replier l'étrier de l'étiquette (Fig. 3). Appuyer fermement avec les doigts pour créer un pli de chaque côté de l'étrier (Fig. 4). Suspendre le flacon par l'étrier au pied à perfusion (Fig. 5).
PRESCRIPTION/DÉLIVRANCE/PRISE EN CHARGE |
AMM |
|
Collect et inscrit sur la liste de rétrocession avec prise en charge à 100 % dans les indications :
Traitement de substitution chez les adultes, et les enfants et adolescents (âgés de 0 à 18 ans) :
* DPAS= incapacité à augmenter d’au moins 2 fois le titre d’anticoprs IgG dirigés contre les antigènes polysaccharidiques et polypeptidiques des vaccins anti-pneumococciques.
Immunomodulation chez les adultes et chez les enfants et adolescents (âgés de 0 à 18 ans) en cas de :
Immunomodulation chez les adultes et chez les enfants et adolescents (âgés de 0 à 18 ans) en cas de neuropathie motrice multifocale (NMM).
Immunomodulation chez les adultes âgés de 18 ans et plus en cas de poussées myasthéniques aigues sévères.
Prophylaxie pré-/post-exposition contre la rougeole pour les adultes, enfants et adolescents (0-18 ans) à risque chez qui la vaccination active est contre-indiquée ou déconseillée.
Inscrit sur la liste des spécialités prises en charge en sus des GHS dans les indications :
Traitement de substitution chez les adultes, et les enfants et adolescents (âgés de 0 à 18 ans) :
* DPAS= incapacité à augmenter d’au moins 2 fois le titre d’anticoprs IgG dirigés contre les antigènes polysaccharidiques et polypeptidiques des vaccins anti-pneumococciques.
Immunomodulation chez les adultes et chez les enfants et adolescents (âgés de 0 à 18 ans) en cas de :
Immunomodulation chez les adultes, les enfants et les adolescents (2 à 18 ans) en cas de neuropathie motrice multifocale (NMM).