À propos de Lansoprazole
Mise à jour : 16 janvier 2013
Lansoprazole : Mécanisme d'action

Le lansoprazole est un inhibiteur de la pompe à protons gastrique. Il permet d'inhiber le dernier stade de formation de l'acide gastrique en inhibant l'activité de la pompe à protons H+/K+ ATPase au niveau des cellules pariétales de l'estomac. L'inhibition est réversible et dose-dépendante. Ses effets s'exercent à la fois sur les sécrétions d'acide gastrique basale et stimulée. Le lansoprazole se concentre dans les cellules pariétales et devient actif dans leur environnement acide et réagit avec le groupe sulfohydrique de la pompe à protons H+/K+ ATPase entraînant une inhibition de l'activité de l'enzyme.

Le lansoprazole est un inhibiteur spécifique de la pompe à protons des cellules pariétales. Une dose orale unique de lansoprazole inhibe d'environ 80 % la sécrétion d'acide gastrique stimulée par la pentagastrine. Après administration quotidienne répétée pendant une période de sept jours, environ 90 % de la sécrétion gastrique est inhibée. Il a un effet semblable sur la sécrétion d'acide gastrique basale. Une administration orale unique de 30 mg réduit la sécrétion basale d'environ 70 %; les symptômes des patients sont donc améliorés dès la première dose. Après 8 jours d'administration répétée, la réduction est d'environ 85 %. Un soulagement rapide des symptômes est obtenu avec une gélule (30 mg) par jour, et la plupart des patients présentant un ulcère duodénal guérissent en 2 semaines, les patients présentant un ulcère gastrique ou une œsophagite par reflux en 4 semaines. En réduisant l'acidité gastrique, le lansoprazole crée un environnement dans lequel les antibiotiques appropriés peuvent être efficaces contre H. pylori.

Fiche DCI Vidal

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Lansoprazole 15 mg gélule gastrorésistante

Dernière modification : 26/01/2024 - Révision : 20/08/2024

ATCRisque sur la grossesse et l'allaitementDopantVigilance
A - VOIES DIGESTIVES ET METABOLISME
A02 - MEDICAMENTS DES TROUBLES DE L'ACIDITE
A02B - MEDICAMENTS DE L'ULCERE PEPTIQUE ET DU REFLUX GASTRO-OESOPHAGIEN (RGO)
A02BC - INHIBITEURS DE LA POMPE A PROTONS
A02BC03 - LANSOPRAZOLE
Grossesse (mois)Allaitement
123456789
RisquesIII

III Contre-indication relative

INDICATIONS ET MODALITÉS D'ADMINISTRATION

LANSOPRAZOLE 15 mg gél (µgle gastrorésis)

Indications

Ce médicament est indiqué dans les cas suivants :

  • Eradication de Helicobacter pylori, traitement antisécrétoire associé (de l')
  • Lésion gastroduodénale induite par les AINS, traitement curatif (de la)
  • Lésion gastroduodénale induite par les AINS, traitement préventif (de la)
  • Oesophagite due à un reflux gastro-oesophagien
  • Oesophagite due à un reflux gastro-oesophagien, traitement préventif (de l')
  • Reflux gastro-oesophagien, traitement symptomatique (du)
  • Syndrome de Zollinger-Ellison
  • Ulcère duodénal évolutif
  • Ulcère gastrique évolutif

Posologie

Unité de prise
gélule
  • lansoprazole : 15 mg
Modalités d'administration
  • Voie orale
  • Administrer au moins 30 minutes avant le repas
  • Administrer avec une quantité suffisante de liquide
  • Administrer entier
  • En cas de difficulté à déglutir, ouvrir la gélule
  • Possibilité d'administrer par sonde nasogastrique
  • Utiliser le dosage le plus adapté à la posologie
Posologie
Patient de 15 an(s) à 65 an(s)
Patient quel que soit le poids
Ulcère duodénal évolutif
Posologie standard
  • Administrer de préférence le matin
  • 30 mg 1 fois par jour
  • Pendant 2 à 4 semaines
Lésion gastroduodénale induite par les AINS, traitement curatif (de la) - Oesophagite due à un reflux gastro-oesophagien - Ulcère gastrique évolutif
Posologie standard
  • Administrer de préférence le matin
  • 30 mg 1 fois par jour
  • Pendant 4 à 8 semaines
Lésion gastroduodénale induite par les AINS, traitement préventif (de la) - Oesophagite due à un reflux gastro-oesophagien, traitement préventif (de l')
Posologie standard
  • Administrer de préférence le matin
  • 15 à 30 mg 1 fois par jour
Eradication de Helicobacter pylori, traitement antisécrétoire associé (de l')
Posologie standard
  • Administrer matin et soir
  • Traitement antibiotique à associer
  • 30 mg 2 fois par jour
  • Pendant 7 à 14 jours
Reflux gastro-oesophagien, traitement symptomatique (du)
Posologie standard
  • Administrer de préférence le matin
  • Traitement à réévaluer en cas de récurrence des symptômes
  • 15 à 30 mg 1 fois par jour
  • Pendant 4 semaines
Syndrome de Zollinger-Ellison
Traitement initial
  • Administrer de préférence le matin
  • 60 mg 1 fois par jour
Traitement ultérieur
  • Administrer de préférence le matin
  • Administrer en 2 prises au-delà d'une dose > 120 mg
  • 60 à 180 mg en 1 à 2 prises par jour
  • Dose maximale par prise: 120 mg
  • Posologie maximale: 180 mg par jour
  • Nombre d'unité de prise maximale: 12 gélules par jour
Patient à partir de 65 an(s)
Patient quel que soit le poids
Ulcère duodénal évolutif
Posologie standard
  • Administrer de préférence le matin
  • 15 à 30 mg 1 fois par jour
  • Pendant 2 à 4 semaines
Lésion gastroduodénale induite par les AINS, traitement curatif (de la) - Oesophagite due à un reflux gastro-oesophagien - Ulcère gastrique évolutif
Posologie standard
  • Administrer de préférence le matin
  • 15 à 30 mg 1 fois par jour
  • Pendant 4 à 8 semaines
Lésion gastroduodénale induite par les AINS, traitement préventif (de la) - Oesophagite due à un reflux gastro-oesophagien, traitement préventif (de l')
Posologie standard
  • Administrer de préférence le matin
  • 15 à 30 mg 1 fois par jour
Eradication de Helicobacter pylori, traitement antisécrétoire associé (de l')
Posologie standard
  • Administrer matin et soir
  • Traitement antibiotique à associer
  • 30 mg 2 fois par jour
  • Pendant 7 jours
Reflux gastro-oesophagien, traitement symptomatique (du)
Posologie standard
  • Administrer de préférence le matin
  • Traitement à réévaluer en cas de récurrence des symptômes
  • 15 à 30 mg 1 fois par jour
  • Pendant 4 semaines
Syndrome de Zollinger-Ellison
Posologie standard
  • Administrer de préférence le matin
  • 15 à 30 mg 1 fois par jour
Populations particulières
  • Insuffisance hépatique : Adapter la posologie

Modalités d'administration du traitement

  • Administrer au moins 30 minutes avant le repas
  • Administrer avec une quantité suffisante de liquide
  • Administrer entier
  • En cas de difficulté à déglutir, ouvrir la gélule
  • Possibilité d'administrer par sonde nasogastrique
  • Réservé à l'adulte
  • Traitement à arrêter au moins 5 jours avant un dosage de la chromogranine A

INFORMATIONS RELATIVES À LA SÉCURITÉ DU PATIENT

LANSOPRAZOLE 15 mg gél (µgle gastrorésis)
Niveau de risque : X Critique III Haut II Modéré I Bas

Contre-indications

X Critique
Niveau de gravité : Contre-indication absolue
  • Hypersensibilité à l'un des composants
  • Hypersensibilité aux benzimidazolés
X Critique
Niveau de gravité : Contre-indication relative

Précautions

II Modéré
Niveau de gravité : Précautions
  • Enfant de moins de 15 ans
  • Insuffisance hépatique modérée à sévère
  • Ostéoporose
  • Sujet âgé
  • Sujet à risque d'hypomagnésémie
  • Sujet à risque d'ostéoporose
  • Sujet à risque de carence en vitamine B12
  • Sujet à risque de fracture
  • Traitement prolongé
  • Traitement prolongé à posologie élevée

Interactions médicamenteuses

X Critique
Niveau de gravité : Contre-indication

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Rilpivirine

Risques et mécanismesDiminution des concentrations plasmatiques de rilpivirine par l'inhibiteur de la pompe à protons (absorption diminuée en raison de l'augmentation du pH gastrique).
Conduite à tenir
III Haut
Niveau de gravité : Association déconseillée

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Atazanavir

Risques et mécanismesDiminution très importante des concentrations plasmatiques de l'atazanavir, avec risque d'échec thérapeutique.
Conduite à tenir

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Méthotrexate (voie systémique)

Risques et mécanismesRisque d'augmentation de la toxicité du méthotrexate par diminution de son élimination.
Conduite à tenirAssociation déconseillée avec le méthotrexate aux doses > 20 mg/semaine. A prendre en compte pour des doses inférieures.

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Posaconazole (suspension buvable)

Risques et mécanismesDiminution de l'absorption de l'azolé antifongique, par augmentation du pH intragastrique par l'antisécrétoire.
Conduite à tenirUniquement avec la forme suspension buvable de posaconazole.

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Velpatasvir

Risques et mécanismesDiminution des concentrations de velpatasvir et de sofosbuvir.
Conduite à tenirSi l'association s'avère nécessaire, la bithérapie velpatasvir/sofosbuvir doit être prise au moment du repas, ou 4 heures avant la prise d'un IPP donné à dose minimale.

Médicaments administrés par voie orale + Topiques gastro-intestinaux, antiacides et adsorbants

Risques et mécanismesDiminution de l'absorption de certains autres médicaments ingérés simultanément.
Conduite à tenirPrendre les topiques ou antiacides, adsorbants à distance de ces substances (plus de 2 heures, si possible).
II Modéré
Niveau de gravité : Précaution d'emploi

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Hormones thyroïdiennes (voie systémique)

Risques et mécanismesDiminution probable de l'absorption des hormones thyroïdiennes, par augmentation du pH intra-gastrique par l'antisécrétoire.
Conduite à tenirContrôle clinique et biologique régulier, avec augmentation éventuelle de la posologie des hormones thyroïdiennes.

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Lédipasvir

Risques et mécanismesDiminution des concentrations du lédipasvir en cas d'administration de l'inhibiteur de la pompe à protons avant le lédipasvir
Conduite à tenirIl est recommandé de prendre l'inhibiteur de la pompe à protons et le lédipasvir simultanément.

Lansoprazole + Tacrolimus (voie systémique)

Risques et mécanismesAugmentation des concentrations sanguines du tacrolimus.
Conduite à tenirDosage des concentrations sanguines du tacrolimus, contrôle de la fonction rénale et adaptation de la posologie pendant l'association et après son arrêt.

Médicaments administrés par voie orale + Colestipol

Médicaments administrés par voie orale + Résines chélatrices

Risques et mécanismesLa prise de résine chélatrice peut diminuer l'absorption intestinale et, potentiellement, l'efficacité d'autres médicaments pris simultanément.
Conduite à tenirD'une façon générale, la prise de la résine doit se faire à distance de celle des autres médicaments, en respectant un intervalle de plus de 2 heures, si possible.
I Bas
Niveau de gravité : A prendre en compte

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Abémaciclib

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Axitinib

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Bosutinib

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Brigatinib

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Cabozantinib

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Céritinib

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Cobimétinib

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Crizotinib

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Dabrafénib

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Dasatinib

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Erlotinib

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Fostamatinib

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Géfitinib

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Giltéritinib

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Ibrutinib

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Larotrectinib

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Lorlatinib

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Osimertinib

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Ribociclib

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Ruxolitinib

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Sorafénib

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Sunitinib

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Upadacitinib

Risques et mécanismesRisque de diminution de la biodisponibilité de l'inhibiteur de tyrosine kinase, en raison de son absorption pH-dépendante.
Conduite à tenir

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Acalabrutinib

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Pémigatinib

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Pralsétinib

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Riprétinib

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Selpercatinib

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Sélumétinib

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Zanubrutinib

Risques et mécanismesRisque de diminution de la biodisponibilité de l'inhibiteur de tyrosine kinases, en raison de son absorption pH-dépendante.
Conduite à tenir

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Cobamamide (voie orale)

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Cyanocobalamine (voie orale)

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Hydroxocobalamine (voie orale)

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Mécobalamine (voie orale)

Risques et mécanismesRisque de carence en cyanocobalamine après traitement prolongé (quelques années), la réduction de l'acidité gastrique par ces médicaments pouvant diminuer l'absorption digestive de la vitamine B12.
Conduite à tenir

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Itraconazole (voie orale)

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Kétoconazole (voie orale)

Risques et mécanismesDiminution de l'absorption de l'azolé antifongique, par augmentation du pH intragastrique par l'antisécrétoire.
Conduite à tenir

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Lapatinib

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Nilotinib

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Palbociclib

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Pazopanib

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Ponatinib

Risques et mécanismesRisque de diminution de la biodisponibilité de l'inhibiteur kinase, en raison de son absorption pH-dépendante.
Conduite à tenir

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Millepertuis (voie orale)

Risques et mécanismesRisque d'inefficacité du traitement antisécrétoire par augmentation de son métabolisme par le millepertuis.
Conduite à tenir

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Mycophénolate mofétil

Risques et mécanismesDiminution des concentrations de l'acide mycophénolique d'environ un tiers, avec risque potentiel de baisse d'efficacité.
Conduite à tenir

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Sotorasib

Risques et mécanismesRisque de diminution de l'effet du sotorasib, par diminution de son absorption.
Conduite à tenir

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Ulipristal

Risques et mécanismesRisque de diminution de l'effet de l'ulipristal, par diminution de son absorption.
Conduite à tenir

Médicaments administrés par voie orale + Laxatifs (type macrogol)

Risques et mécanismesAvec les laxatifs, notamment en vue d'explorations endoscopiques : risque de diminution de l'efficacité du médicament administré avec le laxatif.
Conduite à tenirEviter la prise d'autres médicaments pendant et après l'ingestion dans un délai d'au moins 2 h après la prise du laxatif, voire jusqu'à la réalisation de l'examen.

Interactions alimentaires, phytothérapeutiques et médicamenteuses

  • Interaction phytothérapique : millepertuis

Grossesse et allaitement

Contre-indications et précautions d'emploi
Grossesse (mois)Allaitement
123456789
RisquesIII

III Contre-indication relative

Risques liés au traitement

  • Risque d'hypocalcémie
  • Risque d'hypokaliémie
  • Risque d'hypomagnésémie
  • Risque d'infection gastro-intestinale
  • Risque d'insuffisance rénale
  • Risque d'interférence avec les examens de laboratoire
  • Risque de colite
  • Risque de diminution de l'absorption de la vitamine B12
  • Risque de fracture
  • Risque de lupus érythémateux cutané subaigu
  • Risque de néphropathie tubulo-interstitielle
  • Risque de réaction cutanée sévère
  • Risque de syndrome de Stevens-Johnson ou de syndrome de Lyell
  • Risque de syndrome DRESS

Traitement à arrêter définitivement en cas de...

  • Traitement à arrêter en cas de néphropathie sévère
  • Traitement à arrêter en cas de réaction cutanée sévère

Information des professionnels de santé et des patients

  • Info patient : prendre un avis médical en cas de lésions cutanées associées à une arthralgie
  • Info prof de santé : informer le patient des risques de réactions cutanées sévères
  • S'assurer que le patient ne présente pas de tumeur digestive

Effets indésirables

SystèmesFréquence de moyenne à élevée (?1/1 000)Fréquence basse (<1/1 000)Fréquence inconnue
ANOMALIE DES EXAMENS DE LABORATOIRE
  • Eosinophilie (Peu fréquent)
  • Leucopénie (Peu fréquent)
  • Enzymes hépatiques (augmentation) (Fréquent)
  • Hypertriglycéridémie (Très rare)
  • Hyponatrémie (Très rare)
  • Hypercholestérolémie (Très rare)
  • Hypocalcémie
  • Hypokaliémie
  • Hypomagnésémie
  • DERMATOLOGIE
  • Urticaire (Fréquent)
  • Prurit (Fréquent)
  • Eruption cutanée (Fréquent)
  • Nécrolyse épidermique toxique (Très rare)
  • Syndrome de Stevens-Johnson (Très rare)
  • Erythème polymorphe (Rare)
  • Purpura (Rare)
  • Pétéchie (Rare)
  • Hyperhidrose (Rare)
  • Photosensibilisation (Rare)
  • Alopécie (Rare)
  • DIVERS
  • Oedème (Peu fréquent)
  • Fatigue (Fréquent)
  • Fièvre (Rare)
  • ENDOCRINOLOGIE
  • Gynécomastie (Rare)
  • HÉMATOLOGIE
  • Thrombopénie (Peu fréquent)
  • Agranulocytose (Très rare)
  • Anémie (Rare)
  • Pancytopénie (Très rare)
  • HÉPATOLOGIE
  • Ictère (Rare)
  • Hépatite (Rare)
  • IMMUNO-ALLERGOLOGIE
  • Angioedème (Rare)
  • Choc anaphylactique (Très rare)
  • Lupus érythémateux cutané subaigu
  • Syndrome DRESS
  • INFECTIOLOGIE D'ORIGINE FONGIQUE
  • Candidose oesophagienne (Rare)
  • NUTRITION, MÉTABOLISME
  • Anorexie (Rare)
  • OPHTALMOLOGIE
  • Trouble de la vision (Rare)
  • ORL, STOMATOLOGIE
  • Sécheresse buccale (Fréquent)
  • Sensation de vertige (Fréquent)
  • Gorge sèche (Fréquent)
  • Vertige (Rare)
  • Stomatite (Très rare)
  • Dysgueusie (Rare)
  • Glossite (Rare)
  • PSYCHIATRIE
  • Dépression (Peu fréquent)
  • Nervosité (Rare)
  • Confusion mentale (Rare)
  • Insomnie (Rare)
  • Hallucination (Rare)
  • Agitation (Rare)
  • Instabilité psychomotrice (Rare)
  • Hallucination visuelle
  • SYSTÈME DIGESTIF
  • Douleur abdominale (Fréquent)
  • Polype de glande fundique (Fréquent)
  • Nausée (Fréquent)
  • Constipation (Fréquent)
  • Vomissement (Fréquent)
  • Diarrhée (Fréquent)
  • Flatulence (Fréquent)
  • Pancréatite (Rare)
  • Colite (Très rare)
  • SYSTÈME MUSCULO-SQUELETTIQUE
  • Douleur articulaire (Peu fréquent)
  • Fracture du poignet (Peu fréquent)
  • Douleur musculaire (Peu fréquent)
  • Fracture vertébrale (Peu fréquent)
  • Fracture de la hanche (Peu fréquent)
  • SYSTÈME NERVEUX
  • Céphalée (Fréquent)
  • Tremblement (Rare)
  • Somnolence (Rare)
  • Syndrome des jambes sans repos (Rare)
  • Paresthésie (Rare)
  • UROLOGIE, NÉPHROLOGIE
  • Impuissance (Rare)
  • Néphropathie tubulo-interstitielle (Rare)
  • Insuffisance rénale
  • Voir aussi les substances

    Lansoprazole

    Chimie
    IUPAC2-(((3-méthyl-4-(2,2,2-trifluoroéthoxy)-2-pyridyl) methyl) sulfinyl) -1H benzimidazole
    Synonymeslansoprazole
    Posologie
    Defined Daily Dose (WHO)
    Oral:30 mg
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