Le lansoprazole est un inhibiteur de la pompe à protons gastrique. Il permet d'inhiber le dernier stade de formation de l'acide gastrique en inhibant l'activité de la pompe à protons H+/K+ ATPase au niveau des cellules pariétales de l'estomac. L'inhibition est réversible et dose-dépendante. Ses effets s'exercent à la fois sur les sécrétions d'acide gastrique basale et stimulée. Le lansoprazole se concentre dans les cellules pariétales et devient actif dans leur environnement acide et réagit avec le groupe sulfohydrique de la pompe à protons H+/K+ ATPase entraînant une inhibition de l'activité de l'enzyme.
Le lansoprazole est un inhibiteur spécifique de la pompe à protons des cellules pariétales. Une dose orale unique de lansoprazole inhibe d'environ 80 % la sécrétion d'acide gastrique stimulée par la pentagastrine. Après administration quotidienne répétée pendant une période de sept jours, environ 90 % de la sécrétion gastrique est inhibée. Il a un effet semblable sur la sécrétion d'acide gastrique basale. Une administration orale unique de 30 mg réduit la sécrétion basale d'environ 70 %; les symptômes des patients sont donc améliorés dès la première dose. Après 8 jours d'administration répétée, la réduction est d'environ 85 %. Un soulagement rapide des symptômes est obtenu avec une gélule (30 mg) par jour, et la plupart des patients présentant un ulcère duodénal guérissent en 2 semaines, les patients présentant un ulcère gastrique ou une œsophagite par reflux en 4 semaines. En réduisant l'acidité gastrique, le lansoprazole crée un environnement dans lequel les antibiotiques appropriés peuvent être efficaces contre H. pylori.
- LANSOPRAZOLE ALMUS
- LANSOPRAZOLE ALMUS PHARMA
- LANSOPRAZOLE ARROW
- LANSOPRAZOLE ARROW LAB
- LANSOPRAZOLE BGR
- LANSOPRAZOLE BIOGARAN
- LANSOPRAZOLE CRISTERS
- LANSOPRAZOLE EG
- LANSOPRAZOLE EVOLUGEN
- LANSOPRAZOLE KRKA
- LANSOPRAZOLE SANDOZ
- LANSOPRAZOLE TEVA SANTE
- LANSOPRAZOLE VIATRIS
- LANSOPRAZOLE ZENTIVA
- LANSOPRAZOLE ZYDUS
- LANSOPRAZOLE ZYDUS FRANCE
- LANZOR
- OGAST
- OGASTORO
Les fiches DCI Vidal constituent une base de connaissances pharmacologiques et thérapeutiques, proposée aux professionnels de santé, en complément des documents réglementaires publiés.
Lansoprazole 15 mg gélule gastrorésistante
Dernière modification : 26/01/2024 - Révision : 20/08/2024
ATC | Risque sur la grossesse et l'allaitement | Dopant | Vigilance | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
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A - VOIES DIGESTIVES ET METABOLISME A02 - MEDICAMENTS DES TROUBLES DE L'ACIDITE A02B - MEDICAMENTS DE L'ULCERE PEPTIQUE ET DU REFLUX GASTRO-OESOPHAGIEN (RGO) A02BC - INHIBITEURS DE LA POMPE A PROTONS A02BC03 - LANSOPRAZOLE |
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INDICATIONS ET MODALITÉS D'ADMINISTRATIONLANSOPRAZOLE 15 mg gél (µgle gastrorésis)Indications
Ce médicament est indiqué dans les cas suivants :
- Eradication de Helicobacter pylori, traitement antisécrétoire associé (de l')
- Lésion gastroduodénale induite par les AINS, traitement curatif (de la)
- Lésion gastroduodénale induite par les AINS, traitement préventif (de la)
- Oesophagite due à un reflux gastro-oesophagien
- Oesophagite due à un reflux gastro-oesophagien, traitement préventif (de l')
- Reflux gastro-oesophagien, traitement symptomatique (du)
- Syndrome de Zollinger-Ellison
- Ulcère duodénal évolutif
- Ulcère gastrique évolutif
PosologieUnité de prisegélule- lansoprazole : 15 mg
Modalités d'administration- Voie orale
- Administrer au moins 30 minutes avant le repas
- Administrer avec une quantité suffisante de liquide
- Administrer entier
- En cas de difficulté à déglutir, ouvrir la gélule
- Possibilité d'administrer par sonde nasogastrique
- Utiliser le dosage le plus adapté à la posologie
Posologie Patient de 15 an(s) à 65 an(s) Patient quel que soit le poids Ulcère duodénal évolutif Posologie standard - Administrer de préférence le matin
- 30 mg 1 fois par jour
- Pendant 2 à 4 semaines
Lésion gastroduodénale induite par les AINS, traitement curatif (de la) - Oesophagite due à un reflux gastro-oesophagien - Ulcère gastrique évolutif Posologie standard - Administrer de préférence le matin
- 30 mg 1 fois par jour
- Pendant 4 à 8 semaines
Lésion gastroduodénale induite par les AINS, traitement préventif (de la) - Oesophagite due à un reflux gastro-oesophagien, traitement préventif (de l') Posologie standard - Administrer de préférence le matin
- 15 à 30 mg 1 fois par jour
Eradication de Helicobacter pylori, traitement antisécrétoire associé (de l') Posologie standard - Administrer matin et soir
- Traitement antibiotique à associer
- 30 mg 2 fois par jour
- Pendant 7 à 14 jours
Reflux gastro-oesophagien, traitement symptomatique (du) Posologie standard - Administrer de préférence le matin
- Traitement à réévaluer en cas de récurrence des symptômes
- 15 à 30 mg 1 fois par jour
- Pendant 4 semaines
Syndrome de Zollinger-Ellison Traitement initial - Administrer de préférence le matin
- 60 mg 1 fois par jour
Traitement ultérieur - Administrer de préférence le matin
- Administrer en 2 prises au-delà d'une dose > 120 mg
- 60 à 180 mg en 1 à 2 prises par jour
- Dose maximale par prise: 120 mg
- Posologie maximale: 180 mg par jour
- Nombre d'unité de prise maximale: 12 gélules par jour
Patient à partir de 65 an(s) Patient quel que soit le poids Ulcère duodénal évolutif Posologie standard - Administrer de préférence le matin
- 15 à 30 mg 1 fois par jour
- Pendant 2 à 4 semaines
Lésion gastroduodénale induite par les AINS, traitement curatif (de la) - Oesophagite due à un reflux gastro-oesophagien - Ulcère gastrique évolutif Posologie standard - Administrer de préférence le matin
- 15 à 30 mg 1 fois par jour
- Pendant 4 à 8 semaines
Lésion gastroduodénale induite par les AINS, traitement préventif (de la) - Oesophagite due à un reflux gastro-oesophagien, traitement préventif (de l') Posologie standard - Administrer de préférence le matin
- 15 à 30 mg 1 fois par jour
Eradication de Helicobacter pylori, traitement antisécrétoire associé (de l') Posologie standard - Administrer matin et soir
- Traitement antibiotique à associer
- 30 mg 2 fois par jour
- Pendant 7 jours
Reflux gastro-oesophagien, traitement symptomatique (du) Posologie standard - Administrer de préférence le matin
- Traitement à réévaluer en cas de récurrence des symptômes
- 15 à 30 mg 1 fois par jour
- Pendant 4 semaines
Syndrome de Zollinger-Ellison Posologie standard - Administrer de préférence le matin
- 15 à 30 mg 1 fois par jour
Populations particulières- Insuffisance hépatique : Adapter la posologie
Modalités d'administration du traitement- Administrer au moins 30 minutes avant le repas
- Administrer avec une quantité suffisante de liquide
- Administrer entier
- En cas de difficulté à déglutir, ouvrir la gélule
- Possibilité d'administrer par sonde nasogastrique
- Réservé à l'adulte
- Traitement à arrêter au moins 5 jours avant un dosage de la chromogranine A
Indications
Ce médicament est indiqué dans les cas suivants :
- Eradication de Helicobacter pylori, traitement antisécrétoire associé (de l')
- Lésion gastroduodénale induite par les AINS, traitement curatif (de la)
- Lésion gastroduodénale induite par les AINS, traitement préventif (de la)
- Oesophagite due à un reflux gastro-oesophagien
- Oesophagite due à un reflux gastro-oesophagien, traitement préventif (de l')
- Reflux gastro-oesophagien, traitement symptomatique (du)
- Syndrome de Zollinger-Ellison
- Ulcère duodénal évolutif
- Ulcère gastrique évolutif
PosologieUnité de prisegélule- lansoprazole : 15 mg
Modalités d'administration- Voie orale
- Administrer au moins 30 minutes avant le repas
- Administrer avec une quantité suffisante de liquide
- Administrer entier
- En cas de difficulté à déglutir, ouvrir la gélule
- Possibilité d'administrer par sonde nasogastrique
- Utiliser le dosage le plus adapté à la posologie
Posologie Patient de 15 an(s) à 65 an(s) Patient quel que soit le poids Ulcère duodénal évolutif Posologie standard - Administrer de préférence le matin
- 30 mg 1 fois par jour
- Pendant 2 à 4 semaines
Lésion gastroduodénale induite par les AINS, traitement curatif (de la) - Oesophagite due à un reflux gastro-oesophagien - Ulcère gastrique évolutif Posologie standard - Administrer de préférence le matin
- 30 mg 1 fois par jour
- Pendant 4 à 8 semaines
Lésion gastroduodénale induite par les AINS, traitement préventif (de la) - Oesophagite due à un reflux gastro-oesophagien, traitement préventif (de l') Posologie standard - Administrer de préférence le matin
- 15 à 30 mg 1 fois par jour
Eradication de Helicobacter pylori, traitement antisécrétoire associé (de l') Posologie standard - Administrer matin et soir
- Traitement antibiotique à associer
- 30 mg 2 fois par jour
- Pendant 7 à 14 jours
Reflux gastro-oesophagien, traitement symptomatique (du) Posologie standard - Administrer de préférence le matin
- Traitement à réévaluer en cas de récurrence des symptômes
- 15 à 30 mg 1 fois par jour
- Pendant 4 semaines
Syndrome de Zollinger-Ellison Traitement initial - Administrer de préférence le matin
- 60 mg 1 fois par jour
Traitement ultérieur - Administrer de préférence le matin
- Administrer en 2 prises au-delà d'une dose > 120 mg
- 60 à 180 mg en 1 à 2 prises par jour
- Dose maximale par prise: 120 mg
- Posologie maximale: 180 mg par jour
- Nombre d'unité de prise maximale: 12 gélules par jour
Patient à partir de 65 an(s) Patient quel que soit le poids Ulcère duodénal évolutif Posologie standard - Administrer de préférence le matin
- 15 à 30 mg 1 fois par jour
- Pendant 2 à 4 semaines
Lésion gastroduodénale induite par les AINS, traitement curatif (de la) - Oesophagite due à un reflux gastro-oesophagien - Ulcère gastrique évolutif Posologie standard - Administrer de préférence le matin
- 15 à 30 mg 1 fois par jour
- Pendant 4 à 8 semaines
Lésion gastroduodénale induite par les AINS, traitement préventif (de la) - Oesophagite due à un reflux gastro-oesophagien, traitement préventif (de l') Posologie standard - Administrer de préférence le matin
- 15 à 30 mg 1 fois par jour
Eradication de Helicobacter pylori, traitement antisécrétoire associé (de l') Posologie standard - Administrer matin et soir
- Traitement antibiotique à associer
- 30 mg 2 fois par jour
- Pendant 7 jours
Reflux gastro-oesophagien, traitement symptomatique (du) Posologie standard - Administrer de préférence le matin
- Traitement à réévaluer en cas de récurrence des symptômes
- 15 à 30 mg 1 fois par jour
- Pendant 4 semaines
Syndrome de Zollinger-Ellison Posologie standard - Administrer de préférence le matin
- 15 à 30 mg 1 fois par jour
Populations particulières- Insuffisance hépatique : Adapter la posologie
Unité de prisegélule- lansoprazole : 15 mg
Modalités d'administration- Voie orale
- Administrer au moins 30 minutes avant le repas
- Administrer avec une quantité suffisante de liquide
- Administrer entier
- En cas de difficulté à déglutir, ouvrir la gélule
- Possibilité d'administrer par sonde nasogastrique
- Utiliser le dosage le plus adapté à la posologie
Posologie Patient de 15 an(s) à 65 an(s) Patient quel que soit le poids Ulcère duodénal évolutif Posologie standard - Administrer de préférence le matin
- 30 mg 1 fois par jour
- Pendant 2 à 4 semaines
Lésion gastroduodénale induite par les AINS, traitement curatif (de la) - Oesophagite due à un reflux gastro-oesophagien - Ulcère gastrique évolutif Posologie standard - Administrer de préférence le matin
- 30 mg 1 fois par jour
- Pendant 4 à 8 semaines
Lésion gastroduodénale induite par les AINS, traitement préventif (de la) - Oesophagite due à un reflux gastro-oesophagien, traitement préventif (de l') Posologie standard - Administrer de préférence le matin
- 15 à 30 mg 1 fois par jour
Eradication de Helicobacter pylori, traitement antisécrétoire associé (de l') Posologie standard - Administrer matin et soir
- Traitement antibiotique à associer
- 30 mg 2 fois par jour
- Pendant 7 à 14 jours
Reflux gastro-oesophagien, traitement symptomatique (du) Posologie standard - Administrer de préférence le matin
- Traitement à réévaluer en cas de récurrence des symptômes
- 15 à 30 mg 1 fois par jour
- Pendant 4 semaines
Syndrome de Zollinger-Ellison Traitement initial - Administrer de préférence le matin
- 60 mg 1 fois par jour
Traitement ultérieur - Administrer de préférence le matin
- Administrer en 2 prises au-delà d'une dose > 120 mg
- 60 à 180 mg en 1 à 2 prises par jour
- Dose maximale par prise: 120 mg
- Posologie maximale: 180 mg par jour
- Nombre d'unité de prise maximale: 12 gélules par jour
Patient à partir de 65 an(s) Patient quel que soit le poids Ulcère duodénal évolutif Posologie standard - Administrer de préférence le matin
- 15 à 30 mg 1 fois par jour
- Pendant 2 à 4 semaines
Lésion gastroduodénale induite par les AINS, traitement curatif (de la) - Oesophagite due à un reflux gastro-oesophagien - Ulcère gastrique évolutif Posologie standard - Administrer de préférence le matin
- 15 à 30 mg 1 fois par jour
- Pendant 4 à 8 semaines
Lésion gastroduodénale induite par les AINS, traitement préventif (de la) - Oesophagite due à un reflux gastro-oesophagien, traitement préventif (de l') Posologie standard - Administrer de préférence le matin
- 15 à 30 mg 1 fois par jour
Eradication de Helicobacter pylori, traitement antisécrétoire associé (de l') Posologie standard - Administrer matin et soir
- Traitement antibiotique à associer
- 30 mg 2 fois par jour
- Pendant 7 jours
Reflux gastro-oesophagien, traitement symptomatique (du) Posologie standard - Administrer de préférence le matin
- Traitement à réévaluer en cas de récurrence des symptômes
- 15 à 30 mg 1 fois par jour
- Pendant 4 semaines
Syndrome de Zollinger-Ellison Posologie standard - Administrer de préférence le matin
- 15 à 30 mg 1 fois par jour
Populations particulières- Insuffisance hépatique : Adapter la posologie
- Voie orale
- Administrer au moins 30 minutes avant le repas
- Administrer avec une quantité suffisante de liquide
- Administrer entier
- En cas de difficulté à déglutir, ouvrir la gélule
- Possibilité d'administrer par sonde nasogastrique
- Utiliser le dosage le plus adapté à la posologie
Posologie Patient de 15 an(s) à 65 an(s) Patient quel que soit le poids Ulcère duodénal évolutif Posologie standard - Administrer de préférence le matin
- 30 mg 1 fois par jour
- Pendant 2 à 4 semaines
Lésion gastroduodénale induite par les AINS, traitement curatif (de la) - Oesophagite due à un reflux gastro-oesophagien - Ulcère gastrique évolutif Posologie standard - Administrer de préférence le matin
- 30 mg 1 fois par jour
- Pendant 4 à 8 semaines
Lésion gastroduodénale induite par les AINS, traitement préventif (de la) - Oesophagite due à un reflux gastro-oesophagien, traitement préventif (de l') Posologie standard - Administrer de préférence le matin
- 15 à 30 mg 1 fois par jour
Eradication de Helicobacter pylori, traitement antisécrétoire associé (de l') Posologie standard - Administrer matin et soir
- Traitement antibiotique à associer
- 30 mg 2 fois par jour
- Pendant 7 à 14 jours
Reflux gastro-oesophagien, traitement symptomatique (du) Posologie standard - Administrer de préférence le matin
- Traitement à réévaluer en cas de récurrence des symptômes
- 15 à 30 mg 1 fois par jour
- Pendant 4 semaines
Syndrome de Zollinger-Ellison Traitement initial - Administrer de préférence le matin
- 60 mg 1 fois par jour
Traitement ultérieur - Administrer de préférence le matin
- Administrer en 2 prises au-delà d'une dose > 120 mg
- 60 à 180 mg en 1 à 2 prises par jour
- Dose maximale par prise: 120 mg
- Posologie maximale: 180 mg par jour
- Nombre d'unité de prise maximale: 12 gélules par jour
Patient à partir de 65 an(s) Patient quel que soit le poids Ulcère duodénal évolutif Posologie standard - Administrer de préférence le matin
- 15 à 30 mg 1 fois par jour
- Pendant 2 à 4 semaines
Lésion gastroduodénale induite par les AINS, traitement curatif (de la) - Oesophagite due à un reflux gastro-oesophagien - Ulcère gastrique évolutif Posologie standard - Administrer de préférence le matin
- 15 à 30 mg 1 fois par jour
- Pendant 4 à 8 semaines
Lésion gastroduodénale induite par les AINS, traitement préventif (de la) - Oesophagite due à un reflux gastro-oesophagien, traitement préventif (de l') Posologie standard - Administrer de préférence le matin
- 15 à 30 mg 1 fois par jour
Eradication de Helicobacter pylori, traitement antisécrétoire associé (de l') Posologie standard - Administrer matin et soir
- Traitement antibiotique à associer
- 30 mg 2 fois par jour
- Pendant 7 jours
Reflux gastro-oesophagien, traitement symptomatique (du) Posologie standard - Administrer de préférence le matin
- Traitement à réévaluer en cas de récurrence des symptômes
- 15 à 30 mg 1 fois par jour
- Pendant 4 semaines
Syndrome de Zollinger-Ellison Posologie standard - Administrer de préférence le matin
- 15 à 30 mg 1 fois par jour
Populations particulières- Insuffisance hépatique : Adapter la posologie
- Administrer de préférence le matin
- 30 mg 1 fois par jour
- Pendant 2 à 4 semaines
- Administrer de préférence le matin
- 30 mg 1 fois par jour
- Pendant 4 à 8 semaines
- Administrer de préférence le matin
- 15 à 30 mg 1 fois par jour
- Administrer matin et soir
- Traitement antibiotique à associer
- 30 mg 2 fois par jour
- Pendant 7 à 14 jours
- Administrer de préférence le matin
- Traitement à réévaluer en cas de récurrence des symptômes
- 15 à 30 mg 1 fois par jour
- Pendant 4 semaines
- Administrer de préférence le matin
- 60 mg 1 fois par jour
- Administrer de préférence le matin
- Administrer en 2 prises au-delà d'une dose > 120 mg
- 60 à 180 mg en 1 à 2 prises par jour
- Dose maximale par prise: 120 mg
- Posologie maximale: 180 mg par jour
- Nombre d'unité de prise maximale: 12 gélules par jour
- Administrer de préférence le matin
- 15 à 30 mg 1 fois par jour
- Pendant 2 à 4 semaines
- Administrer de préférence le matin
- 15 à 30 mg 1 fois par jour
- Pendant 4 à 8 semaines
- Administrer de préférence le matin
- 15 à 30 mg 1 fois par jour
- Administrer matin et soir
- Traitement antibiotique à associer
- 30 mg 2 fois par jour
- Pendant 7 jours
- Administrer de préférence le matin
- Traitement à réévaluer en cas de récurrence des symptômes
- 15 à 30 mg 1 fois par jour
- Pendant 4 semaines
- Administrer de préférence le matin
- 15 à 30 mg 1 fois par jour
- Insuffisance hépatique : Adapter la posologie
Modalités d'administration du traitement- Administrer au moins 30 minutes avant le repas
- Administrer avec une quantité suffisante de liquide
- Administrer entier
- En cas de difficulté à déglutir, ouvrir la gélule
- Possibilité d'administrer par sonde nasogastrique
- Réservé à l'adulte
- Traitement à arrêter au moins 5 jours avant un dosage de la chromogranine A
INFORMATIONS RELATIVES À LA SÉCURITÉ DU PATIENTLANSOPRAZOLE 15 mg gél (µgle gastrorésis)Niveau de risque : X Critique III Haut II Modéré I Bas
Contre-indicationsX Critique Niveau de gravité : Contre-indication absolue - Hypersensibilité à l'un des composants
- Hypersensibilité aux benzimidazolés
X Critique Niveau de gravité : Contre-indication relative
PrécautionsII Modéré Niveau de gravité : Précautions- Enfant de moins de 15 ans
- Insuffisance hépatique modérée à sévère
- Ostéoporose
- Sujet âgé
- Sujet à risque d'hypomagnésémie
- Sujet à risque d'ostéoporose
- Sujet à risque de carence en vitamine B12
- Sujet à risque de fracture
- Traitement prolongé
- Traitement prolongé à posologie élevée
Interactions médicamenteusesX Critique Niveau de gravité : Contre-indication Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Rilpivirine
Risques et mécanismes Diminution des concentrations plasmatiques de rilpivirine par l'inhibiteur de la pompe à protons (absorption diminuée en raison de l'augmentation du pH gastrique). Conduite à tenir
III Haut Niveau de gravité : Association déconseillée Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Atazanavir
Risques et mécanismes Diminution très importante des concentrations plasmatiques de l'atazanavir, avec risque d'échec thérapeutique. Conduite à tenir Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Méthotrexate (voie systémique)
Risques et mécanismes Risque d'augmentation de la toxicité du méthotrexate par diminution de son élimination. Conduite à tenir Association déconseillée avec le méthotrexate aux doses > 20 mg/semaine. A prendre en compte pour des doses inférieures. Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Posaconazole (suspension buvable)
Risques et mécanismes Diminution de l'absorption de l'azolé antifongique, par augmentation du pH intragastrique par l'antisécrétoire. Conduite à tenir Uniquement avec la forme suspension buvable de posaconazole. Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Velpatasvir
Risques et mécanismes Diminution des concentrations de velpatasvir et de sofosbuvir. Conduite à tenir Si l'association s'avère nécessaire, la bithérapie velpatasvir/sofosbuvir doit être prise au moment du repas, ou 4 heures avant la prise d'un IPP donné à dose minimale. Médicaments administrés par voie orale + Topiques gastro-intestinaux, antiacides et adsorbants
Risques et mécanismes Diminution de l'absorption de certains autres médicaments ingérés simultanément. Conduite à tenir Prendre les topiques ou antiacides, adsorbants à distance de ces substances (plus de 2 heures, si possible).
II Modéré Niveau de gravité : Précaution d'emploi Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Hormones thyroïdiennes (voie systémique)
Risques et mécanismes Diminution probable de l'absorption des hormones thyroïdiennes, par augmentation du pH intra-gastrique par l'antisécrétoire. Conduite à tenir Contrôle clinique et biologique régulier, avec augmentation éventuelle de la posologie des hormones thyroïdiennes. Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Lédipasvir
Risques et mécanismes Diminution des concentrations du lédipasvir en cas d'administration de l'inhibiteur de la pompe à protons avant le lédipasvir Conduite à tenir Il est recommandé de prendre l'inhibiteur de la pompe à protons et le lédipasvir simultanément. Lansoprazole + Tacrolimus (voie systémique)
Risques et mécanismes Augmentation des concentrations sanguines du tacrolimus. Conduite à tenir Dosage des concentrations sanguines du tacrolimus, contrôle de la fonction rénale et adaptation de la posologie pendant l'association et après son arrêt. Médicaments administrés par voie orale + Colestipol
Médicaments administrés par voie orale + Résines chélatrices
Risques et mécanismes La prise de résine chélatrice peut diminuer l'absorption intestinale et, potentiellement, l'efficacité d'autres médicaments pris simultanément. Conduite à tenir D'une façon générale, la prise de la résine doit se faire à distance de celle des autres médicaments, en respectant un intervalle de plus de 2 heures, si possible.
I Bas Niveau de gravité : A prendre en compte Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Abémaciclib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Axitinib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Bosutinib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Brigatinib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Cabozantinib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Céritinib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Cobimétinib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Crizotinib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Dabrafénib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Dasatinib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Erlotinib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Fostamatinib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Géfitinib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Giltéritinib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Ibrutinib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Larotrectinib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Lorlatinib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Osimertinib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Ribociclib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Ruxolitinib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Sorafénib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Sunitinib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Upadacitinib
Risques et mécanismes Risque de diminution de la biodisponibilité de l'inhibiteur de tyrosine kinase, en raison de son absorption pH-dépendante. Conduite à tenir Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Acalabrutinib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Pémigatinib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Pralsétinib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Riprétinib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Selpercatinib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Sélumétinib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Zanubrutinib
Risques et mécanismes Risque de diminution de la biodisponibilité de l'inhibiteur de tyrosine kinases, en raison de son absorption pH-dépendante. Conduite à tenir Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Cobamamide (voie orale)
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Cyanocobalamine (voie orale)
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Hydroxocobalamine (voie orale)
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Mécobalamine (voie orale)
Risques et mécanismes Risque de carence en cyanocobalamine après traitement prolongé (quelques années), la réduction de l'acidité gastrique par ces médicaments pouvant diminuer l'absorption digestive de la vitamine B12. Conduite à tenir Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Itraconazole (voie orale)
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Kétoconazole (voie orale)
Risques et mécanismes Diminution de l'absorption de l'azolé antifongique, par augmentation du pH intragastrique par l'antisécrétoire. Conduite à tenir Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Lapatinib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Nilotinib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Palbociclib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Pazopanib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Ponatinib
Risques et mécanismes Risque de diminution de la biodisponibilité de l'inhibiteur kinase, en raison de son absorption pH-dépendante. Conduite à tenir Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Millepertuis (voie orale)
Risques et mécanismes Risque d'inefficacité du traitement antisécrétoire par augmentation de son métabolisme par le millepertuis. Conduite à tenir Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Mycophénolate mofétil
Risques et mécanismes Diminution des concentrations de l'acide mycophénolique d'environ un tiers, avec risque potentiel de baisse d'efficacité. Conduite à tenir Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Sotorasib
Risques et mécanismes Risque de diminution de l'effet du sotorasib, par diminution de son absorption. Conduite à tenir Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Ulipristal
Risques et mécanismes Risque de diminution de l'effet de l'ulipristal, par diminution de son absorption. Conduite à tenir Médicaments administrés par voie orale + Laxatifs (type macrogol)
Risques et mécanismes Avec les laxatifs, notamment en vue d'explorations endoscopiques : risque de diminution de l'efficacité du médicament administré avec le laxatif. Conduite à tenir Eviter la prise d'autres médicaments pendant et après l'ingestion dans un délai d'au moins 2 h après la prise du laxatif, voire jusqu'à la réalisation de l'examen.
Interactions alimentaires, phytothérapeutiques et médicamenteuses- Interaction phytothérapique : millepertuis
Grossesse et allaitement
Contre-indications et précautions d'emploi Grossesse (mois) Allaitement 1 2 3 4 5 6 7 8 9 Risques III III Contre-indication relative
Risques liés au traitement- Risque d'hypocalcémie
- Risque d'hypokaliémie
- Risque d'hypomagnésémie
- Risque d'infection gastro-intestinale
- Risque d'insuffisance rénale
- Risque d'interférence avec les examens de laboratoire
- Risque de colite
- Risque de diminution de l'absorption de la vitamine B12
- Risque de fracture
- Risque de lupus érythémateux cutané subaigu
- Risque de néphropathie tubulo-interstitielle
- Risque de réaction cutanée sévère
- Risque de syndrome de Stevens-Johnson ou de syndrome de Lyell
- Risque de syndrome DRESS
Traitement à arrêter définitivement en cas de...- Traitement à arrêter en cas de néphropathie sévère
- Traitement à arrêter en cas de réaction cutanée sévère
Information des professionnels de santé et des patients- Info patient : prendre un avis médical en cas de lésions cutanées associées à une arthralgie
- Info prof de santé : informer le patient des risques de réactions cutanées sévères
- S'assurer que le patient ne présente pas de tumeur digestive
Effets indésirables
Systèmes Fréquence de moyenne à élevée (?1/1 000) Fréquence basse (<1/1 000) Fréquence inconnue ANOMALIE DES EXAMENS DE LABORATOIRE Eosinophilie (Peu fréquent)
Leucopénie (Peu fréquent)
Enzymes hépatiques (augmentation) (Fréquent)
Hypertriglycéridémie (Très rare)
Hyponatrémie (Très rare)
Hypercholestérolémie (Très rare)
Hypocalcémie
Hypokaliémie
Hypomagnésémie
DERMATOLOGIE Urticaire (Fréquent)
Prurit (Fréquent)
Eruption cutanée (Fréquent)
Nécrolyse épidermique toxique (Très rare)
Syndrome de Stevens-Johnson (Très rare)
Erythème polymorphe (Rare)
Purpura (Rare)
Pétéchie (Rare)
Hyperhidrose (Rare)
Photosensibilisation (Rare)
Alopécie (Rare)
DIVERS Oedème (Peu fréquent)
Fatigue (Fréquent)
Fièvre (Rare)
ENDOCRINOLOGIE Gynécomastie (Rare)
HÉMATOLOGIE Thrombopénie (Peu fréquent)
Agranulocytose (Très rare)
Anémie (Rare)
Pancytopénie (Très rare)
HÉPATOLOGIE Ictère (Rare)
Hépatite (Rare)
IMMUNO-ALLERGOLOGIE Angioedème (Rare)
Choc anaphylactique (Très rare)
Lupus érythémateux cutané subaigu
Syndrome DRESS
INFECTIOLOGIE D'ORIGINE FONGIQUE Candidose oesophagienne (Rare)
NUTRITION, MÉTABOLISME Anorexie (Rare)
OPHTALMOLOGIE Trouble de la vision (Rare)
ORL, STOMATOLOGIE Sécheresse buccale (Fréquent)
Sensation de vertige (Fréquent)
Gorge sèche (Fréquent)
Vertige (Rare)
Stomatite (Très rare)
Dysgueusie (Rare)
Glossite (Rare)
PSYCHIATRIE Dépression (Peu fréquent)
Nervosité (Rare)
Confusion mentale (Rare)
Insomnie (Rare)
Hallucination (Rare)
Agitation (Rare)
Instabilité psychomotrice (Rare)
Hallucination visuelle
SYSTÈME DIGESTIF Douleur abdominale (Fréquent)
Polype de glande fundique (Fréquent)
Nausée (Fréquent)
Constipation (Fréquent)
Vomissement (Fréquent)
Diarrhée (Fréquent)
Flatulence (Fréquent)
Pancréatite (Rare)
Colite (Très rare)
SYSTÈME MUSCULO-SQUELETTIQUE Douleur articulaire (Peu fréquent)
Fracture du poignet (Peu fréquent)
Douleur musculaire (Peu fréquent)
Fracture vertébrale (Peu fréquent)
Fracture de la hanche (Peu fréquent)
SYSTÈME NERVEUX Céphalée (Fréquent)
Tremblement (Rare)
Somnolence (Rare)
Syndrome des jambes sans repos (Rare)
Paresthésie (Rare)
UROLOGIE, NÉPHROLOGIE Impuissance (Rare)
Néphropathie tubulo-interstitielle (Rare)
Insuffisance rénale
Niveau de risque : | X Critique | III Haut | II Modéré | I Bas |
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Contre-indicationsX Critique Niveau de gravité : Contre-indication absolue - Hypersensibilité à l'un des composants
- Hypersensibilité aux benzimidazolés
X Critique Niveau de gravité : Contre-indication relative
Niveau de gravité : Contre-indication absolue - Hypersensibilité à l'un des composants
- Hypersensibilité aux benzimidazolés
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Niveau de gravité : Contre-indication relative
PrécautionsII Modéré Niveau de gravité : Précautions- Enfant de moins de 15 ans
- Insuffisance hépatique modérée à sévère
- Ostéoporose
- Sujet âgé
- Sujet à risque d'hypomagnésémie
- Sujet à risque d'ostéoporose
- Sujet à risque de carence en vitamine B12
- Sujet à risque de fracture
- Traitement prolongé
- Traitement prolongé à posologie élevée
Niveau de gravité : Précautions- Enfant de moins de 15 ans
- Insuffisance hépatique modérée à sévère
- Ostéoporose
- Sujet âgé
- Sujet à risque d'hypomagnésémie
- Sujet à risque d'ostéoporose
- Sujet à risque de carence en vitamine B12
- Sujet à risque de fracture
- Traitement prolongé
- Traitement prolongé à posologie élevée
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Interactions médicamenteusesX Critique Niveau de gravité : Contre-indication Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Rilpivirine
Risques et mécanismes Diminution des concentrations plasmatiques de rilpivirine par l'inhibiteur de la pompe à protons (absorption diminuée en raison de l'augmentation du pH gastrique). Conduite à tenir
III Haut Niveau de gravité : Association déconseillée Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Atazanavir
Risques et mécanismes Diminution très importante des concentrations plasmatiques de l'atazanavir, avec risque d'échec thérapeutique. Conduite à tenir Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Méthotrexate (voie systémique)
Risques et mécanismes Risque d'augmentation de la toxicité du méthotrexate par diminution de son élimination. Conduite à tenir Association déconseillée avec le méthotrexate aux doses > 20 mg/semaine. A prendre en compte pour des doses inférieures. Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Posaconazole (suspension buvable)
Risques et mécanismes Diminution de l'absorption de l'azolé antifongique, par augmentation du pH intragastrique par l'antisécrétoire. Conduite à tenir Uniquement avec la forme suspension buvable de posaconazole. Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Velpatasvir
Risques et mécanismes Diminution des concentrations de velpatasvir et de sofosbuvir. Conduite à tenir Si l'association s'avère nécessaire, la bithérapie velpatasvir/sofosbuvir doit être prise au moment du repas, ou 4 heures avant la prise d'un IPP donné à dose minimale. Médicaments administrés par voie orale + Topiques gastro-intestinaux, antiacides et adsorbants
Risques et mécanismes Diminution de l'absorption de certains autres médicaments ingérés simultanément. Conduite à tenir Prendre les topiques ou antiacides, adsorbants à distance de ces substances (plus de 2 heures, si possible).
II Modéré Niveau de gravité : Précaution d'emploi Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Hormones thyroïdiennes (voie systémique)
Risques et mécanismes Diminution probable de l'absorption des hormones thyroïdiennes, par augmentation du pH intra-gastrique par l'antisécrétoire. Conduite à tenir Contrôle clinique et biologique régulier, avec augmentation éventuelle de la posologie des hormones thyroïdiennes. Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Lédipasvir
Risques et mécanismes Diminution des concentrations du lédipasvir en cas d'administration de l'inhibiteur de la pompe à protons avant le lédipasvir Conduite à tenir Il est recommandé de prendre l'inhibiteur de la pompe à protons et le lédipasvir simultanément. Lansoprazole + Tacrolimus (voie systémique)
Risques et mécanismes Augmentation des concentrations sanguines du tacrolimus. Conduite à tenir Dosage des concentrations sanguines du tacrolimus, contrôle de la fonction rénale et adaptation de la posologie pendant l'association et après son arrêt. Médicaments administrés par voie orale + Colestipol
Médicaments administrés par voie orale + Résines chélatrices
Risques et mécanismes La prise de résine chélatrice peut diminuer l'absorption intestinale et, potentiellement, l'efficacité d'autres médicaments pris simultanément. Conduite à tenir D'une façon générale, la prise de la résine doit se faire à distance de celle des autres médicaments, en respectant un intervalle de plus de 2 heures, si possible.
I Bas Niveau de gravité : A prendre en compte Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Abémaciclib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Axitinib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Bosutinib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Brigatinib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Cabozantinib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Céritinib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Cobimétinib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Crizotinib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Dabrafénib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Dasatinib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Erlotinib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Fostamatinib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Géfitinib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Giltéritinib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Ibrutinib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Larotrectinib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Lorlatinib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Osimertinib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Ribociclib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Ruxolitinib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Sorafénib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Sunitinib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Upadacitinib
Risques et mécanismes Risque de diminution de la biodisponibilité de l'inhibiteur de tyrosine kinase, en raison de son absorption pH-dépendante. Conduite à tenir Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Acalabrutinib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Pémigatinib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Pralsétinib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Riprétinib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Selpercatinib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Sélumétinib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Zanubrutinib
Risques et mécanismes Risque de diminution de la biodisponibilité de l'inhibiteur de tyrosine kinases, en raison de son absorption pH-dépendante. Conduite à tenir Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Cobamamide (voie orale)
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Cyanocobalamine (voie orale)
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Hydroxocobalamine (voie orale)
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Mécobalamine (voie orale)
Risques et mécanismes Risque de carence en cyanocobalamine après traitement prolongé (quelques années), la réduction de l'acidité gastrique par ces médicaments pouvant diminuer l'absorption digestive de la vitamine B12. Conduite à tenir Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Itraconazole (voie orale)
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Kétoconazole (voie orale)
Risques et mécanismes Diminution de l'absorption de l'azolé antifongique, par augmentation du pH intragastrique par l'antisécrétoire. Conduite à tenir Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Lapatinib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Nilotinib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Palbociclib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Pazopanib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Ponatinib
Risques et mécanismes Risque de diminution de la biodisponibilité de l'inhibiteur kinase, en raison de son absorption pH-dépendante. Conduite à tenir Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Millepertuis (voie orale)
Risques et mécanismes Risque d'inefficacité du traitement antisécrétoire par augmentation de son métabolisme par le millepertuis. Conduite à tenir Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Mycophénolate mofétil
Risques et mécanismes Diminution des concentrations de l'acide mycophénolique d'environ un tiers, avec risque potentiel de baisse d'efficacité. Conduite à tenir Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Sotorasib
Risques et mécanismes Risque de diminution de l'effet du sotorasib, par diminution de son absorption. Conduite à tenir Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Ulipristal
Risques et mécanismes Risque de diminution de l'effet de l'ulipristal, par diminution de son absorption. Conduite à tenir Médicaments administrés par voie orale + Laxatifs (type macrogol)
Risques et mécanismes Avec les laxatifs, notamment en vue d'explorations endoscopiques : risque de diminution de l'efficacité du médicament administré avec le laxatif. Conduite à tenir Eviter la prise d'autres médicaments pendant et après l'ingestion dans un délai d'au moins 2 h après la prise du laxatif, voire jusqu'à la réalisation de l'examen.
Niveau de gravité : Contre-indication Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Rilpivirine
Risques et mécanismes Diminution des concentrations plasmatiques de rilpivirine par l'inhibiteur de la pompe à protons (absorption diminuée en raison de l'augmentation du pH gastrique). Conduite à tenir
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Rilpivirine | |
---|---|
Risques et mécanismes | Diminution des concentrations plasmatiques de rilpivirine par l'inhibiteur de la pompe à protons (absorption diminuée en raison de l'augmentation du pH gastrique). |
Conduite à tenir |
Niveau de gravité : Association déconseillée Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Atazanavir
Risques et mécanismes Diminution très importante des concentrations plasmatiques de l'atazanavir, avec risque d'échec thérapeutique. Conduite à tenir Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Méthotrexate (voie systémique)
Risques et mécanismes Risque d'augmentation de la toxicité du méthotrexate par diminution de son élimination. Conduite à tenir Association déconseillée avec le méthotrexate aux doses > 20 mg/semaine. A prendre en compte pour des doses inférieures. Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Posaconazole (suspension buvable)
Risques et mécanismes Diminution de l'absorption de l'azolé antifongique, par augmentation du pH intragastrique par l'antisécrétoire. Conduite à tenir Uniquement avec la forme suspension buvable de posaconazole. Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Velpatasvir
Risques et mécanismes Diminution des concentrations de velpatasvir et de sofosbuvir. Conduite à tenir Si l'association s'avère nécessaire, la bithérapie velpatasvir/sofosbuvir doit être prise au moment du repas, ou 4 heures avant la prise d'un IPP donné à dose minimale. Médicaments administrés par voie orale + Topiques gastro-intestinaux, antiacides et adsorbants
Risques et mécanismes Diminution de l'absorption de certains autres médicaments ingérés simultanément. Conduite à tenir Prendre les topiques ou antiacides, adsorbants à distance de ces substances (plus de 2 heures, si possible).
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Atazanavir | |
---|---|
Risques et mécanismes | Diminution très importante des concentrations plasmatiques de l'atazanavir, avec risque d'échec thérapeutique. |
Conduite à tenir | |
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Méthotrexate (voie systémique) | |
Risques et mécanismes | Risque d'augmentation de la toxicité du méthotrexate par diminution de son élimination. |
Conduite à tenir | Association déconseillée avec le méthotrexate aux doses > 20 mg/semaine. A prendre en compte pour des doses inférieures. |
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Posaconazole (suspension buvable) | |
Risques et mécanismes | Diminution de l'absorption de l'azolé antifongique, par augmentation du pH intragastrique par l'antisécrétoire. |
Conduite à tenir | Uniquement avec la forme suspension buvable de posaconazole. |
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Velpatasvir | |
Risques et mécanismes | Diminution des concentrations de velpatasvir et de sofosbuvir. |
Conduite à tenir | Si l'association s'avère nécessaire, la bithérapie velpatasvir/sofosbuvir doit être prise au moment du repas, ou 4 heures avant la prise d'un IPP donné à dose minimale. |
Médicaments administrés par voie orale + Topiques gastro-intestinaux, antiacides et adsorbants | |
Risques et mécanismes | Diminution de l'absorption de certains autres médicaments ingérés simultanément. |
Conduite à tenir | Prendre les topiques ou antiacides, adsorbants à distance de ces substances (plus de 2 heures, si possible). |
Niveau de gravité : Précaution d'emploi Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Hormones thyroïdiennes (voie systémique)
Risques et mécanismes Diminution probable de l'absorption des hormones thyroïdiennes, par augmentation du pH intra-gastrique par l'antisécrétoire. Conduite à tenir Contrôle clinique et biologique régulier, avec augmentation éventuelle de la posologie des hormones thyroïdiennes. Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Lédipasvir
Risques et mécanismes Diminution des concentrations du lédipasvir en cas d'administration de l'inhibiteur de la pompe à protons avant le lédipasvir Conduite à tenir Il est recommandé de prendre l'inhibiteur de la pompe à protons et le lédipasvir simultanément. Lansoprazole + Tacrolimus (voie systémique)
Risques et mécanismes Augmentation des concentrations sanguines du tacrolimus. Conduite à tenir Dosage des concentrations sanguines du tacrolimus, contrôle de la fonction rénale et adaptation de la posologie pendant l'association et après son arrêt. Médicaments administrés par voie orale + Colestipol
Médicaments administrés par voie orale + Résines chélatrices
Risques et mécanismes La prise de résine chélatrice peut diminuer l'absorption intestinale et, potentiellement, l'efficacité d'autres médicaments pris simultanément. Conduite à tenir D'une façon générale, la prise de la résine doit se faire à distance de celle des autres médicaments, en respectant un intervalle de plus de 2 heures, si possible.
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Hormones thyroïdiennes (voie systémique) | |
---|---|
Risques et mécanismes | Diminution probable de l'absorption des hormones thyroïdiennes, par augmentation du pH intra-gastrique par l'antisécrétoire. |
Conduite à tenir | Contrôle clinique et biologique régulier, avec augmentation éventuelle de la posologie des hormones thyroïdiennes. |
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Lédipasvir | |
Risques et mécanismes | Diminution des concentrations du lédipasvir en cas d'administration de l'inhibiteur de la pompe à protons avant le lédipasvir |
Conduite à tenir | Il est recommandé de prendre l'inhibiteur de la pompe à protons et le lédipasvir simultanément. |
Lansoprazole + Tacrolimus (voie systémique) | |
Risques et mécanismes | Augmentation des concentrations sanguines du tacrolimus. |
Conduite à tenir | Dosage des concentrations sanguines du tacrolimus, contrôle de la fonction rénale et adaptation de la posologie pendant l'association et après son arrêt. |
Médicaments administrés par voie orale + Colestipol Médicaments administrés par voie orale + Résines chélatrices | |
Risques et mécanismes | La prise de résine chélatrice peut diminuer l'absorption intestinale et, potentiellement, l'efficacité d'autres médicaments pris simultanément. |
Conduite à tenir | D'une façon générale, la prise de la résine doit se faire à distance de celle des autres médicaments, en respectant un intervalle de plus de 2 heures, si possible. |
Niveau de gravité : A prendre en compte Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Abémaciclib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Axitinib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Bosutinib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Brigatinib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Cabozantinib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Céritinib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Cobimétinib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Crizotinib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Dabrafénib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Dasatinib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Erlotinib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Fostamatinib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Géfitinib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Giltéritinib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Ibrutinib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Larotrectinib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Lorlatinib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Osimertinib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Ribociclib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Ruxolitinib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Sorafénib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Sunitinib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Upadacitinib
Risques et mécanismes Risque de diminution de la biodisponibilité de l'inhibiteur de tyrosine kinase, en raison de son absorption pH-dépendante. Conduite à tenir Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Acalabrutinib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Pémigatinib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Pralsétinib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Riprétinib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Selpercatinib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Sélumétinib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Zanubrutinib
Risques et mécanismes Risque de diminution de la biodisponibilité de l'inhibiteur de tyrosine kinases, en raison de son absorption pH-dépendante. Conduite à tenir Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Cobamamide (voie orale)
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Cyanocobalamine (voie orale)
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Hydroxocobalamine (voie orale)
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Mécobalamine (voie orale)
Risques et mécanismes Risque de carence en cyanocobalamine après traitement prolongé (quelques années), la réduction de l'acidité gastrique par ces médicaments pouvant diminuer l'absorption digestive de la vitamine B12. Conduite à tenir Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Itraconazole (voie orale)
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Kétoconazole (voie orale)
Risques et mécanismes Diminution de l'absorption de l'azolé antifongique, par augmentation du pH intragastrique par l'antisécrétoire. Conduite à tenir Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Lapatinib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Nilotinib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Palbociclib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Pazopanib
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Ponatinib
Risques et mécanismes Risque de diminution de la biodisponibilité de l'inhibiteur kinase, en raison de son absorption pH-dépendante. Conduite à tenir Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Millepertuis (voie orale)
Risques et mécanismes Risque d'inefficacité du traitement antisécrétoire par augmentation de son métabolisme par le millepertuis. Conduite à tenir Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Mycophénolate mofétil
Risques et mécanismes Diminution des concentrations de l'acide mycophénolique d'environ un tiers, avec risque potentiel de baisse d'efficacité. Conduite à tenir Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Sotorasib
Risques et mécanismes Risque de diminution de l'effet du sotorasib, par diminution de son absorption. Conduite à tenir Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Ulipristal
Risques et mécanismes Risque de diminution de l'effet de l'ulipristal, par diminution de son absorption. Conduite à tenir Médicaments administrés par voie orale + Laxatifs (type macrogol)
Risques et mécanismes Avec les laxatifs, notamment en vue d'explorations endoscopiques : risque de diminution de l'efficacité du médicament administré avec le laxatif. Conduite à tenir Eviter la prise d'autres médicaments pendant et après l'ingestion dans un délai d'au moins 2 h après la prise du laxatif, voire jusqu'à la réalisation de l'examen.
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Abémaciclib Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Axitinib Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Bosutinib Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Brigatinib Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Cabozantinib Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Céritinib Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Cobimétinib Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Crizotinib Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Dabrafénib Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Dasatinib Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Erlotinib Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Fostamatinib Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Géfitinib Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Giltéritinib Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Ibrutinib Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Larotrectinib Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Lorlatinib Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Osimertinib Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Ribociclib Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Ruxolitinib Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Sorafénib Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Sunitinib Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Upadacitinib | |
---|---|
Risques et mécanismes | Risque de diminution de la biodisponibilité de l'inhibiteur de tyrosine kinase, en raison de son absorption pH-dépendante. |
Conduite à tenir | |
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Acalabrutinib Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Pémigatinib Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Pralsétinib Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Riprétinib Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Selpercatinib Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Sélumétinib Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Zanubrutinib | |
Risques et mécanismes | Risque de diminution de la biodisponibilité de l'inhibiteur de tyrosine kinases, en raison de son absorption pH-dépendante. |
Conduite à tenir | |
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Cobamamide (voie orale) Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Cyanocobalamine (voie orale) Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Hydroxocobalamine (voie orale) Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Mécobalamine (voie orale) | |
Risques et mécanismes | Risque de carence en cyanocobalamine après traitement prolongé (quelques années), la réduction de l'acidité gastrique par ces médicaments pouvant diminuer l'absorption digestive de la vitamine B12. |
Conduite à tenir | |
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Itraconazole (voie orale) Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Kétoconazole (voie orale) | |
Risques et mécanismes | Diminution de l'absorption de l'azolé antifongique, par augmentation du pH intragastrique par l'antisécrétoire. |
Conduite à tenir | |
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Lapatinib Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Nilotinib Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Palbociclib Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Pazopanib Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Ponatinib | |
Risques et mécanismes | Risque de diminution de la biodisponibilité de l'inhibiteur kinase, en raison de son absorption pH-dépendante. |
Conduite à tenir | |
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Millepertuis (voie orale) | |
Risques et mécanismes | Risque d'inefficacité du traitement antisécrétoire par augmentation de son métabolisme par le millepertuis. |
Conduite à tenir | |
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Mycophénolate mofétil | |
Risques et mécanismes | Diminution des concentrations de l'acide mycophénolique d'environ un tiers, avec risque potentiel de baisse d'efficacité. |
Conduite à tenir | |
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Sotorasib | |
Risques et mécanismes | Risque de diminution de l'effet du sotorasib, par diminution de son absorption. |
Conduite à tenir | |
Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Ulipristal | |
Risques et mécanismes | Risque de diminution de l'effet de l'ulipristal, par diminution de son absorption. |
Conduite à tenir | |
Médicaments administrés par voie orale + Laxatifs (type macrogol) | |
Risques et mécanismes | Avec les laxatifs, notamment en vue d'explorations endoscopiques : risque de diminution de l'efficacité du médicament administré avec le laxatif. |
Conduite à tenir | Eviter la prise d'autres médicaments pendant et après l'ingestion dans un délai d'au moins 2 h après la prise du laxatif, voire jusqu'à la réalisation de l'examen. |
Interactions alimentaires, phytothérapeutiques et médicamenteuses- Interaction phytothérapique : millepertuis
Grossesse et allaitement
Contre-indications et précautions d'emploi | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
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Risques liés au traitement- Risque d'hypocalcémie
- Risque d'hypokaliémie
- Risque d'hypomagnésémie
- Risque d'infection gastro-intestinale
- Risque d'insuffisance rénale
- Risque d'interférence avec les examens de laboratoire
- Risque de colite
- Risque de diminution de l'absorption de la vitamine B12
- Risque de fracture
- Risque de lupus érythémateux cutané subaigu
- Risque de néphropathie tubulo-interstitielle
- Risque de réaction cutanée sévère
- Risque de syndrome de Stevens-Johnson ou de syndrome de Lyell
- Risque de syndrome DRESS
Traitement à arrêter définitivement en cas de...- Traitement à arrêter en cas de néphropathie sévère
- Traitement à arrêter en cas de réaction cutanée sévère
Information des professionnels de santé et des patients- Info patient : prendre un avis médical en cas de lésions cutanées associées à une arthralgie
- Info prof de santé : informer le patient des risques de réactions cutanées sévères
- S'assurer que le patient ne présente pas de tumeur digestive
Effets indésirables
Systèmes | Fréquence de moyenne à élevée (?1/1 000) | Fréquence basse (<1/1 000) | Fréquence inconnue |
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DIVERS | |||
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IMMUNO-ALLERGOLOGIE | |||
INFECTIOLOGIE D'ORIGINE FONGIQUE | |||
NUTRITION, MÉTABOLISME | |||
OPHTALMOLOGIE | |||
ORL, STOMATOLOGIE | |||
PSYCHIATRIE | |||
SYSTÈME DIGESTIF | |||
SYSTÈME MUSCULO-SQUELETTIQUE | |||
SYSTÈME NERVEUX | |||
UROLOGIE, NÉPHROLOGIE |
Voir aussi les substances
Lansoprazole
Chimie
IUPAC | 2-(((3-méthyl-4-(2,2,2-trifluoroéthoxy)-2-pyridyl) methyl) sulfinyl) -1H benzimidazole |
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Synonymes | lansoprazole |
Posologie
Defined Daily Dose (WHO) |
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