Mise à jour : 17 décembre 2024
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Information patient
  • ACLASTA
Fiche révisée le 17 novembre 2017
Famille du médicament : Biphosphonate

Dans quel cas le médicament ACLASTA est-il prescrit ?

Ce médicament appartient à la famille des biphosphonates (anciennement diphosphonates). Il agit en bloquant les cellules qui détruisent l'os et en luttant contre la déminéralisation ; il s'oppose donc à la libération du calcium osseux dans le sang. Il permet de réduire le risque de fracture du à l'ostéoporose.

Il est utilisé dans le traitement de :
  • l'ostéoporose, associée ou non à un traitement prolongé par corticoïde, chez la femme ménopausée et l'homme à risque élevé de fracture ;

  • la maladie de Paget.

Vous pouvez consulter le(s) article(s) suivants :

Présentations du médicament ACLASTA

ACLASTA 5 mg : solution pour perfusion IV ; flacon de 100 ml
Sur ordonnance (Liste I) - Remboursable à 65 % - Prix : 189,26 €.

Les prix mentionnés ne tiennent pas compte des « honoraires de dispensation » du pharmacien.

Composition du médicament ACLASTA

p flacon
Acide zolédronique5 mg
Excipients : Eau ppi, Mannitol, Sodium citrate

Contre-indications du médicament ACLASTA

Ce médicament ne doit pas être utilisé dans les cas suivants :
  • allergie aux médicaments de la famille des biphosphonates,

  • hypocalcémie,

  • insuffisance rénale grave,

  • grossesse,

  • allaitement.

Attention

Une surveillance particulière est nécessaire en cas de mauvais fonctionnement des reins, de prise de diurétiques ou de médicaments toxiques pour les reins et chez la personne âgée. Le jour de la perfusion, il est recommandé de boire au moins un demi-litre de liquide avant et après le traitement.

Dans le traitement de la maladie de Paget, ce médicament expose à un risque d'hypocalcémie pouvant se traduire par des manifestations neurologiques et musculaires (fourmillements des mains et des pieds, crampes musculaires, convulsions). Un dosage du calcium sanguin est recommandé avant la perfusion et des apports suffisants de calcium et de vitamine D sont nécessaires pendant au moins 10 jours après la perfusion.

Des atteintes des os de la mâchoire (ostéonécrose) pouvant entraîner la perte des dents ont été rarement rapportées chez des personnes traitées par biphosphonates. Un examen dentaire et des soins préventifs peuvent être nécessaires avant de débuter le traitement, notamment en cas d'antécédent de chimiothérapie anticancéreuse, de radiothérapie ou de prise de corticoïdes. Une bonne hygiène buccale et un suivi dentaire régulier sont recommandés pour limiter les risques. Si vous devez subir des soins dentaires, signalez à votre dentiste l'administration de ce médicament. Une carte patient contenant des informations relatives au risque d'ostéonécrose doit vous être remise par votre médecin ou votre pharmacien.

En cas de douleur, faiblesse ou gêne persistante dans la cuisse, la hanche ou l'aine, contactez sans tarder votre médecin ; des examens doivent être pratiqués pour rechercher une éventuelle fracture du fémur.

Attention : conducteurConducteur : ce médicament peut être responsable de vertiges ou d'une baisse de la vigilance.

Fertilité, grossesse et allaitement

L'effet de ce médicament pendant la grossesse et l'allaitement est mal connu : son usage est contre-indiqué chez la femme enceinte ou qui allaite.

Mode d'emploi et posologie du médicament ACLASTA

La solution doit être administrée à l'aide d'une perfusion d'une durée minimale de 15 minutes et en aucun cas par injection intraveineuse directe.

Posologie usuelle :

  • Adulte de plus de 18 ans :

    • Ostéoporose : 1 injection de 5 mg, une fois par an.

    • Maladie de Paget : 1 injection unique de 5 mg.

Conseils

Des exercices physiques réguliers adaptés à l'âge et à la condition physique contribuent à limiter l'évolution de l'ostéoporose.

Une consommation modérée d'alcool et l'arrêt du tabac sont également recommandés, car alcool et tabac favorisent la perte osseuse.

Un syndrome pseudogrippal (qui peut comporter fièvre, maux de tête, fatigue, troubles digestifs, douleurs musculaires ou articulaires) survient fréquemment dans les trois jours suivant la perfusion du médicament ; il peut être combattu par la prise de paracétamol ou d'ibuprofène.

Après ouverture du flacon, la solution doit être utilisée immédiatement. Si ce n'est pas le cas, elle peut éventuellement être conservée entre 2 °C à 8 °C pour une durée de 24 heures maximum.

Effets indésirables possibles du médicament ACLASTA

Très fréquents (plus de 10 % des patients) : fièvre.

Fréquents (1 à 10 % des patients) : douleur ou rougeur au point d'injection, nausées, vomissements, diarrhées, maux de tête, vertiges, grippe, rhume, anémie, yeux rouge, troubles du rythme cardiaque, douleurs musculaires ou articulaires, douleurs osseuses.

Peu fréquents (moins de 1 patient sur 100) : digestion difficile, douleur abdominale, constipation, bouche sèche, brûlure d'estomac, inflammation de l'œsophage, éruption cutanée, démangeaisons, sueurs, insomnie ou somnolence, fourmillements, tremblement, malaise, troubles du goût, vertiges, palpitations, hypertension, rougeur du visage, toux, essoufflement, crampes, douleur du cou ou de l'épaule, gonflement articulaire, augmentation de la créatinine.

Rares (moins de 1 patient sur 1 000) : uvéite, fracture du fémur, fragilisation des os de la mâchoire (voir Attention) ou du conduit auditif (pouvant se traduire par des douleurs, un écoulement ou des infections chroniques de l'oreille), altération du fonctionnement des reins.

Vous avez ressenti un effet indésirable susceptible d’être dû à ce médicament, vous pouvez le déclarer en ligne.

Lexique :

Terme Définition
éruption cutanée

Apparition de boutons ou de plaques sur la peau. Ces lésions peuvent être dues à un aliment, à un médicament, et traduire une allergie ou un effet toxique. De nombreux virus peuvent également provoquer des éruptions de boutons : celles de la rubéole, de la roséole et de la rougeole sont les plus connues.

alcool

Nom général désignant une famille de substances qui ont la propriété de pouvoir être mélangées à l'eau et aux corps gras. L'alcool le plus courant est l'alcool éthylique (éthanol), mais il existe de nombreux autres alcools : méthanol, butanol, etc. Le degré d'une solution alcoolique correspond au volume d'alcool pur présent dans 100 ml de solution, en sachant que 1 verre ballon de vin ou 1 demi de bière (25 cl) contiennent environ 8 g d'alcool.

Lorsque l'alcool est utilisé comme antiseptique, un dénaturant d'odeur désagréable lui est souvent ajouté pour éviter qu'il soit bu. Contrairement à une croyance répandue, l'alcool à 70° (ou même à 60°) est un meilleur antiseptique que l'alcool à 90°.

Consultez l'article : Alcoolodépendance

allergie

Réaction cutanée (démangeaisons, boutons, gonflement) ou malaise général apparaissant après un contact avec une substance particulière, l'utilisation d'un médicament ou l'ingestion d'un aliment. Les principales formes d'allergie sont l'eczéma, l'urticaire, l'asthme, l'œdème de Quincke et le choc allergique (choc anaphylactique). L'allergie alimentaire peut également se traduire par des troubles digestifs.

altération

Modification en mal par rapport à un état normal, détérioration.

anémie

Baisse du taux d'hémoglobine dans le sang, qui se traduit le plus souvent par une baisse du nombre des globules rouges. Le fer est indispensable à la synthèse de l'hémoglobine. Une carence en fer lors d'une grossesse, d'un régime végétarien, d'hémorragies abondantes ou répétées (règles) est une cause fréquente d'anémie. D'autres causes, plus rares, sont liées à des carences en vitamines du groupe B.

antécédent

Affection guérie ou toujours en évolution. L'antécédent peut être personnel ou familial. Les antécédents constituent l'histoire de la santé d'une personne.

chimiothérapie anticancéreuse

Traitement médicamenteux destiné à soigner les cancers. Le mécanisme d'action des différentes chimiothérapies est très proche : il consiste à détruire les cellules cancéreuses, qui se divisent rapidement, en altérant leur ADN, leur métabolisme ou les mécanismes moléculaires qui leur permettent de se diviser. Suivant leur mode d'action, les chimiothérapies anticancéreuses sont classées en plusieurs grandes familles : les alkylants, les antimétabolites, les poisons du fuseau et les inhibiteurs de la topo-isomérase. D'autres ont un mode d'action complexe, qui ne permet pas de les classer facilement.

La toxicité des chimiothérapies n'est malheureusement pas dirigée exclusivement contre les cellules cancéreuses. D'autres cellules à développement rapide, comme celles du sang, des cheveux ou du tube digestif, sont également touchées, entraînant de nombreux effets indésirables. Mais contrairement aux cellules tumorales, les cellules saines ont des capacités de réparation plus ou moins complètes, ce qui explique par exemple que les cheveux repoussent après une chimiothérapie qui a provoqué leur chute.

constipation

Ralentissement du transit intestinal se traduisant par la raréfaction des selles.

Consultez l'article : Constipation de l’adulte ou Constipation de bébé et de l'enfant

convulsions

Contractions involontaires limitées à quelques muscles ou généralisées à tout le corps. Elles sont dues à une souffrance ou à une stimulation excessive du cerveau : fièvre, intoxication, manque d'oxygène, lésion du cerveau. Les convulsions peuvent être dues à une crise d'épilepsie ou à une fièvre élevée chez le jeune enfant.

corticoïde

Substance proche de la cortisone. Les corticoïdes naturels, nécessaires au fonctionnement de l'organisme, sont fabriqués par les glandes surrénales. Les corticoïdes de synthèse, dérivés chimiques de la cortisone, sont utilisés comme anti-inflammatoires puissants.

créatinine

Substance dosable dans le sang, dont l'élévation anormale traduit une insuffisance rénale.

diarrhée

Le sens médical strict de diarrhée est « émission de selles trop fréquentes et trop abondantes ». En fait, le sens commun assimile la diarrhée à la notion de selles liquides et fréquentes. Normalement, les selles sont pâteuses, mais l'émission de selles liquides ou à peine formées, sans douleur ou trouble particulier associé, n'est pas pathologique. On peut parler de diarrhée lorsque les émissions de selles liquides se répètent dans la journée, et que les besoins sont impérieux ou douloureux.

Beaucoup de médicaments peuvent accélérer le transit intestinal et rendre les selles plus liquides, sans que cet effet indésirable soit réellement préoccupant.

Les antibiotiques peuvent altérer la flore digestive, indispensable à la digestion, et provoquer des diarrhées plus ou moins gênantes mais bénignes. L'effet apparaît immédiatement ou après quelques jours de traitement. Une forme de diarrhée grave et exceptionnelle, la colite pseudomembraneuse, peut être observée après un traitement antibiotique ; cette affection se traduit par l'émission de glaires et de fausses membranes (ressemblant à des lambeaux de peau) associées à des douleurs abdominales ; une constipation peut remplacer la diarrhée initiale. La colite pseudomembraneuse peut survenir plusieurs jours après l'arrêt du traitement antibiotique et nécessite un avis médical urgent.

Consultez l'article : Diarrhée et gastro-entérite de l’adulte ou Diarrhée et gastro-entérite de l’enfant

diurétique

Médicament permettant une élimination accrue d'eau par les reins. Le plus souvent, cette perte d'eau fait suite à la perte de sels provoquée par le médicament (salidiurétique).

Les diurétiques sont surtout utilisés dans le traitement de l'hypertension artérielle, alors que leur mécanisme d'action dans cette maladie est mal connu. Ils sont également prescrits dans l'insuffisance cardiaque aiguë ou chronique, les œdèmes et d'autres affections plus rares.

Ces médicaments provoquent une perte de sodium et de potassium (sauf pour certains d'entre eux appelés « épargneurs de potassium »). Leur prise prolongée nécessite donc un contrôle régulier du potassium sanguin, pour éviter les troubles cardiaques qui pourraient résulter d'une hypokaliémie (manque de potassium dans le sang). Le manque de sodium est une autre conséquence possible, mais plus rare aux posologies habituelles, de l'usage prolongé des diurétiques ; il se détecte également par une prise de sang.

excipient

Substance sans activité thérapeutique entrant dans la composition du médicament ou utilisée pour sa fabrication. L'excipient a pour fonction d'améliorer l'aspect ou le goût, d'assurer la conservation, de faciliter la mise en forme et l'administration du médicament. Il sert aussi à acheminer la substance active vers son site d'action et à contrôler son absorption par l'organisme.

L'excipient devrait avoir une innocuité parfaite (être bien toléré) ; néanmoins certains peuvent entraîner des réactions allergiques ou des intolérances individuelles : il s'agit des excipients à effet notoire.

Consultez l'article : Les excipients à effet notoire

hypocalcémie

Baisse du taux de calcium dans le sang, consécutive à une maladie ou à l'usage de certains médicaments.

inflammation

Réaction naturelle de l'organisme contre un élément reconnu comme étranger. Elle se manifeste localement par une rougeur, une chaleur, une douleur ou un gonflement.

insuffisance rénale

Incapacité des reins à éliminer les déchets ou les substances médicamenteuses. Une insuffisance rénale avancée ne se traduit pas forcément par une diminution de la quantité d'urine éliminée. Seuls une prise de sang et le dosage de la créatinine peuvent révéler cette maladie.

intraveineuse

Injection d'un médicament dans une veine, généralement au pli du coude, après désinfection de la peau. Lorsqu'il s'agit d'une injection intraveineuse directe à l'aide d'une seringue, l'effet du médicament est immédiat, mais bref. À l'inverse, la perfusion permet une administration continue et contrôlée de la substance active, diluée dans un flacon de sérum.

Abréviation : IV.

IV

Abréviation d'intraveineuse.

mannitol

Le mannitol est un sucre que l'on trouve en grandes quantités dans les algues marines. Il est utilisé pour remplacer le sucre (c'est un édulcorant sous le sigle E421) ou pour éviter le dessèchement d'un aliment ou d'une confiserie. Le mannitol est très souvent présent dans les bonbons et, en particulier, ceux destinés à rafraîchir l'haleine. Il est également présent dans de nombreux médicaments comme excipient (composant sans activité thérapeutique). Chez certaines personnes, le mannitol provoque des troubles intestinaux (diarrhée, ballonnements).

ostéoporose

Fragilisation des os, qui deviennent poreux et cassants.

Consultez l'article : Ostéoporose.

Paget

Maladie caractérisée par un développement anormal et une déformation de certains os du squelette.

palpitations

Perception anormale de battements cardiaques irréguliers.

Consultez l'article : Palpitations.

perfusion

Administration très lente d'une substance par voieintraveineuse. Le flacon est relié à la veine par un tuyau souple et transparent permettant de contrôler le débit.

Synonyme : goutte-à-goutte.

radiothérapie

Utilisation de la radioactivité pour soigner certaines maladies, notamment des cancers.

sodium

Substance minérale qui peut former des sels, notamment avec le chlore (chlorure de sodium, ou sel de table).

syndrome

Ensemble de symptômes fréquemment associés ; un syndrome grippal, par exemple, associe une fièvre élevée, des courbatures et un mal de tête. Un même syndrome peut être présent dans des maladies de causes différentes.

trouble du rythme cardiaque

Anomalie grave ou bénigne de la fréquence des contractions du cœur. L'extrasystole est une contraction survenant juste avant ou après une contraction normale, souvent perçue comme un léger choc dans la poitrine. La fibrillation est une contraction irrégulière et désordonnée. D'autres troubles existent : torsades de pointes, syndrome de Wolf-Parkinson-White, maladie de Bouveret, tachysystolie, flutter et bloc auriculoventriculaire, etc.

Consultez l'article : Troubles du rythme cardiaque.

troubles digestifs

Ensemble de symptômes traduisant une irritation ou un mauvais fonctionnement du tube digestif. Un ou plusieurs troubles peuvent être présents : nausées, vomissements, aérophagie, douleurs abdominales, brûlures d'estomac, ballonnements, flatulences, diarrhée ou constipation, etc. Les antibiotiques peuvent favoriser les candidoses, souvent responsables de troubles digestifs.

uvéite

Inflammation interne de l'œil qui concerne l'iris et les structures voisines.

vertige

Symptôme qui peut désigner une impression de perte d'équilibre (sens commun) ou, plus strictement, une sensation de rotation sur soi-même ou de l'environnement (sens médical).

Consultez l'article : Vertiges.

vigilance

État d'éveil de la conscience. La vigilance peut être diminuée après l'ingestion de certains médicaments dont l'emballage comporte un pictogramme représentant une automobile noire dans un triangle rouge.

vitamine

Substance indispensable à la croissance et au bon fonctionnement de l'organisme. Les besoins en vitamines sont normalement couverts par une alimentation variée. Dans les pays développés, seule la carence en vitamine D, chez le jeune enfant ou le vieillard peu exposés au soleil, justifie une supplémentation systématique. Un apport supérieur aux besoins, par des médicaments notamment, peut être à l'origine d'un surdosage et de troubles divers (vitamines A et D essentiellement).

Consultez l'article : Les vitamines.

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Commentaires

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Odayakana Il y a 14 jours 1 commentaire associé

J'ai fait l'injection vendredi 3 janvier à 12h, à 17h j'ai commencé à avoir des frissons, la peau du dos très sensible au toucher et j'avais froid. 

Nous sommes le 7 janvier et j'ai toujours la peau du dos très sensible au toucher. Je me demande combien de temps ça va durer. 

Je ne ferai pas une 2em injection dans 1 an.

Modérateur Il y a 14 jours 0 commentaire associé

Bonjour

Vous pouvez déclarer vous-même ces effets indésirables potentiels sur le site signalement.social-sante.gouv.fr car ce sont ces déclarations qui font progresser la connaissance des effets indésirables des médicaments.
 

ISABELLEH Il y a 3 mois 0 commentaire associé

Bonjour, Je voulais absolument témoigner; car ayant lu avant ma 1ère injection les commentaires de ce site concernant l'ACLASTA, je n'étais (vraiment) pas rassurée ! Finalement, en respectant bien (beaucoup boire d'eau avant et après l'injection /  prendre Doliprane 30 mns avant, et pendant 48 h en systématique/ se reposer 1 ou 2 jours) ce que ma Rhumatologue m'avait conseillée; et, franchement, c'est passé "comme une lettre à la poste !"... Aucun effet indésirable ! Donc, il faut rester zen; et tout se passe bien. (même l'infirmière qui m'a fait la perfusion, est rendu pour elle-même au 5 ème traitement, sans aucun effet  indésirable)  ... Bon courage à toutes et à tous pour ce traitement 

dhug Il y a 2 ans 1 commentaire associé

bonjour apres 1 ere injection aclasta en fevrier 2022  j ai dans les 8 jours developpé un ulcere à oesophage j ai bien sur un taitement pour cela

peut on me dire combien de temps cet effet indesirable va durer sachant que je ne ferai pas la 2eme injection qui devait avoir lieu en fevrier2023  

Modérateur Il y a 2 ans 0 commentaire associé

Bonjour

Il n'existe malheureusement aucune statistique sur ce sujet. Vous pouvez aussi déclarer vous-même cet effet indésirable potentiel sur le site : (Lien non autorisé)

CatherineD Il y a 2 ans 1 commentaire associé

Une semaine après une première perfusion d'ACLASTA, je ne suis toujours pas dans mon état normal. J'ai encore de la fièvre, entre 37.5 et 38, une fatigue anormale, des douleurs abdominales, j'ai eu également quelques nuits avec des insomnies sévères, des maux de tête nocturnes. Cela fait donc une semaine que je prends du Doliprane et autres antalgiques sans arrêt.

Modérateur Il y a 2 ans 0 commentaire associé

Bonjour

Vous pouvez déclarer vous-même ces effets indésirables potentiels sur le site : (Lien non autorisé)
 

CatherineD Il y a 2 ans 1 commentaire associé

J'ai eu une perfusion d'Aclasta le 23 avril dans la soiré. Le lendemain matin j'étais un peu faible mais sans plus. Puis mon état s'est dégradé : tremblements, fièvre, frissons, douleurs musculaires, douleurs lombaires, maux de tête. Tout cela est trè invalidant puisque cela fait 2 jours que je suis couchée. Je n'étais pas très motivée pour effectuer cette perfusion et espérais ne pas avoir d'effets secondaires. Mais là je pense clairement que je n'en referai pasmême s'il ne s'agissat que d ela première et que l'on est censé en faire 3.

Modérateur Il y a 2 ans 0 commentaire associé

Ces manifestations figurent dans les documents que nous avons consultés, comme étant des effets potentiellement en rapport avec la prise de ce médicament. Parlez-en à votre médecin ou à votre pharmacien. Vous pouvez aussi déclarer vous-même ces effets indésirables potentiels sur le site : (Lien non autorisé)
 

Nimo64 Il y a 3 ans 1 commentaire associé

J'ai eu une perfusion d'aclasta vendredi 14 janvier. Le lendemain j'ai eu un syndrome grippal très important. Mais surtout aujourd'hui 19 mars on vient de me diagnostiquer une uvéite. Je suis désemparée. Je précise que c'etait ma première perfusion de ce produit. Un retour du laboratoire me soutiendrait. 1 cas sur 1000. Je suis la millième. C'est dur à admettre lorsqu'on est ce cas. Merci pour le retour.

Modérateur Il y a 3 ans 0 commentaire associé

Bonjour

Vous en effet vous adresser au fabricant. Vous pouvez aussi déclarer vous-même ces effets indésirables potentiels sur le site : https://signalement.social-sante.gouv.fr/psig_ihm_utilisateurs/index.html#/accueil 
 

Zabouh Il y a 3 ans 1 commentaire associé

Je viens d'avoir une très mauvaise expérience avec ACLASTA. L'injection s'est bien passée mais 10h après, en moins de 10 mn, j'ai senti des douleurs insupportables dans les muscles et les os. Je n'ai jamais autant souffert. Même  respirer me faisait mal! Le doliprane et le Ketoprofène ne faisaient rien donc j'ai dû rajouter du tramadol. Bilan, 2 jours et demi à ne pas pouvoir quitter mon lit avec de la fièvre assez forte et l'impression d'être enfermée dans un carcan de douleur. C'est mon 3e jour et, même si la  douleur est plus supportable, je sens encore des douleurs au dos et dans les  côtes, sans compter la  fièvre toujours présente. Dur, Dur...

Modérateur Médecine générale Il y a 3 ans 0 commentaire associé

Bonjour

N'oubliez pas d'en informer votre médecin. Vous pouvez déclarer vous-même cet effet indésirable potentiel sur le site : https://signalement.social-sante.gouv.fr/psig_ihm_utilisateurs/index.html#/accueil 

Mamienanou Il y a 4 ans 0 commentaire associé
En réponse à BOB006. J'espère que les effets indésirables que vous avez ressentis sont passés et que tout va bien pour vous maintenant. Le médecin qui me suit à l'hôpital sait que l'on m'a injecté Aclasta, mais ne m'a pas fait changer d'hormonothérapie. Il me persiste des maux de tête parfois violents... augmentation de la tension artérielle alors que j'ai un traitement... à n'y rien comprendre. Mais probablement que cela vient d'autres choses... peut être des dents. Je vais demander un panoramique en espérant que les mâchoires ne sont pas atteintes d'osteonécrose !! Je persiste que je ne recommencerai pas une nouvelle injection.
BOBO06 Il y a 4 ans 0 commentaire associé
Pour répondre à Mamienanou qui a été perfusé le 17 septembre. J'espère que vous allez mieux. Ce que je peux vous dire, me concernant, j'ai également un cancer du sein et avant de me mettre sous Femara on m'a fait une ostéodensitomérie qui a révélé que j'avais déjà pas mal d'ostéoporose et mon médecin m'a indiqué qu'on ne donnait pas Femara en cas d'ostéoporose. Je suis donc sous Tamoxifène et j'ai fait l'injection hier soir. Des frissons à 5 h du matin, de la fièvre, mal partout, mal au ventre, j'espère que ça va passer rapidement.
Mamienanou Il y a 4 ans 1 commentaire associé
Quelq'un aurait il ressenti des douleurs au delà des délais donnés par la notice ? J'ai eu une perfusion d'Aclasta le 17 à 12h30. Malade pendant 3 jours avec fièvre, vomissements, vertiges fatigue... Mais depuis, d'affreuses douleurs dans le dos, qui me coupe la respiration. Même le Doliprane n'y fait rien. Je suis sous Femara, depuis à un cancer du sein l'an passé. C'est d'ailleurs ce médicament qui m'a provoqué de l'ostéoporose. Toujours est-il que c'est je crois la première et dernière fois que je fais cette perfusion. J'ai l'impression d'avoir reçu un "poison"... j'espère ne pas rester comme cela pendant l'année à venir car il me semble que c'est un médicament à effet retard. Merci de vos réponses.
Modérateur Médecine générale Il y a 4 ans 0 commentaire associé
Bonjour, Vous pouvez déclarer ces effets indésirables potentiels sur le site signalement.social-sante.gouv.fr
ELBA Il y a 5 ans 0 commentaire associé
J'ai eu ma perfusion 'aclasta jeudi 25 avril à 17 heures avec toutes les recommandations de ma rhumatologue et de mon infirmière qui m'ont de bons conseils hors aujourd'hui 30 avril depuis état grippal avec fièvre puis hier rhino-pharyngite et sinusite voila pour le moment donc je suis aux antibiotique .maintenant on verra les résultats avec aclasta j'ai eu forsteo ce n’était pas mieux envie d'uriner toute la journée et conduite de voiture à ne pas faire bon courage
toutnickel Il y a 6 ans 2 commentaires associés
Bjr, je dois suivre ce traitement par injection 1 fois par an, mais a la lecture de ces avis , je ne suis pas chaud ...
btu0401 Il y a 2 ans 0 commentaire associé

Bonjour, je suis ce traitement de perfusion d'aclasta depuis 4 ans. Les 3 ères années un enfer avec des douleurs où je pensais même que les dents tombées. Mais un jour j'ai eu la remplacante de ma rhumatologue qui avait marqué sur mon ordonnance de boire 1/2 l d'eau avant ma perfusion, et au moins au minimum 1/2l après ma perfusion. Celle ci durant une demi heure.... Et je devais prendre du paracétamol la veille et pendant les3 jours suivants la perfusion. Ça a été ma 1 ère année sans état grippal, sans douleur dans les os, sans sensation de pertes des dents.....Je reçois ma perfusion ce 1er septembre 2022 mais maintenant que sais ce que je dois faire avant, je ne stresse plus du tout

Modérateur Médecine générale Il y a 6 ans 0 commentaire associé
Bonjour, Lire les avis d'autres utilisateurs est toujours instructif, mais un choix thérapeutique doit s'appuyer avant tout sur des avis médicaux.
danyluce Il y a 6 ans 1 commentaire associé
Bonjour. J'ai 66 ans, un TScore qui est descendu à -2.6, alors que j'avais -2.4 il y a 18 mois. Mon médecin me propose du Raloxifène alors que celui ci ne consolide pas le col du fémur, (et provoque thromboses) .. le rhumato lui préconise des biphosphonates (aclastat) alors que j'ai des implants et vu tous les effets indésirables de l'un comme de l'autre.... je ne veux pas que ma vie devienne un enfer,( quand je lis tous les avis..) alors que je ne sais pas ce que je risque vraiment..!? Qui peut me dire s'il est resté a -2.6 et plus encore sans se casser. merci de votre conseil et de votre aide. Je suis désemparée et je pars en dépression tellement j'ai peur de la cassure et du traitement....Merci
Modérateur Médecine générale Il y a 6 ans 0 commentaire associé
Bonjour, Je ne peux répondre à une situation particulière D'une façon générale, le TScore à un valeur indicative, mais ne permet pas d'affirmer la survenue d'une fracture. D'autres facteurs interviennent dans la décision de traiter. L'ostéoporose sévère nécessitant un traitement concerne les femmes ayant un TScore <2,5 ET une fracture survenue pour un traumatisme minime www.has-sante.fr
MamySweety Il y a 6 ans 1 commentaire associé
Bonjour. J ai à ce jour déjà fait 2 injections aclasta. La suivante est prévue au mois d août. À chaque fois état grippal au début. Mais ça c est rien comparé aux douleurs articulaires (Je prends de la morphine ). Je suis toujours fatiguée. Maux de tête. Mais le pire c est l essoufflement. Je ne sais plus rien faire sans etre essouflee. Marché plus de 100 mètres. M habiller . Je suis constipee suivi par des diahree aussi spontanees qu' imprevisibles et j en passe... le bien que procure aclasta est il comparable à tous ses inconvénients
Modérateur Il y a 6 ans 0 commentaire associé
Bonjour, La réponse à votre question ne peut qu'être individuelle et nécessite la connaissance de votre dossier médical. Seul votre médecin peut vous répondre.
Paulochon Il y a 7 ans 0 commentaire associé
Bonjour , hospitalisé pendant deux semaines pour de violentes douleurs dorsales , l'IRM a confirmé une fracture de vertèbre L1 ( déjà fracturée il y a un an mais un scanner avait annoncé une consolidation ) . Le 11 novembre à 10h30 , j'ai eu droit à ma première perfusion d'ACLASTA !!! à part un syndrome grippal pendant deux jours , je n'ai pas pour l'instant ressenti d'autres effets secondaires ( j'avais vu le dentiste au mois d'aout et à l'hôpital j'ai passé une radio panoramique et un scanner des dents ) J'ai déjà le RDV pour la seconde perfusion dans un an !
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