Mise à jour : 19 septembre 2024
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Information patient
  • OXYNORMORO
Famille du médicament : Antalgique apparenté à la morphine

Dans quel cas le médicament OXYNORMORO est-il prescrit ?

Ce médicament est un antalgique puissant qui appartient à la famille des opioïdes forts. Il combat la douleur en agissant directement sur le cerveau.

Il est utilisé dans le traitement des douleurs rebelles, notamment des douleurs d'origine cancéreuse.

Vous pouvez consulter le(s) article(s) suivants :

Présentations du médicament OXYNORMORO

OXYNORMORO 5 mg : comprimé orodispersible (arôme menthe) ; boîte de 14
Sur ordonnance (Stupéfiant) - Remboursable à 65 % - Prix : 1,56 €.
OXYNORMORO 10 mg : comprimé orodispersible (arôme menthe) ; boîte de 14
Sur ordonnance (Stupéfiant) - Remboursable à 65 % - Prix : 2,58 €.
OXYNORMORO 20 mg : comprimé orodispersible (arôme menthe) ; boîte de 14
Sur ordonnance (Stupéfiant) - Remboursable à 65 % - Prix : 4,80 €.

Les prix mentionnés ne tiennent pas compte des « honoraires de dispensation » du pharmacien.

Composition du médicament OXYNORMORO

p cpp cpp cp
Oxycodone chlorhydrate5 mg10 mg20 mg
Aspartam+++
Excipients : Amidon de maïs, Aspartam, Cellulose microcristalline, Crospovidone, Eudragit E 30D, Glucose, Hypromellose, Magnésium stéarate, Maltodextrine, Mannitol, Menthe arôme, Saccharose, Silice dioxyde, Sphères de sucre

Contre-indications du médicament OXYNORMORO

Ce médicament ne doit pas être utilisé dans les cas suivants :
  • insuffisance hépatique grave,

  • asthme ou bronchite chronique obstructive graves,

  • insuffisance respiratoire grave,

  • cœur pulmonaire (trouble cardiaque du à une hypertension artérielle pulmonaire),

  • surcharge du sang en dioxyde de carbone,

  • troubles intestinaux avec occlusion intestinale,

  • phénylcétonurie (présence d'aspartam)

  • enfant de moins de 18 ans,

  • en association avec les antalgiques contenant de la buprénorphine, de la nalbuphine, de la pentazocine, de la naltrexone ou du nalméfène.

  • allaitement.

Attention

Ce médicament opioïde fort expose à un risque de dépendance. Le risque est plus élevé en cas d'utilisation prolongée ou de dépassement de la posologie prescrite face à une baisse de l'effet du médicament (tolérance). La dose prescrite ne doit jamais être dépassée sans nouvel avis médical.

Une diminution progressive des doses est nécessaire après un traitement prolongé pour limiter les symptômes de manque (syndrome de sevrage) qui peuvent être observés en cas d'arrêt brutal du traitement.

Des précautions sont nécessaires dans les situations suivantes : insuffisance rénale, insuffisance hépatique, hypothyroïdie, maladie d'Addison, rétrécissement des voies bilaires, maladie intestinale inflammatoire, épilepsie, hypertension intrâcranienne, adénome de la prostate, suite de chirurgie intestinale, alcoolisme ou de dépendance connue aux opiacés.

Chez la personne âgée, l'augmentation des doses en fonction de la douleur doit suivre les recommandations du médecin, du fait d'un risque plus important de surdosage.

La prise d'alcool doit être évitée pendant le traitement : risque d'augmentation des effets indésirables.

Attention : conducteurCe médicament peut induire une somnolence parfois intense chez certaines personnes. Cette somnolence peut être augmentée par la prise d'alcool ou d'autres médicaments sédatifs. La conduite ou l'utilisation de machines dangereuses sont déconseillées.

Attention : sportifSportif : ce médicament contient une substance susceptible de rendre positifs certains tests antidopage.

Interactions du médicament OXYNORMORO avec d'autres substances

Ce médicament ne doit pas être associé à un antalgique contenant de la buprénorphine (TEMGESIC...), de la nalbuphine, de la pentazocine, de la naltrexone, du nalméfène : diminution de l'effet antalgique.

Il peut interagir avec certains antibiotiques de la famille des macrolides (clarithromycine, érythromycine, télithromycine), certains antifongiques (kétoconazole, itraconazole, voriconazole, posaconazole) et les traitements contenant du ritonavir, du cobicistat ou du bocéprévir.

Informez par ailleurs votre médecin si vous prenez un sédatif (par exemple un tranquillisant, un somnifère, un antidépresseur, un neuroleptique ou un antalgique opiacé), un produit de phytothérapie contenant du millepertuis ou un médicament contenant l'une des substances suivantes : rifampicine, rifabutine, carbamazépine, phénytoïne, primidone, phénobarbital, éfavirenz ou oxcarbazépine.

Évitez également de consommer du jus de pamplemousse pendant le traitement.

Fertilité, grossesse et allaitement

Grossesse :

L'effet de ce médicament pendant la grossesse est mal connu : seul votre médecin peut évaluer le risque éventuel de son utilisation dans votre cas.

Allaitement :

Ce médicament passe dans le lait maternel ; un choix est donc nécessaire entre l'allaitement et la prise du médicament. Cette décision devra être prise en accord avec votre médecin.

Mode d'emploi et posologie du médicament OXYNORMORO

Le comprimé doit être mis dans la bouche où il se délite rapidement.

Posologie usuelle :

  • Adulte à partir de 18 ans : 5 mg toutes les 4 à 6 heures. Cette posologie peut être augmentée quotidiennement en fonction du résultat sur la douleur. Chez les patients antérieurement traités par un autre dérivé de l'opium, la dose initiale peut être plus élevée.

Conseils

Respectez la posologie et la durée de traitement prescrites par votre médecin. Mais si le traitement paraît insuffisant, n'hésitez pas à reprendre contact avec lui.

La prescription de morphine et de substances apparentées (stupéfiants) est rédigée par le médecin sur une ordonnance sécurisée.

La durée de validité de l'ordonnance est limitée à 28 jours.

Effets indésirables possibles du médicament OXYNORMORO

Très fréquents (plus de 10 % des cas) : constipation, nausées, vomissements, somnolence, sensations vertigineuses, maux de tête, démangeaisons. Des médicaments peuvent être prescrits pour limiter la constipation.

Fréquents (1 à 10 % des cas) : diminution de l'appétit, anxiété, confusion des idées, dépression, insomnie, nervosité, troubles de la pensée, cauchemars, plus spécialement chez le sujet âgé, tremblements, essoufflement, douleur abdominale, diarrhée, bouche sèche, digestion difficile, éruption cutanée, transpiration excessive.

Peu fréquents (0,1 à 1 % des cas) : soif, agitation, euphorie, hallucinations, trous de mémoire, convulsions, perte de sensibilité de la peau, contractions musculaires involontaires, troubles du langage, malaise, fourmillements, altération du goût, trouble de la vision, contraction de la pupille, palpitations, ballonnements, renvois, sécheresse de la peau, troubles de l'érection, diminution de la libido, difficultés à uriner, frissons, syndrome de sevrage, augmentation des transaminases.

Rares : ralentissement du cœur, insuffisance respiratoire, hypotension orthostatique, urticaire, carie, arrêt des règles, réaction allergique.

Vous avez ressenti un effet indésirable susceptible d’être dû à ce médicament, vous pouvez le déclarer en ligne.

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Commentaires

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JeanC Il y a un an 0 commentaire associé

Suite

Je voudrais insister sur le fait que les effets de ces médicaments varient d'un individu à l'autre et aussi attirer votre attention sur le fait qu'il existe d'autres méthodes que les médicaments pour lutter contre la douleur. Tout le monde n'est pas réceptif à l'auto-hypnose et certains n'y croient pas et n'essayent même pas. Il existe d e nombreuses méthodes, ce serait dommage de ne pas essayer si cela peut vous éviter une surconsommation de médicaments. 

JeanC Il y a un an 1 commentaire associé

Bonjour tout le monde,

je viens de lire vos commentaires et je me demandais si les commentaires négatifs ne sont pas sur-représentés par rapport à la moyenne. Je suis atteint de douleurs poszosteriennes (consécutives à un zona). Au début on m'a donné 600 mg de Pregabaline qui suffisaient à supporter la douleur. Dans le même temps je me suis mis à pratiquer l'auto-hypnose qui est assez efficace, à condition que la douleur ne soit pas trop forte. C'est plus facile à dire qu'à faire...Mais mon médecin a eu l'idée de baisser la pregabaline à 500 mg et d'introduire l'OxyNormOro pour faire chuter brutalement la douleur dès le matin. Je vous passe les détails des essais/erreurs de dosage. Depuis deux ans je ne prends plus que 400 mg de pregabalinge (200 matin et soir) et une dose de 60 à 80 mg d'OxyNormOro en une prise le matin (espace de quelques minutes entre chaque comprimé) selon l'intensité de la douleur et 60 mg vers 17 heures, lorsque la douleur reprend. Je n'ai jamais éprouvé le besoin d'en prendre plus après deux ans parceque l'effet produit par l'OxyNormOro est pratiquement le même chaque jour. Je voudrais insister sur le fait que les effets de ces médicaments varient d'un individu à l'autre

Modérateur Médecine générale Il y a un an 0 commentaire associé

Bonjour

Vous avez tout à fait raison, les risques concernent rarement tout le monde. C'est utile de le rappeler.

Didoub33 Il y a un an 1 commentaire associé

Bonjour 

je prends de l'oxynormoro depuis mars 2017 à raison de 240 mg par jour. 
Pour une éventuelle nouvelle intervention, les chirurgiens ne veulent pas m'opérer tant que ces doses n'auront pas drastiquement évolué à la baisse. 
je n'arrive pas à savoir pourquoi ?
De plus après avoir mis 6 mois à me débarrasser du Fentanyl ( que j'avais en ) par palier, sans être hospitalisé ( croyez-moi je sais ce qu'est une décente et l'état de manque d'un drogué, car j'ai bien conscience que c'est ce que je suis !) comment puis-je également réduire ce dosage, sans hospitalisation bien sûr ? Car c'est ce que les thérapeutes me demandent de faire, mais sans de réelles lignes directrices. 
que me conseillerez-vous sur ces 2 points ?
Merci par avance pour votre retour. 

Modérateur Il y a un an 0 commentaire associé

Bonjour

La seule et la meilleure solution est de vous faire accompagner par un centre d'addictologie et/ou par un centre antidouleur si cette posologie élevée est liée à un problème médical responsable de douleurs importantes.

Mums Il y a 4 ans 4 commentaires associés
C est dommage que ce médicament n est pas prescrit pour des personnes boulimique ma fille l acheté au marché noir quand elle en trouve et quand elle en a elle ne fait plus de crise d angoisse plus de crise de boulimie plus d insomnie ma fille est reconnu bipolaire borderline quand elle trouve ce médicament elle n a pas besoin des autres médicaments somnifères anxiolytiques régulateur d humeur ( sauf le teralithe et le potassium ) la avec 2 x 5 mg elle est posé bien dans sa peau et ne part pas dans des excès comme alcool et crise de boulimie il y a peut être une étude a faire la dessus
Modérateur Médecine générale Il y a 4 ans 3 commentaires associés
Bonjour Ce médicament dérivé de l'opium expose à une dépendance grave. Le mécanisme de cette dépendance, comme pour toute toxicomanie, est en partie fondé sur le bien-être immédiat et puissant ressenti lors de la prise du médicament. La question est : combien de temps pourrait-elle rester à seulement 2 x 5 mg si elle pouvait se procurer légalement ce médicament ?
tininam Il y a 2 ans 2 commentaires associés

Mon dieu ! Je confirme ce que dis le Docteur. Moi même victime de ce médicament sans n'avoir jamais touché aucune drogue ni alcool auparavant. J'en ai pris pour des douleurs extrèmement puissantes du rachis lombaire, que seul ce médicament soulageait. Au début il me fallait 5 à 10 mg par prise, 3 à 4 fois jours vu les douleurs. Cela a duré presque 8 ans et j'étais à 300 mg par 24 heures !!!! J'étais devenu un vrai zombie. La vie sociale complètement explosée. Je ne pensais plus qu'à une chose, avoir mes "bonbons" d'oxynorm à volonté près de mon lit dont je ne bougeait plus d'ailleurs. J'étais bien après chaque prise. Mais quelle vie ? Perte de mémoire, constipation très prononcée, plus envie de rien car les effets d'oxynorm me suffisait pour vivre et être bien sans bouger !!! Alors après un avertissement de ma femme qui n'en pouvait plus de me voir comme ça, j'ai pris (difficilement) conscience, que j'étais un toxicomane ! Moi qui n'ait jamais voulu toucher à quoi que ce soit, car des plaisirs de la vie il y en a bien d'autres, naturels, pleins de solutions que la vie nous propose. Il suffit juste de trouver où et quoi. Mais surtout pas un médicament de cette catégorie qui plus est. L'oxynormoro devient

Nina7 Il y a 2 ans 1 commentaire associé

Bonjour Tininam 

Je me trouve dans la même situation que vous vous êtes trouvez... Avoir mes "bonbons" sur ma table de nuit , rester allongée toute la journée car je ne suis plus capable d'avoir une vie normale et j'ai 2 enfants dont je doit m'en occuper mais chose qui me coûte extrêmement...

Ma posologie est de 160mg/jour mais il y à des jours où je dépasse les 300... Et puis c'est l'angoisse noire jusqu'au prochain rdv car le médecin va me faire la morale me réduire les doses et je vais être encore plus mal...

Je commence à réfléchir à un sevrage pour arrêter d'en prendre (j'en prend depuis bientôt 4ans) mai seule à la maison je sais que je serais incapable,donc je songe de demander à mon médecin traitant s'il peut me faire hospitaliser.

Si je suis pas trop indiscrète vous pourriez me dire comment vous avez réussi à arrêter ? 

Je vous remercie d'avance

Bonne journée à vous 

Modérateur Il y a 2 ans 0 commentaire associé

Bonjour

Je ne sais pas si Tininam vous répondra, mais votre situation est très inquiétante. La situation est potentiellement grave et vous avez en effet besoin d'être aidée et soutenue. Consultez en addictologie en étant soutenue par votre médecin traitant avant qu'il ne soit trop tard (risque important que l'on vous enlève vos enfants)

Titi91360 Il y a 5 ans 1 commentaire associé
Bonjour, Je suis traité avec de l'oxynormoro, du durogesic 50, du lyrica 125 du cymbalta 30 à raison de fortes doses quotidiennes. Pouvez vous me dire si tous ces médicaments ou interactions entre ces médicaments peuvent avoir de l'influence sur l'apparition d'hyper acousie, d'acouphènes bilatéraux, la baisse de la vision et sur mes 4 dents qui se sont très dégradées depuis que je prends tous ces médicament ? merci pour votre aide et assistance.
Modérateur Médecine générale Il y a 5 ans 0 commentaire associé
Bonjour Je suis désolé, mais je n'ai trouvé aucune source pour répondre à votre question. Il faut dire qu'une telle association est très inhabituelle.
Charline.ba Il y a 5 ans 1 commentaire associé
Bonjour, Est-il possible d’associer pour un lumbago du biprofenid avec de l’oxynormoro ? Merci d’avance.
Modérateur Médecine générale Il y a 5 ans 0 commentaire associé
Bonjour, oui, il n'y a pas d'interaction dangereuse entre ces produits;
Jean Pierre 11 Il y a 5 ans 3 commentaires associés
Bonjour, Je suis traité pour un cancer à la base de la langue. J’ai eu deux chimiothérapie et trente cinq séances de radiothérapie. J’ai terminé mes traitements depuis deux mois. J’ai commencé de prendre de l’Oxynormoro 5 pendant mes traitements ( deux mois) pour calmer mes douleurs de gorge 3 par jours. Je prend maintenant depuis deux mois de l’Oxynormoro 10 pour la douleur 3 par jours. Je me demande lorsque je vais pouvoir arrêter de prendre les cachets comment mon corps va réagir et comment je vais pouvoir faire. Y a-t-il une accoutumance ? Merci de votre réponse.
Modérateur Médecine générale Il y a 5 ans 2 commentaires associés

Bonjour, L'oxycodone est un opiacé et crée donc à la fois une dépendance et une accoutumance (besoin d'augmenter le dose pour avoir le même effet). La dépendance avec les opiacés existe après une prise prolongée en comprimés, mais elle est moins forte qu'avec les injections. Vous aurez sans doute quelques semaines un peu difficiles, mais cela ne sera pas insurmontable. Ce risque ne justifie pas que vous vous priviez d'un traitement qui vous soulage.

tininam Il y a 2 ans 1 commentaire associé

Je ne peux pas vous laisser dire ça malgré tout le respect que je vous dois docteur. L'arrêt de l'oxynormoro est extrèmemet compliqué. Pendant 2 à 3 jours, c'est un enfer total ! Douleur dans tout le corps. Crampes d'estomac très fortes. Diarrée à répétition. Impression de mourrir. Même avec des subtituts comme l'orobupré que je prends actuellement en addiction à cause de ce pu**** de médicament. Il ne devrait être donné ou administré que par une infirmière à domicile, sans que le patient n'en ai jamais une seule boite chez lui. Et dès que l'augmention de posologie est demandée par le patient, passer à une autre mollécule et toujours sous contrôle médical. L'oxynormoro et le PIRE des médicaments anti douleurs même si les autres ne sont pas beaucoup mieux....

Modérateur Médecine générale Il y a 2 ans 0 commentaire associé

Vous ne pouvez pas généraliser à partir d'une expérience personnelle. Ce que vous décrivez existe bien sûr, mais concerne surtout l'arrêt après un usage prolongé à dose éleveé. Je corrige néanmoins mon commentaire d'il y a 3 ans en remplaçant "beaucoup moins forte" par "moins forte".

youen Il y a 6 ans 1 commentaire associé
bonjour, ma femme prend du 5+5mg 4 fois par jour depuis 5 jours et du doliprane 1000 même fréquence sans améliorations de sa douleur vertébral est-il possible pour sa dernière prise du soir avant de se coucher de prendre 15mg?? Merci pour votre réponse
Modérateur Il y a 6 ans 0 commentaire associé
Bonjour Prendre 15 mg au lieu de 10 au coucher a de bonne chances d'être bien supporté, mais je ne peux pas vous le garantir. Elle le saura en essayant.
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