Sommaire
aromatisant : menthe poivrée arôme, arôme artificiel masquant, maltodextrine, gomme arabique, propylèneglycol, menthe arôme, menthe poivrée, cire de carnauba, monoglycérides et diglycérides, éthylcellulose
EEN sans dose seuil : isomalt, aspartam, glucose, soja huile partiellement hydrogénée
Cip : 3400938730135
Modalités de conservation : Avant ouverture : < 30° durant 24 mois (Conserver dans son emballage, Conserver à l'abri de l'humidité)
Cip : 3400938730715
Modalités de conservation : Avant ouverture : < 30° durant 24 mois (Conserver dans son emballage, Conserver à l'abri de l'humidité)
Cip : 3400938729993
Modalités de conservation : Avant ouverture : < 30° durant 24 mois (Conserver à l'abri de l'humidité, Conserver dans son emballage)
FORMES et PRÉSENTATIONS |
COMPOSITION |
par pastille | |
Nicotine | 1,5 mg |
ou | 2,5 mg |
(sous forme de résinate de nicotine : 8,33 mg/pastille à 1,5 mg ; 13,88 mg/pastille à 2,5 mg) |
Excipients à effet notoire : aspartam (E951) (1,00 mg/pastille à 1,5 ou 2,5 mg), isomalt (E953) (2,32 g/pastille à 1,5 mg ; 2,31 g/pastille à 2,5 mg), huile de soja (partiellement hydrogénée) contenue dans l'arôme menthe fraîcheur longue durée (12,80 mg/pastille à 1,5 ou 2,5 mg).
par pastille | |
Nicotine | 1,5 mg |
(sous forme de résinate de nicotine : 8,33 mg/pastille) |
Excipients à effet notoire : isomalt (E953) (2,33 g/pastille), aspartam (E951) (5,00 mg/pastille).
INDICATIONS |
POSOLOGIE ET MODE D'ADMINISTRATION |
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CONTRE-INDICATIONS |
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MISES EN GARDE et PRÉCAUTIONS D'EMPLOI |
INTERACTIONS |
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FERTILITÉ/GROSSESSE/ALLAITEMENT |
Les études expérimentales effectuées dans plusieurs espèces n'ont pas montré d'effet tératogène ou fœtotoxique de la nicotine administrée à débit continu, et cela à doses maternotoxiques. Dans les mêmes conditions d'administration, une hypotrophie fœtale s'observe à doses encore plus élevées dans une seule espèce, la souris, mais pas chez le rat ou le lapin. En clinique, des observations en nombre encore limité ne montrent pas de retentissement délétère, maternel ou fœtal, de la nicotine utilisée dans l'indication du sevrage tabagique.
Chez la femme enceinte, il convient de toujours recommander un arrêt complet de la consommation de tabac, sans traitement de substitution à la nicotine.
Le tabagisme chez la femme enceinte peut être à l'origine d'un retard de croissance intra-utérin, d'une mort fœtale in utero, d'une prématurité et d'une hypotrophie néonatale. Ces effets semblent corrélés à l'importance de l'imprégnation tabagique durant la grossesse car ils s'observent lorsque l'imprégnation tabagique se poursuit pendant le 3e trimestre.
Si le sevrage tabagique n'est pas obtenu chez les fumeuses enceintes fortement dépendantes, il est recommandé de consulter un professionnel de santé avant l'initiation d'un traitement de substitution nicotinique.
L'arrêt du tabac, avec ou sans traitement de substitution, ne doit pas s'envisager de façon isolée mais s'inscrire dans le cadre d'une prise en charge globale, prenant en compte le contexte psycho-social et les autres dépendances éventuellement associées. Une consultation spécialisée dans le sevrage tabagique est donc conseillée.
La nicotine libérée par les traitements de substitution n'est pas dépourvue d'effets délétères sur le fœtus, comme en témoignent les effets hémodynamiques observés au 3e trimestre (par exemple modifications de la fréquence cardiaque), qui peuvent retentir sur le fœtus proche du terme.
Cependant, le risque encouru pour le fœtus est probablement plus faible que celui lié à la poursuite du tabagisme puisque :Par conséquent, au-delà du 6e mois de grossesse, la pastille ne doit être utilisée que sous surveillance médicale chez les fumeuses enceintes n'ayant pas réussi à arrêter de fumer avant le 3e trimestre.
Chez l'animal, il a été démontré que la nicotine pouvait altérer la fertilité (cf Sécurité préclinique).
Chez l'Homme, le tabagisme diminue la fertilité de l'homme et de la femme, sans que la contribution spécifique de la nicotine dans la survenue de ces effets ne soit connue.
CONDUITE et UTILISATION DE MACHINES |
EFFETS INDÉSIRABLES |
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SURDOSAGE |
Un surdosage en nicotine peut apparaître si plusieurs pastilles sont sucées en même temps ou si d'autres traitements pour le sevrage tabagique à base de nicotine sont utilisés de façon concomitante.
Les symptômes de surdosage sont ceux d'une intoxication aiguë à la nicotine incluant nausées, hypersalivation, douleurs abdominales, diarrhée, sueurs, céphalées, étourdissement, diminution de l'acuité auditive et faiblesse générale. A doses élevées, peuvent apparaître une hypotension, un pouls faible et irrégulier, une gêne respiratoire, une prostration, un collapsus cardiovasculaire et des convulsions.
Suite à un surdosage, l'apparition des symptômes peut être rapide en particulier chez l'enfant.
Les doses de nicotine tolérées par les fumeurs adultes et adolescents lors du traitement peuvent entraîner une intoxication sévère pouvant être fatale chez le jeune enfant. En cas de suspicion d'intoxication chez l'enfant, consulter immédiatement un médecin.
PHARMACODYNAMIE |
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PHARMACOCINÉTIQUE |
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SÉCURITÉ PRÉCLINIQUE |
Le profil de toxicité de la nicotine après administrations répétées chez l'animal apparaît similaire à celui observé chez des fumeurs modérés chroniques.
La nicotine n'est pas mutagène in vitro sur bactéries (test d'Ames) et cellules de mammifère bien que des résultats positifs aient été observés à de fortes concentrations et sans activation métabolique.
In vivo, les effets clastogènes de la nicotine ont été démontrés en utilisant plusieurs modèles expérimentaux, mais toujours après administration orale de fortes doses.
Seules des informations limitées sont disponibles sur l'utilisation à long terme de la nicotine chez l'animal afin d'évaluer les risques cancérogènes. La nicotine peut potentialiser des effets cancérogènes et favoriser l'angiogenèse.
La nicotine peut affecter la fertilité des rats mâles et femelles, à des doses relativement basses. Quand elle est administrée pendant le développement embryonnaire, la nicotine induit des résorptions embryonnaires, un retard de croissance du fœtus, et un retard du développement neuronal. De plus, l'exposition pré et post-natale à la nicotine a été associée à plusieurs pathologies chroniques.
Les données expérimentales après application de la pastille contenant de la nicotine sur la muqueuse buccale de hamster ont montré une bonne tolérance locale du produit.
MODALITÉS DE CONSERVATION |
A conserver à une température ne dépassant pas + 30 °C.
A conserver dans l'emballage extérieur, à l'abri de l'humidité.
MODALITÉS MANIPULATION/ÉLIMINATION |
Pas d'exigences particulières.
PRESCRIPTION/DÉLIVRANCE/PRISE EN CHARGE |
Nicopass Menthe Fraîcheur 1,5 mg : | |
AMM | 3400936447844 (2004, RCP rév 12.11.2024) 36 past. |
3400936498990 (2004, RCP rév 12.11.2024) 96 past. |
Nicopass Menthe Fraîcheur 2,5 mg : | |
AMM | 3400938730135 (2009, RCP rév 30.09.2024) 36 past. |
3400938730715 (2009, RCP rév 30.09.2024) 96 past. |
Nicopass Eucalyptus 1,5 mg : | |
AMM | 3400937680554 (2006, RCP rév 12.11.2024) 96 past. |
Prix : | 8,24 euros (96 pastilles). |
Boîtes de 96 : Remb Séc soc à 65 %. Collect. | |
Boîtes de 36 et de 144 : Non remb Séc soc. Collect. |
Titulaire de l'AMM : Pierre Fabre Médicament, Les Cauquillous, 81500 Lavaur.
Gamme NICOPASS : rappel d'un lot consécutif à une erreur de conditionnement