Terme | Définition |
épilepsie | Maladie chronique survenant par crises, liée à une anomalie de l'activité électrique d'un groupe de cellules cérébrales. Ses manifestations, d'intensité variable, vont de la chute brutale de l'attention (absences, ou petit mal) à la perte de conscience accompagnée de mouvements musculaires anormaux (convulsions, ou grand mal). L'épilepsie partielle, comme son nom l'indique, ne concerne pas la totalité du corps : les mouvements saccadés ne touchent qu'un ou plusieurs groupes musculaires.
Consultez l'article : Epilepsie |
éruption cutanée | Apparition de boutons ou de plaques sur la peau. Ces lésions peuvent être dues à un aliment, à un médicament, et traduire une allergie ou un effet toxique. De nombreux virus peuvent également provoquer des éruptions de boutons : celles de la rubéole, de la roséole et de la rougeole sont les plus connues. |
accident thromboemboliques | Accident qui résulte de l'obstruction (embolie) d'un vaisseau sanguin par un caillot (thrombus).
Le vaisseau peut �tre une art�re : il s'agit alors d'une�embolie art�rielle, qui provoque une isch�mie (privation de sang oxyg�n�) dans la r�gion que cette art�re irriguait. Une isch�mie grave aboutit � la mort des tissus priv�s d'oxyg�ne : l'infarctus. Heureusement, dans de nombreux cas, une art�re voisine permet d'�viter l'infarctus en apportant du sang oxyg�n� dans la r�gion victime de l'isch�mie.
Le c�ur est irrigu� par les art�res coronaires qui ont la propri�t� d'�tre peu reli�es entre elles, ce qui explique la gravit� d'un accident thromboembolique coronarien : une partie du muscle cardiaque, le myocarde, est d�truite (infarctus du myocarde).
L'obstruction d'une veine est moins grave, car les veines assurent le retour du sang charg� de gaz carbonique vers le c�ur. L'obstruction d'une veine est g�n�ralement appel�e thrombophl�bite. La gravit� d'une thrombophl�bite, ou phl�bite, tient � la possibilit� pour un caillot de se d�tacher de la veine et d'�tre emport� par le sang veineux jusqu'au c�ur. Apr�s avoir travers� l'oreillette droite et le ventricule droit, ce caillot va p�n�trer dans une art�re pulmonaire et obstruer un vaisseau sanguin, provoquant une embolie pulmonaire et un infarctus pulmonaire. |
accident vasculaire cérébral | Lésion du cerveau due à une hémorragie ou à l'obstruction brutale d'une artère. En fonction de l'importance de la lésion, les conséquences sont plus ou moins graves : malaise passager, paralysie, coma.
Abréviation : AVC.
Consultez l'article : Accident vasculaire cérébral (AVC) |
acné | Affection de la peau liée à une rétention de sébum formant des comédons (points noirs et microkystes). Ceux-ci sont le siège d'une prolifération de bactéries et se transforment en pustules.
Consultez l'article : Acné |
antécédent | Affection guérie ou toujours en évolution. L'antécédent peut être personnel ou familial. Les antécédents constituent l'histoire de la santé d'une personne. |
artère | Vaisseau sanguin partant du cœur. |
ballonnement | Accumulation d'air ou de gaz dans l'intestin.
Consultez l'article : Ballonnement, flatulence et aérophagie |
calcul | Concrétion (pierre) qui se forme dans les voies excrétrices de certains organes : voies urinaires, biliaires, salivaires.
Synonyme : lithiase. |
calcul biliaire | Corps solide que forme le cholestérol dans la vésicule ou les voies biliaires.
Consultez l'article : Calculs biliaires |
cancer | Maladie due au développement anarchique et incontrôlable de certaines cellules de l'organisme. Ces cellules anormales, capables de se multiplier indéfiniment, peuvent envahir des organes ou des vaisseaux sanguins et lymphatiques, formant à distance de nouvelles tumeurs, appelées métastases. On classe les cancers en tumeurs solides (qui se développent à partir d'un organe visible) et en tumeurs liquidiennes, qui proviennent des cellules de la moelle osseuse (leucémies notamment).
Consultez les articles : Les cancers |
cancer hormonodépendant | Cancer dont le développement est susceptible d'être stimulé par certaines hormones : cancer de la prostate, cancer du sein, cancer du corps de l'utérus. En revanche, le cancer du col de l'utérus n'est pas hormonodépendant et n'interdit pas l'usage des médicaments contenant des hormones. |
candidose | Multiplication anormale d'une levure microscopique, Candida albicans le plus souvent. Il s'agit d'une complication fréquente et bénigne des traitements antibiotiques. Les principaux symptômes sont des troubles digestifs, une coloration marron ou noire de la langue, des taches blanches sur le palais ou la langue (muguet), des démangeaisons ou des brûlures de la vulve ou du gland. |
cholestérol | Principale graisse circulant dans le sang. Elle est utilisée dans l'organisme comme matière première, notamment pour l'enveloppe des cellules et pour la synthèse des hormones stéroïdes. En excès, le cholestérol est éliminé dans la bile, mais il peut également s'accumuler dans les artères et former des plaques d'athérome.
Consultez l'article : Cholestérol |
chorée | Maladie neurologique se manifestant par des contractions et des mouvements musculaires anormaux. |
contraceptif | Qui s'oppose à la conception : contraceptif oral (pilule), local (stérilet, spermicide, diaphragme et préservatif).
Consultez l'article : Contraception féminine |
Crohn | Inflammation de l'intestin, qui peut causer des ulcères et des rétrécissements. Elle devient souvent chronique et peut s'accompagner de diarrhées tenaces et de dénutrition.
Consultez l'article : Maladie de Crohn |
dépression | Maladie associant le plus souvent un sentiment de fatigue, d'inutilité, de culpabilité, d'incapacité à accomplir les tâches quotidiennes. Une perte d'appétit et des troubles du sommeil sont fréquents. Les pulsions suicidaires sont l'un des signes de gravité de la dépression.
Consultez l'article : Dépression |
diabète | Terme général désignant les maladies se traduisant par l'émission d'urines abondantes et par une soif intense. Employé seul, le mot diabète concerne généralement le diabète sucré, qui correspond à une perturbation de la régulation des sucres de l'organisme par l'insuline. Il se traduit par l'augmentation du sucre (glucose) dans le sang et par sa présence éventuelle dans les urines. Il existe deux sortes de diabète sucré : le diabète de type 1, ou insulinodépendant, qui nécessite un traitement par l'insuline en injection, et le diabète de type 2, ou non insulinodépendant, qui peut, dans un premier temps, être traité par les antidiabétiques oraux.
Consultez l'article : Diabète de type 1 ou Diabète de type 2 |
diarrhée | Le sens médical strict de diarrhée est « émission de selles trop fréquentes et trop abondantes ». En fait, le sens commun assimile la diarrhée à la notion de selles liquides et fréquentes. Normalement, les selles sont pâteuses, mais l'émission de selles liquides ou à peine formées, sans douleur ou trouble particulier associé, n'est pas pathologique. On peut parler de diarrhée lorsque les émissions de selles liquides se répètent dans la journée, et que les besoins sont impérieux ou douloureux.
Beaucoup de médicaments peuvent accélérer le transit intestinal et rendre les selles plus liquides, sans que cet effet indésirable soit réellement préoccupant.
Les antibiotiques peuvent altérer la flore digestive, indispensable à la digestion, et provoquer des diarrhées plus ou moins gênantes mais bénignes. L'effet apparaît immédiatement ou après quelques jours de traitement. Une forme de diarrhée grave et exceptionnelle, la colite pseudomembraneuse, peut être observée après un traitement antibiotique ; cette affection se traduit par l'émission de glaires et de fausses membranes (ressemblant à des lambeaux de peau) associées à des douleurs abdominales ; une constipation peut remplacer la diarrhée initiale. La colite pseudomembraneuse peut survenir plusieurs jours après l'arrêt du traitement antibiotique et nécessite un avis médical urgent.
Consultez l'article : Diarrhée et gastro-entérite de l’adulte ou Diarrhée et gastro-entérite de l’enfant |
dispositif transdermique | Système, parfois appelé timbre ou patch, permettant l'absorption d'un médicament au travers de la peau : il assure la diffusion de la substance active vers les vaisseaux sanguins du derme. La substance circule ensuite dans le sang et peut agir comme si elle avait été avalée ou injectée. Ce dispositif permet d'éviter l'effet de premier passage hépatique. |
effets indésirables | La tendance actuelle dans les textes officiels est de rapporter la totalité des symptômes gênants observés, même exceptionnellement, chez les personnes ayant utilisé le médicament lors des études scientifiques.
Certains de ces troubles sont réellement dus au médicament et constituent ses effets indésirables ; lorsqu'il existe un risque grave ou important, un message spécifique figure généralement dans la rubrique Attention.
D'autres troubles peuvent avoir été constatés sans que le médicament ne possède de responsabilité réelle dans leur survenue.
Dans un souci d'exhaustivité, nous avons choisi de reproduire l'intégralité des troubles énumérés dans les textes officiels, bien que nous ayons conscience du risque de créer une inquiétude injustifiée. L'information précise du public reste néanmoins notre principale priorité. Il faut donc avoir conscience, en lisant la rubrique Effets indésirables possibles des nouveaux médicaments, que les troubles cités ne sont pas forcément imputables à la molécule utilisée.
Consultez l'article : Comprendre les effets indésirables |
embolie | Obstruction d'une artère par un caillot ou une plaque d'athérome apportés par le courant sanguin. L'embolie pulmonaire est généralement due à un caillot formé dans une veine qui remonte vers le cœur et vient obstruer une artère pulmonaire. |
estrogène | Famille d'hormones stimulant les organes sexuels féminins (utérus et glandes mammaires essentiellement). On écrit aussi œstrogène. |
excipient | Substance sans activité thérapeutique entrant dans la composition du médicament ou utilisée pour sa fabrication. L'excipient a pour fonction d'améliorer l'aspect ou le goût, d'assurer la conservation, de faciliter la mise en forme et l'administration du médicament. Il sert aussi à acheminer la substance active vers son site d'action et à contrôler son absorption par l'organisme.
L'excipient devrait avoir une innocuité parfaite (être bien toléré) ; néanmoins certains peuvent entraîner des réactions allergiques ou des intolérances individuelles : il s'agit des excipients à effet notoire.
Consultez l'article : Les excipients à effet notoire |
hépatite | Inflammation du foie. Elle peut être due à un médicament, à un virus, à l'alcool ou à une autre cause.
Les hépatites virales guérissent généralement sans traitement. Contrairement aux hépatites A et E presque toujours bénignes, les hépatites B et C peuvent devenir chroniques : le virus persiste dans l'organisme du malade qui reste contagieux mais ne souffre pas obligatoirement de troubles hépatiques. L'hépatite chronique est dite active lorsque le virus continue à détruire les cellules du foie, destruction traduite par l'augmentation des transaminases dans le sang.
Consultez les articles : Hépatite A, Hépatite B, Hépatite C et Hépatite E |
herpès |
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Maladie virale due essentiellement aux virus Herpes simplex 1 et 2. Elle se manifeste, lors des poussées, par une éruption douloureuse de fines vésicules. Entre les poussées, le virus reste présent dans les ganglions nerveux. Le virus de type 1 donne plutôt des lésions situées autour de la bouche, alors que le virus de type 2 atteint de préférence les organes génitaux.
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Famille de virus (Herpèsvirus) qui comprend notamment l'Herpes simplex virus (HSV 1 et 2), le virus varicelle-zona (VZV), le Cytomégalovirus (CMV) et le virus d'Epstein-Barr (EBV) de la mononucléose infectieuse.
Consultez les articles : Herpès génital et Bouton de fièvre (herpès labial) |
hormone | Substance produite par le corps et transportée par le sang, destinée à réguler l'activité de certaines glandes ou de certains organes. |
humeur | Dans son sens médical, l'humeur est plutôt synonyme de moral. Un trouble de l'humeur peut revêtir la forme d'une dépression ou d'une excitation euphorique, par exemple. |
hypertension artérielle | Excès de pression (tension) du sang dans les artères. Cette pression est assurée par le cœur et est exprimée par deux chiffres. Elle est maximale lors de la contraction du cœur, ou systole (premier chiffre), et minimale lors du repos cardiaque, ou diastole (deuxième chiffre). Une hypertension artérielle se caractérise par une pression maximale (systolique) supérieure ou égale à 16, ou une pression minimale (diastolique) supérieure ou égale à 9,5. Un traitement est instauré lorsque ces chiffres sont dépassés ou pour des tensions plus faibles chez certaines personnes présentant des facteurs de risque cardiovasculaire : hérédité, tabagisme, diabète, excès de cholestérol. Un traitement antihypertenseur permanent permet de limiter les dommages du cœur et des vaisseaux sanguins dus à l'hypertension artérielle.
Consultez l'article : Hypertension artérielle (HTA) |
infarctus du myocarde | Destruction d'une partie du muscle cardiaque (myocarde), privé de sang par obstruction de ses artères.
Consultez l'article : Après un infarctus du myocarde |
inflammation | Réaction naturelle de l'organisme contre un élément reconnu comme étranger. Elle se manifeste localement par une rougeur, une chaleur, une douleur ou un gonflement. |
lactose | Le lactose est un sucre que l'on retrouve dans le lait et certains de ses dérivés. Pour le digérer, l'intestin doit être capable de sécréter une enzyme appelée lactase. De nombreuses personnes perdent la capacité à produire cette lactase à l'âge adulte. Le lactose passe alors dans l'intestin sans avoir été digéré et sa présence provoque des troubles intestinaux : diarrhée, ballonnements, gaz, etc. Certains médicaments contiennent du lactose utilisé comme excipient (composant sans activité thérapeutique). Les personnes qui ne digèrent pas le lactose peuvent, lorsqu'elles prennent ce type de médicament, souffrir d'effets indésirables intestinaux. |
lupus érythémateux | Maladie de peau provoquant une rougeur de la partie centrale du visage. Il en existe deux formes principales : lupus discoïde (uniquement cutané) et lupus disséminé (associé à des lésions des organes profonds). |
migraine | Mal de tête particulier touchant généralement la moitié droite ou gauche de la tête, souvent associé à une crainte de la lumière et du bruit.
Consultez l'article : Maux de tête et migraine. |
obésité | Excès de poids par augmentation des graisses stockées dans le corps. Elle peut provenir de facteurs héréditaires, d'une alimentation mal équilibrée et trop importante, ou de problèmes hormonaux. L'obésité favorise les maladies cardiovasculaires, le diabète, les problèmes articulaires (dos, hanche, genou, cheville) et certains cancers.
Consultez l'article : Obésité. |
pancréatite | Inflammation ou infection du pancréas. Cette glande située derrière l'estomac sécrète des enzymes digestives ainsi que l'insuline, indispensable au métabolisme des sucres.
Une pancréatite aiguë se traduit par des douleurs abdominales ou dorsales extrêmement violentes. Elle est confirmée par une prise de sang spécifique. |
phlébite | Inflammation d'une veine profonde avec formation d'un caillot sanguin, touchant généralement les jambes. La gravité des phlébites est liée à la possibilité d'un déplacement du caillot qui peut migrer jusqu'au cœur et venir ensuite obstruer une artère des poumons (embolie pulmonaire). Une paraphlébite, ou phlébite superficielle, est l'inflammation d'une veine superficielle ; elle est beaucoup moins préoccupante.
Consultez l'article : Thrombose veineuse (phlébite). |
phytothérapie | Méthode de traitement fondée sur l'utilisation des plantes.
Consultez l'article : Le bon usage des plantes et Phytothérapie : les plantes de A à Z. |
porphyrie | Maladie héréditaire rare due à un trouble du métabolisme d'une substance appelée porphyrine. |
progestérone | Hormone sécrétée par l'ovaire pendant la seconde phase du cycle et pendant la grossesse. Elle favorise la fixation et le développement dans l'utérus de l'œuf fécondé. Certains dérivés de la progestérone sont également utilisés comme contraceptif. |
progestatif | Substance dont l'action est proche de celle de la progestérone. |
réaction allergique | Réaction due à l'hypersensibilité de l'organisme à un médicament. Les réactions allergiques peuvent prendre des aspects très variés : urticaire, œdème de Quincke, eczéma, éruption de boutons rappelant la rougeole, etc. Le choc anaphylactique est une réaction allergique généralisée qui provoque un malaise par chute brutale de la tension artérielle.
Consultez l'article : Peut-on être allergique aux médicaments ?. |
saccharose | Le saccharose est la substance qui compose le sucre de cuisine et le sucre industriel que l'on retrouve dans les biscuits, les gâteaux, les sucreries et les boissons sucrées (une bouteille d'un litre et demi de soda contient l'équivalent de trente morceaux de sucre). Certaines personnes sont intolérantes au fructose issu de la digestion du saccharose et souffrent alors de ballonnements et de diarrhée. Certains médicaments contiennent du saccharose comme excipient (composant sans activité thérapeutique).
Consultez l'article : Tous les glucides sont-ils équivalents ?. |
sida | Abréviation de syndrome d'immunodéficience acquise (en anglais AIDS).
Forme la plus évoluée et la plus grave de l'infection par le VIH.
Consultez l'article : Infection par le VIH/sida. |
sodium | Substance minérale qui peut former des sels, notamment avec le chlore (chlorure de sodium, ou sel de table). |
symptôme | Trouble ressenti par une personne atteinte d'une maladie. Un même symptôme peut traduire des maladies différentes et une même maladie ne donne pas forcément les mêmes symptômes chez tous les malades. |
syndrome | Ensemble de symptômes fréquemment associés ; un syndrome grippal, par exemple, associe une fièvre élevée, des courbatures et un mal de tête. Un même syndrome peut être présent dans des maladies de causes différentes. |
tension artérielle | Voir pression artérielle. |
thrombose | Formation d'un caillot dans une veine, une artère ou dans l'une des cavités du cœur.
Consultez l'article : Thrombose veineuse (phlébite). |
triglycérides | Graisses circulant dans le sang. Elles proviennent essentiellement de l'assimilation des corps gras, des sucres et de l'alcool. |
trouble du rythme cardiaque | Anomalie grave ou bénigne de la fréquence des contractions du cœur. L'extrasystole est une contraction survenant juste avant ou après une contraction normale, souvent perçue comme un léger choc dans la poitrine. La fibrillation est une contraction irrégulière et désordonnée. D'autres troubles existent : torsades de pointes, syndrome de Wolf-Parkinson-White, maladie de Bouveret, tachysystolie, flutter et bloc auriculoventriculaire, etc.
Consultez l'article : Troubles du rythme cardiaque. |
tumeur | Développement anormal de cellules de l'organisme. Les tumeurs bénignes repoussent les tissus voisins sans les altérer : verrues, grains de beauté, adénomes, etc. ; leur développement reste localisé. Les tumeurs malignes envahissent les tissus avoisinants et peuvent essaimer à distance (métastases). |
varice | Dilatations anormales des veines visibles sous la peau. Elles sont dues à la perte d'élasticité de la paroi des veines ou à des lésions des valvules veineuses. Elles se situent essentiellement au niveau des jambes. Elles peuvent se compliquer avec la formation d'ulcères dits variqueux.
Consultez l'article : Varices. |
vasculaire | Qui concerne les vaisseaux sanguins : artères et veines. |
veine | Vaisseau sanguin conduisant au cœur. |
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